Julien et Marie-Ève Pilon : relever le Défi
Course lundi, 6 sept. 2004. 19:15 samedi, 14 déc. 2024. 17:53
Lachute - L'équipage de rallye composée de Marie-Ève et Julien Pilon de l'Équipe Lachute Performance Subaru sera du grand rendez-vous du rallye cette semaine puisqu'ils ont inscrit leur Subaru WRX de classe ouverte au rallye Défi Ste-Agathe/Duhamel dont le départ sera donné vendredi soir à 18h00.
Plus de cinquante voitures seront au départ et il n'était pas question pour le duo de Lachute de manquer cette épreuve. Ils ont révisé leur Subaru WRX après leur abandon du rallye de la Baie des Chaleurs et espère terminer dans le Top Cinq, ce qui comblerait leurs espérances.
« Le Défi (Ste-Agathe/Duhamel) est un must pour tout équipage de rallye, nous confie Julien Pilon. Même si nous avons fait un programme réduit en 2004, nous devions répondre à l'appel tellement cette épreuve est attirante. Nous savons qu'il y aura beaucoup d'amateurs et c'est dans notre région que le tout se déroule. »
Lachute Performance d'abord
Si le duo de Lachute Subaru a ralenti un peu ses activités en 2004, c'est que Julien a été impliqué dans le développement de son entreprise, Lachute Performance. « Nous nous spécialisons dans la préparation et le développement de Subarus autant pour la compétition que pour la rue. Les Subaru sont très populaires auprès des amateurs de tuning, de traction intégrale et de rallye, il va sans dire, et nous mettons à leur disposition l'expertise acquise en compétition depuis que Lachute Subaru a mis sur pied une équipe à la fin des années '90. J'ai donc été forcé de ralentir mes activités sportives afin de satisfaire la clientèle grandissante. Le Défi de cette année est donc comme un cadeau que Marie-Ève et moi nous faisons et nous avons l'intention ferme de nous faire plaisir pendant ce week-end dans les Laurentides».
En piste dès jeudi
Marie-Ève et Julien seront en reconnaissances dès jeudi. Les équipages ont la permission de circuler dans les épreuves de classement à basse vitesse avec des voitures banalisées afin d'établir le répertoire des virages et des dangers qui les guettent lors du déroulement de l'épreuve vendredi soir et samedi.
«Nous apprécions vraiment cette méthode qui s'étend à tous les rallyes au Canada, ajoute Marie-Ève. Le copilote fait davantage partie de l'équipe et devient essentiel si on désire faire de bons temps. Nous aurions beaucoup de difficultés à revenir à des épreuves sans reconnaissances».
Plus de cinquante voitures seront au départ et il n'était pas question pour le duo de Lachute de manquer cette épreuve. Ils ont révisé leur Subaru WRX après leur abandon du rallye de la Baie des Chaleurs et espère terminer dans le Top Cinq, ce qui comblerait leurs espérances.
« Le Défi (Ste-Agathe/Duhamel) est un must pour tout équipage de rallye, nous confie Julien Pilon. Même si nous avons fait un programme réduit en 2004, nous devions répondre à l'appel tellement cette épreuve est attirante. Nous savons qu'il y aura beaucoup d'amateurs et c'est dans notre région que le tout se déroule. »
Lachute Performance d'abord
Si le duo de Lachute Subaru a ralenti un peu ses activités en 2004, c'est que Julien a été impliqué dans le développement de son entreprise, Lachute Performance. « Nous nous spécialisons dans la préparation et le développement de Subarus autant pour la compétition que pour la rue. Les Subaru sont très populaires auprès des amateurs de tuning, de traction intégrale et de rallye, il va sans dire, et nous mettons à leur disposition l'expertise acquise en compétition depuis que Lachute Subaru a mis sur pied une équipe à la fin des années '90. J'ai donc été forcé de ralentir mes activités sportives afin de satisfaire la clientèle grandissante. Le Défi de cette année est donc comme un cadeau que Marie-Ève et moi nous faisons et nous avons l'intention ferme de nous faire plaisir pendant ce week-end dans les Laurentides».
En piste dès jeudi
Marie-Ève et Julien seront en reconnaissances dès jeudi. Les équipages ont la permission de circuler dans les épreuves de classement à basse vitesse avec des voitures banalisées afin d'établir le répertoire des virages et des dangers qui les guettent lors du déroulement de l'épreuve vendredi soir et samedi.
«Nous apprécions vraiment cette méthode qui s'étend à tous les rallyes au Canada, ajoute Marie-Ève. Le copilote fait davantage partie de l'équipe et devient essentiel si on désire faire de bons temps. Nous aurions beaucoup de difficultés à revenir à des épreuves sans reconnaissances».
