Une journée à oublier
Course dimanche, 30 juil. 2006. 15:08 vendredi, 13 déc. 2024. 11:50
HOCKENHEIM, Allemagne (PC) - Le Grand Prix d'Allemagne de 2006 en est un que l'écurie BMW-Sauber voudra oublier le plus rapidement possible. Tout comme Jacques Villeneuve, qui a raté une autre occasion de réaliser un coup d'éclat qui aurait pu améliorer ses chances de décrocher un volant en vue de la saison prochaine.
Pendant Nick Heidfeld abandonnait après 10 tours à cause de freins endommagés dans un contact avec son coéquipier Jacques Villeneuve lors du premier tour, le pilote québécois sortait de la piste peu avant la mi-course - une autre conséquence de l'accrochage "intra-équipe"...
"L'impact a été assez violent, a souligné Villeneuve à son retour aux puits. Après le changement de museau rendu nécessaire par l'incident du premier tour, la voiture est devenue très sous-vireuse. Dès que je tentais d'attaquer un peu, il tirait droit. A un moment, j'ai simplement attaqué un peu trop et je n'ai rien pu faire: elle s'est dirigée droit vers le mur de pneus."
Toutefois, même sans l'incident du deuxième virage, Villeneuve estime que ses chances de tirer son épingle du jeu seraient demeurées minces.
"Nous n'étions pas assez rapides de tout manière, a-t-il indiqué. Il nous faut travailler encore plus sur le moteur et le châssis pour revenir dans la course aux points. Avec le Grand Prix de Hongrie dans une semaine seulement, ce n'est pas trop la peine de se faire des illusions: nous allons encore souffrir sur l'Hungaroring.
"Cela dit, ça ne va pas nous empêcher de donner notre maximum", a ajouté Villeneuve.
Pendant Nick Heidfeld abandonnait après 10 tours à cause de freins endommagés dans un contact avec son coéquipier Jacques Villeneuve lors du premier tour, le pilote québécois sortait de la piste peu avant la mi-course - une autre conséquence de l'accrochage "intra-équipe"...
"L'impact a été assez violent, a souligné Villeneuve à son retour aux puits. Après le changement de museau rendu nécessaire par l'incident du premier tour, la voiture est devenue très sous-vireuse. Dès que je tentais d'attaquer un peu, il tirait droit. A un moment, j'ai simplement attaqué un peu trop et je n'ai rien pu faire: elle s'est dirigée droit vers le mur de pneus."
Toutefois, même sans l'incident du deuxième virage, Villeneuve estime que ses chances de tirer son épingle du jeu seraient demeurées minces.
"Nous n'étions pas assez rapides de tout manière, a-t-il indiqué. Il nous faut travailler encore plus sur le moteur et le châssis pour revenir dans la course aux points. Avec le Grand Prix de Hongrie dans une semaine seulement, ce n'est pas trop la peine de se faire des illusions: nous allons encore souffrir sur l'Hungaroring.
"Cela dit, ça ne va pas nous empêcher de donner notre maximum", a ajouté Villeneuve.