Villeneuve refuse de s'emballer
Course vendredi, 23 sept. 2005. 19:19 samedi, 14 déc. 2024. 04:31
SAO PAULO, Brésil (PC) - Jacques Villeneuve refusait de s'emballer après avoir réalisé le 7e chrono de la deuxième séances d'essais libres, vendredi, en prévision du Grand Prix du Brésil, qui constituera son 150e départ en Formule 1.
"Les chronos sont là aujourd'hui mais je serais très surpris que nous soyons aussi compétitifs demain (samedi), a-t-il souligné.
"Nous nous sommes partagés le travail avec Felipe (Massa). Il a roulé avec une voiture ayant beaucoup d'appui et moi avec une voiture ayant peu d'appui. En pneus neufs, j'arrive à me débrouiller mais, dès qu'ils deviennent usés, je glisse beaucoup et je bloque les roues au freinage. Donc, demain, je crois que l'on va remettre de l'appui. Au terme de cette première journée, il est difficile de juger où nous en sommes pas rapport à la concurrence."
En fait, ce que souhaite Villeneuve, c'est que la pluie joue un rôle en course, comme en Belgique, ce qui pourrait lui permettre de miser sur sa vaste expérience.
"Le temps a souvent été délicat par le passé et, s'il pleut, peut-être serons-nous en mesure de tirer notre épingle du jeu comme à Spa. En Belgique, il y a 15 jours, cela a plutôt bien marché avec une voiture ayant peu d'appui mais, sur ce tracé d'Interlagos, j'ai bien peur que nous soyons obligés de charger la voiture."
Ce tracé d'Interlagos n'a jamais été l'un des favoris de Villeneuve.
"Interlagos est un circuit qui a du caractère, mais il ne fait pas partie de mes préférés. Il y a quelques virages difficiles et une portion serrée dans le milieu. C'est aussi assez bosselé. Il faut le plus de grip possible dans les virages mais, en même temps, il faut essayer de rouler avec le moins d'appui possible pour ne pas pénaliser sa vitesse de pointe dans la longue ligne droite. Quant au public, il est toujours fantastique ici. Les fans brésiliens savent créer une atmosphère spéciale."
"Les chronos sont là aujourd'hui mais je serais très surpris que nous soyons aussi compétitifs demain (samedi), a-t-il souligné.
"Nous nous sommes partagés le travail avec Felipe (Massa). Il a roulé avec une voiture ayant beaucoup d'appui et moi avec une voiture ayant peu d'appui. En pneus neufs, j'arrive à me débrouiller mais, dès qu'ils deviennent usés, je glisse beaucoup et je bloque les roues au freinage. Donc, demain, je crois que l'on va remettre de l'appui. Au terme de cette première journée, il est difficile de juger où nous en sommes pas rapport à la concurrence."
En fait, ce que souhaite Villeneuve, c'est que la pluie joue un rôle en course, comme en Belgique, ce qui pourrait lui permettre de miser sur sa vaste expérience.
"Le temps a souvent été délicat par le passé et, s'il pleut, peut-être serons-nous en mesure de tirer notre épingle du jeu comme à Spa. En Belgique, il y a 15 jours, cela a plutôt bien marché avec une voiture ayant peu d'appui mais, sur ce tracé d'Interlagos, j'ai bien peur que nous soyons obligés de charger la voiture."
Ce tracé d'Interlagos n'a jamais été l'un des favoris de Villeneuve.
"Interlagos est un circuit qui a du caractère, mais il ne fait pas partie de mes préférés. Il y a quelques virages difficiles et une portion serrée dans le milieu. C'est aussi assez bosselé. Il faut le plus de grip possible dans les virages mais, en même temps, il faut essayer de rouler avec le moins d'appui possible pour ne pas pénaliser sa vitesse de pointe dans la longue ligne droite. Quant au public, il est toujours fantastique ici. Les fans brésiliens savent créer une atmosphère spéciale."