La vie mondaine de la F1
Course vendredi, 10 juin 2005. 16:19 samedi, 14 déc. 2024. 16:55
MONTREAL (PC) - Boire du champagne à 10 heures du matin? Rien de plus normal dans les coulisses du Grand Prix du Canada de Formule 1, en particulier dans les paddocks, où les écuries et les constructeurs ont pignon sur rue.
Les paddocks sont ces hauts lieux où on entre seulement avec des accréditations et des passes spéciales. La sécurité y est extrême et continue. N'entre pas qui veut.
Vendredi, un petit smog et une forte chaleur étaient compensés par la climatisation de ces lieux feutrés, où une exposition de peinture côtoie les terrasses en bordure de l'eau de l'Ile Notre-Dame.
Voisins du Casino de Montréal, les paddocks comprennent un lounge, où invités sélects et amis des écuries se rencontrent pour boire un verre de blanc, du champagne et grignoter. La vue y est superbe, surplombant la piste Gilles-Villeneuve ainsi que les garages des écuries.
La clientèle internationale frappe à première vue: on y parle toutes les langues du monde, dont l'italien, le portugais, le néerlandais, le suédois et l'anglais.
Le bruit des voitures y est étourdissant, et les bouchons à oreilles sont bienvenus.
Tout près, chaque écurie gère une loge privée pour recevoir clients et amis, avec vue sur le circuit. Les repas y sont servis, on peut accéder à Internet, et également y imprimer ses photos numériques. A chaque endroit, hôtes, hôtesses et serveurs accueillent les convives avec des sourires sympathiques.
En marchant dans les dédales des paddocks, on a un peu le sentiment d'être privilégié. C'est la vie des gens beaux, riches et célèbres. Un bon nombre de personnalités s'y retrouvent, que ce soient les vedettes des télés étrangères et canadiennes, les patrons des écuries et leurs cours quasi-princières.
A travers tout cela, il y a aussi les travailleurs, les techniciens, les garagistes, les responsables de la sécurité et les ingénieurs.
Chez Michelin par exemple, une quarantaine de personnes sont présentes à Montréal pour le Grand Prix, comme lors des 18 autres GP. Michelin et Bridgestone sont le deux seuls fabricants de pneus qui évoluent en F1. La concurrence y est féroce. Les huit premiers Grands Prix de cette année ont d'ailleurs été remportés par des voitures portant des pneus Michelin.
Les qualifications du Grand Prix du Canada de Formule-1 se tiendront samedi, et la course elle-même, dimanche. Les retombées économiques s'élèvent à plus de 80 millions $.
Les paddocks sont ces hauts lieux où on entre seulement avec des accréditations et des passes spéciales. La sécurité y est extrême et continue. N'entre pas qui veut.
Vendredi, un petit smog et une forte chaleur étaient compensés par la climatisation de ces lieux feutrés, où une exposition de peinture côtoie les terrasses en bordure de l'eau de l'Ile Notre-Dame.
Voisins du Casino de Montréal, les paddocks comprennent un lounge, où invités sélects et amis des écuries se rencontrent pour boire un verre de blanc, du champagne et grignoter. La vue y est superbe, surplombant la piste Gilles-Villeneuve ainsi que les garages des écuries.
La clientèle internationale frappe à première vue: on y parle toutes les langues du monde, dont l'italien, le portugais, le néerlandais, le suédois et l'anglais.
Le bruit des voitures y est étourdissant, et les bouchons à oreilles sont bienvenus.
Tout près, chaque écurie gère une loge privée pour recevoir clients et amis, avec vue sur le circuit. Les repas y sont servis, on peut accéder à Internet, et également y imprimer ses photos numériques. A chaque endroit, hôtes, hôtesses et serveurs accueillent les convives avec des sourires sympathiques.
En marchant dans les dédales des paddocks, on a un peu le sentiment d'être privilégié. C'est la vie des gens beaux, riches et célèbres. Un bon nombre de personnalités s'y retrouvent, que ce soient les vedettes des télés étrangères et canadiennes, les patrons des écuries et leurs cours quasi-princières.
A travers tout cela, il y a aussi les travailleurs, les techniciens, les garagistes, les responsables de la sécurité et les ingénieurs.
Chez Michelin par exemple, une quarantaine de personnes sont présentes à Montréal pour le Grand Prix, comme lors des 18 autres GP. Michelin et Bridgestone sont le deux seuls fabricants de pneus qui évoluent en F1. La concurrence y est féroce. Les huit premiers Grands Prix de cette année ont d'ailleurs été remportés par des voitures portant des pneus Michelin.
Les qualifications du Grand Prix du Canada de Formule-1 se tiendront samedi, et la course elle-même, dimanche. Les retombées économiques s'élèvent à plus de 80 millions $.