Schumacher défend le circuit d'Imola
Course samedi, 23 avr. 2005. 11:44 mercredi, 11 déc. 2024. 04:24
IMOLA (AFP) - Michael Schumacher a défendu samedi "le charme" et la "tradition" attachés au circuit d'Imola, à quelques dizaines de kilomètres de l'usine Ferrari et où se déroule le Grand-Prix de Saint-Marin de Formule 1, menacé de disparaître du calendrier pour cause de vétusté.
"Honnêtement, nous avons besoin de ce type de circuits, ils représentent la tradition" de notre sport, a déclaré le septuple champion du monde allemand à l'issue de la première séance de qualification de la quatrième épreuve du championnat du monde.
"Ce circuit (d'Imola) a tellement de charme, il me plaît par son tracé et son environnement", a ajouté Michael Schumacher, vainqueur à six reprises de ce Grand Prix (un record) et qui a été désigné ambassadeur de la République de Saint-Marin.
Imola, où se déroule le GP de Saint-Marin depuis 1981, et Silverstone, qui a accueilli à 38 reprises le Grand Prix de Grande-Bretagne depuis la création du championnat du monde en 1950, ont failli disparaître du calendrier cette saison et sont en sursis car ils sont jugés trop anciens.
Depuis quelques années, le patron de la F1 Bernie Ecclestone veut développer le championnat hors d'Europe, loin des traditions de ce sport, dans des pays qui construisent pour l'occasion des circuits aux infrastructures ultramodernes comme la Malaisie, Bahreïn, la Chine, la Turquie.
"Si nous ne courrions que sur de nouveaux circuits, ces lieux traditionnels nous manqueraient très vite", a estimé Michael Schumacher.
"Honnêtement, nous avons besoin de ce type de circuits, ils représentent la tradition" de notre sport, a déclaré le septuple champion du monde allemand à l'issue de la première séance de qualification de la quatrième épreuve du championnat du monde.
"Ce circuit (d'Imola) a tellement de charme, il me plaît par son tracé et son environnement", a ajouté Michael Schumacher, vainqueur à six reprises de ce Grand Prix (un record) et qui a été désigné ambassadeur de la République de Saint-Marin.
Imola, où se déroule le GP de Saint-Marin depuis 1981, et Silverstone, qui a accueilli à 38 reprises le Grand Prix de Grande-Bretagne depuis la création du championnat du monde en 1950, ont failli disparaître du calendrier cette saison et sont en sursis car ils sont jugés trop anciens.
Depuis quelques années, le patron de la F1 Bernie Ecclestone veut développer le championnat hors d'Europe, loin des traditions de ce sport, dans des pays qui construisent pour l'occasion des circuits aux infrastructures ultramodernes comme la Malaisie, Bahreïn, la Chine, la Turquie.
"Si nous ne courrions que sur de nouveaux circuits, ces lieux traditionnels nous manqueraient très vite", a estimé Michael Schumacher.