Le GP du Canada refera ses devoirs
Course lundi, 9 juin 2008. 19:24 jeudi, 12 déc. 2024. 22:54
La page a été tournée, dimanche, sur la 30e édition du Grand Prix du Canada à la suite de la victoire du Polonais Robert Kubica.
Un événement qui, encore une fois, a été couronnée de succès malgré les critiques émises par les pilotes sur l'état lamentable de la piste.
Les pilotes ne se sont pas gênés pour déplorer les conditions du circuit Gilles-Villeneuve. "Pour moi ce n'était pas une course, mais plus du motocross, c'est lamentable," a soutenu Sébastien Bourdais.
"Les conditions du circuit étaient vraiment dégueulasses," a ajouté Jarno Trulli.
Des critiques publiques qui ont irrité le vice-président exécutif du Grand Prix du Canada, François Dumontier. "Les pilotes doivent faire rapport à la FIA de leurs doléances et après on discutera."
Lorsqu'on effectue un tour de reconnaissance sur le circuit, on s'aperçoit que l'asphalte est endommagé à plusieurs endroits. Ce problème semble se répéter depuis quelques années, malgré tous les efforts déployés pour trouver la recette idéale. "Sincèrement, on croyait avoir trouvé la solution au problème, a ajouté Dumontier, mais on sait qu'on va retourner à la planche à dessin et on va examiner tout ce qui existe sur le marché."
Les réparations effectuées lors de la soirée de samedi ont répondu aux exigences de la FIA qui s'est dit satisfaite du travail des organisateurs dans les circonstances. D'ailleurs la FIA n'a apporté aucune recommandation en ce qui concerne le revêtement de la piste. "Autant la FIA nous a fait des recommandations sur les murets de protection, les clôtures, mais aucune sur le revêtement, a expliqué Dumontier. Donc le soin est laissé à l'organisateur de décider du mélange à appliquer."
Plusieurs facteurs peuvent expliquer l'état dans lequel se retrouve le circuit. Notamment, les changements de température extrêmes, l'utilisation du tracé par le transport en commun ou encore l'amélioration des voitures de Formule Un au fil des ans. "De plus en plus, les voitures freinent au dernier moment avant un virage. On disait que la pression exercée est de 18 000 livres lorsque le pilote freine, a ajouté le vice-président exécutif. Est-ce que ça peut avoir un impact, peut-être, mais tout sera analysé."
Les nombreuses critiques entendues au sujet du circuit n'ont pas empêché les spectateurs de se déplacer en grand nombre sur l'île Notre-Dame. Un record a été établi lors de la journée de dimanche avec une assistance de 121 000 personnes. Et au total, c'est 319 000 spectateurs qui auront franchi les tourniquets.
Un événement qui, encore une fois, a été couronnée de succès malgré les critiques émises par les pilotes sur l'état lamentable de la piste.
Les pilotes ne se sont pas gênés pour déplorer les conditions du circuit Gilles-Villeneuve. "Pour moi ce n'était pas une course, mais plus du motocross, c'est lamentable," a soutenu Sébastien Bourdais.
"Les conditions du circuit étaient vraiment dégueulasses," a ajouté Jarno Trulli.
Des critiques publiques qui ont irrité le vice-président exécutif du Grand Prix du Canada, François Dumontier. "Les pilotes doivent faire rapport à la FIA de leurs doléances et après on discutera."
Lorsqu'on effectue un tour de reconnaissance sur le circuit, on s'aperçoit que l'asphalte est endommagé à plusieurs endroits. Ce problème semble se répéter depuis quelques années, malgré tous les efforts déployés pour trouver la recette idéale. "Sincèrement, on croyait avoir trouvé la solution au problème, a ajouté Dumontier, mais on sait qu'on va retourner à la planche à dessin et on va examiner tout ce qui existe sur le marché."
Les réparations effectuées lors de la soirée de samedi ont répondu aux exigences de la FIA qui s'est dit satisfaite du travail des organisateurs dans les circonstances. D'ailleurs la FIA n'a apporté aucune recommandation en ce qui concerne le revêtement de la piste. "Autant la FIA nous a fait des recommandations sur les murets de protection, les clôtures, mais aucune sur le revêtement, a expliqué Dumontier. Donc le soin est laissé à l'organisateur de décider du mélange à appliquer."
Plusieurs facteurs peuvent expliquer l'état dans lequel se retrouve le circuit. Notamment, les changements de température extrêmes, l'utilisation du tracé par le transport en commun ou encore l'amélioration des voitures de Formule Un au fil des ans. "De plus en plus, les voitures freinent au dernier moment avant un virage. On disait que la pression exercée est de 18 000 livres lorsque le pilote freine, a ajouté le vice-président exécutif. Est-ce que ça peut avoir un impact, peut-être, mais tout sera analysé."
Les nombreuses critiques entendues au sujet du circuit n'ont pas empêché les spectateurs de se déplacer en grand nombre sur l'île Notre-Dame. Un record a été établi lors de la journée de dimanche avec une assistance de 121 000 personnes. Et au total, c'est 319 000 spectateurs qui auront franchi les tourniquets.