La FIA refuse de se laisser influencer
Course lundi, 9 mai 2005. 15:47 samedi, 14 déc. 2024. 06:55
PARIS (AFP) - La Fédération internationale de l'automobile (FIA) a prévenu lundi qu'elle refusait de se laisser influencer par les constructeurs qui ont annoncé s'être unis pour peser sur les règlements techniques et sportifs de la Formule 1.
"Les constructeurs en question (BMW, DaimlerChrysler, Renault, Toyota et Honda) sont venus en Formule 1 avec leurs propres raisons. Ils n'ont pas été invités, ils se sont invités tout seuls. Chacun d'eux a accepté les règles et les structures de ce sport", rappelle la FIA dans un communiqué.
BMW, DaimlerChrysler (Mercedes), Renault, Toyota et Honda ont annoncé lundi s'être officiellement unis afin de renforcer leur influence face à la FIA.
Ils ont notamment mis en doute l'indépendance du Tribunal international d'appel de la FIA qui a sanctionné BAR-Honda jeudi.
La FIA a répondu que "l'indépendance de son Tribunal d'appel avait été reconnue à plusieurs reprises par des tribunaux civils, la dernière fois (en mars 2005) par le Tribunal de grande instance de Paris".
Assurant qu'elle continuerait de faire appliquer les règles et de punir les tricheurs quels qu'ils soient, la FIA prévient que "des déclarations attribuées aux dirigeants de BAR-Honda" font actuellement "l'objet d'une enquête dans la mesure où les équipes sont tenues de ne rien faire +de préjudiciable à l'image et à la dignité de la Formule 1+".
Les cinq constructeurs, ainsi qu'une majorité d'écuries, à l'exception notable de Ferrari, ont engagé un bras de fer avec la FIA afin d'élaborer eux-même les futurs règlements de la F1, et avec le patron de la F1, Bernie Ecclestone, afin d'obtenir un meilleur partage des retombées financières de ce sport qui génère des centaines de millions de dollars.
"Les constructeurs en question (BMW, DaimlerChrysler, Renault, Toyota et Honda) sont venus en Formule 1 avec leurs propres raisons. Ils n'ont pas été invités, ils se sont invités tout seuls. Chacun d'eux a accepté les règles et les structures de ce sport", rappelle la FIA dans un communiqué.
BMW, DaimlerChrysler (Mercedes), Renault, Toyota et Honda ont annoncé lundi s'être officiellement unis afin de renforcer leur influence face à la FIA.
Ils ont notamment mis en doute l'indépendance du Tribunal international d'appel de la FIA qui a sanctionné BAR-Honda jeudi.
La FIA a répondu que "l'indépendance de son Tribunal d'appel avait été reconnue à plusieurs reprises par des tribunaux civils, la dernière fois (en mars 2005) par le Tribunal de grande instance de Paris".
Assurant qu'elle continuerait de faire appliquer les règles et de punir les tricheurs quels qu'ils soient, la FIA prévient que "des déclarations attribuées aux dirigeants de BAR-Honda" font actuellement "l'objet d'une enquête dans la mesure où les équipes sont tenues de ne rien faire +de préjudiciable à l'image et à la dignité de la Formule 1+".
Les cinq constructeurs, ainsi qu'une majorité d'écuries, à l'exception notable de Ferrari, ont engagé un bras de fer avec la FIA afin d'élaborer eux-même les futurs règlements de la F1, et avec le patron de la F1, Bernie Ecclestone, afin d'obtenir un meilleur partage des retombées financières de ce sport qui génère des centaines de millions de dollars.