Le Grand Prix de France n'est pas menacé
Course jeudi, 23 août 2001. 09:44 samedi, 14 déc. 2024. 15:56
PARIS (AP) - Le président de la Formula One Administration (FOCA), Bernie Ecclestone, a affirmé jeudi dans un communiqué de la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA) que le Grand Prix de France de Formule 1 n'était pas menacé, comme pouvait le laisser croire un article paru dans le quotidien L'Equipe de mercredi.
"Il n'existe aucune proposition d'éliminer le Grand Prix de France du calendrier du Championnat du Monde", déclare le Britannique.
"Comme j'ai essayé de l'expliquer au journaliste, je ne peux pas imaginer le championnat sans son épreuve la plus ancienne et la plus prestigieuse. Nous avons un contrat en cours avec Magny Cours et une option pour le prolonger de cinq ans."
Dans L'Equipe de mercredi, Ecclestone avait expliqué que le calendrier de la saison de Formule 1 allait être modifié et que des "rendez-vous européens" seraient forcément éliminés.
"Je ne veux pas éliminer des courses européennes pour le plaisir d'éliminer, mais il le faudra bien", avait-il déclaré.
Dans le communiqué de la FIA, le président de la FOCA a également déploré la dégradation du sport automobile français. "Je pense que le sport automobile français souffre car il ne bénéficie plus du soutien de l'industrie française qu'il avait à l'époque où Elf s'était pleinement investi. Ainsi les jeunes pilotes français ont moins de chances d'arriver au plus haut niveau."
"Il n'existe aucune proposition d'éliminer le Grand Prix de France du calendrier du Championnat du Monde", déclare le Britannique.
"Comme j'ai essayé de l'expliquer au journaliste, je ne peux pas imaginer le championnat sans son épreuve la plus ancienne et la plus prestigieuse. Nous avons un contrat en cours avec Magny Cours et une option pour le prolonger de cinq ans."
Dans L'Equipe de mercredi, Ecclestone avait expliqué que le calendrier de la saison de Formule 1 allait être modifié et que des "rendez-vous européens" seraient forcément éliminés.
"Je ne veux pas éliminer des courses européennes pour le plaisir d'éliminer, mais il le faudra bien", avait-il déclaré.
Dans le communiqué de la FIA, le président de la FOCA a également déploré la dégradation du sport automobile français. "Je pense que le sport automobile français souffre car il ne bénéficie plus du soutien de l'industrie française qu'il avait à l'époque où Elf s'était pleinement investi. Ainsi les jeunes pilotes français ont moins de chances d'arriver au plus haut niveau."