La France veut son Grand Prix de F1
Course vendredi, 6 janv. 2012. 12:04 samedi, 14 déc. 2024. 08:33
PARIS - Le retour d'un Grand Prix de France de Formule 1, évoqué pour 2013 en alternance avec un GP de Belgique, est « en bonne voie » et le gouvernement travaille actuellement à « finaliser la faisabilité technique et le financement du projet », a-t-on appris vendredi auprès de Matignon.
« C'est en bonne voie ». Il y a « une volonté politique » et « une volonté de faire avancer les choses assez vite », a indiqué à l'AFP une source à Matignon.
Le Figaro, dans son édition de jeudi, affirme lui que le projet est « bouclé » et se trouve « sur le bureau » du Premier ministre, grand amateur de sports automobiles, qui n'a plus qu'à « donner son feu vert », selon le quotidien.
« Nous travaillons avec le ministère des Sports pour finaliser la faisabilité technique et le financement du projet » (collectivités locales et partenariats privés), explique-t-on à Matignon.
Selon la même source, l'organisation d'un GP de France « serait confiée à un GIP », un groupement d'intérêt public.
Le dernier GP organisé en France remonte à 2008, sur le circuit de Magny-Cours, dans la Nièvre. Pour 2013, ou plus tard, c'est le circuit du Castellet (Var), où se sont déroulées des manches françaises du Championnat du monde dans les années 1970 et 80, qui est en pole position.
Le Figaro avance la date du 1er septembre 2013, et évoque un budget global de 30 millions d'euros (20 M EUR de recettes propres et 10 M EUR en provenance des collectivités locales).
Fin août, une réunion sur l'éventualité d'un retour d'un GP de France, à partir de 2013 et en alternance avec la Belgique, avait eu lieu à Spa-Francorchamps, dans le motor-home du grand argentier de la Formule 1, Bernie Ecclestone.
Mais rien de significatif n'avait filtré de cette entrevue entre M. Ecclestone, Etienne Davignon, promoteur du GP de Belgique et président de "Spa Grand Prix", et Gilles Dufeigneux, délégué interministériel missionné par François Fillon et la ministre des Sports de l'époque, Chantal Jouanno.
« C'est en bonne voie ». Il y a « une volonté politique » et « une volonté de faire avancer les choses assez vite », a indiqué à l'AFP une source à Matignon.
Le Figaro, dans son édition de jeudi, affirme lui que le projet est « bouclé » et se trouve « sur le bureau » du Premier ministre, grand amateur de sports automobiles, qui n'a plus qu'à « donner son feu vert », selon le quotidien.
« Nous travaillons avec le ministère des Sports pour finaliser la faisabilité technique et le financement du projet » (collectivités locales et partenariats privés), explique-t-on à Matignon.
Selon la même source, l'organisation d'un GP de France « serait confiée à un GIP », un groupement d'intérêt public.
Le dernier GP organisé en France remonte à 2008, sur le circuit de Magny-Cours, dans la Nièvre. Pour 2013, ou plus tard, c'est le circuit du Castellet (Var), où se sont déroulées des manches françaises du Championnat du monde dans les années 1970 et 80, qui est en pole position.
Le Figaro avance la date du 1er septembre 2013, et évoque un budget global de 30 millions d'euros (20 M EUR de recettes propres et 10 M EUR en provenance des collectivités locales).
Fin août, une réunion sur l'éventualité d'un retour d'un GP de France, à partir de 2013 et en alternance avec la Belgique, avait eu lieu à Spa-Francorchamps, dans le motor-home du grand argentier de la Formule 1, Bernie Ecclestone.
Mais rien de significatif n'avait filtré de cette entrevue entre M. Ecclestone, Etienne Davignon, promoteur du GP de Belgique et président de "Spa Grand Prix", et Gilles Dufeigneux, délégué interministériel missionné par François Fillon et la ministre des Sports de l'époque, Chantal Jouanno.