Mosley à la rescousse du GP de France
Course samedi, 4 avr. 2009. 12:04 samedi, 14 déc. 2024. 08:09
FARO - Le Grand Prix de France de Formule 1, qui n'aura pas lieu en 2009, "doit être protégé", a affirmé samedi le président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), Max Mosley, lors d'une conférence de presse au rallye du Portugal.
"Le GP de France fait partie des six Grands Prix traditionnels (France, Monaco, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie, Belgique) qui doivent être protégés parce qu'ils étaient déjà là en 1950 (lors de la création du Championnat du monde de F1), a souligné le président de la FIA.
"On ne peut pas annuler l'un de ces six GP sans l'accord de la FIA. Nous y sommes très attachés, car la France est l'un des berceaux du sport automobile. Donc Bernie (Ecclestone, le grand argentier de la F1) doit d'abord trouver un accord commercial avec des promoteurs en France. Si c'est difficile on peut essayer de trouver une solution", a proposé Mosley.
"Il y a actuellement des discussions pour que ça se fasse près de Paris et de Renault, dans la campagne (NDLR : à Flins). J'ai l'impression que la France est derrière ce projet, donc j'espère que ça va aboutir, mais pour l'instant tout se passe entre la Fédération et Ecclestone, on ne nous a jamais demandé d'intervenir", a conclu Mosley sur ce sujet.
"Nous aurons des surprises"
Interrogé aussi sur les nouvelles règles de la F1, le président de la FIA s'est montré prudent: "Pour l'instant, c'est satisfaisant. Melbourne était mieux que l'an dernier, on a vu des dépassements et il paraît que c'est plus facile de dépasser, mais il faut attendre encore trois ou quatre GP avant de savoir s'il y a une véritable amélioration".
Au sujet des diffuseurs aérodynamiques des Brawn GP, Mosley estime "qu'on peut argumenter dans les deux directions" mais que le succès des nouvelles Brawn (victoire à Melbourne, pole position en Malaisie) "et le renversement de l'ordre établi" n'est pas seulement dû aux diffuseurs. "La seule chose qui est certaine, c'est que nous aurons des surprises cette saison", a-t-il ajouté.
Enfin, sur la sanction de Lewis Hamilton, le champion du monde déclassé à Melbourne, le président Mosley dit n'avoir pas encore reçu le rapport officiel sur lequel la FIA sera amenée à statuer. "En attendant, je suis comme un fan, je regarde...", a-t-il plaisanté.
"Le GP de France fait partie des six Grands Prix traditionnels (France, Monaco, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie, Belgique) qui doivent être protégés parce qu'ils étaient déjà là en 1950 (lors de la création du Championnat du monde de F1), a souligné le président de la FIA.
"On ne peut pas annuler l'un de ces six GP sans l'accord de la FIA. Nous y sommes très attachés, car la France est l'un des berceaux du sport automobile. Donc Bernie (Ecclestone, le grand argentier de la F1) doit d'abord trouver un accord commercial avec des promoteurs en France. Si c'est difficile on peut essayer de trouver une solution", a proposé Mosley.
"Il y a actuellement des discussions pour que ça se fasse près de Paris et de Renault, dans la campagne (NDLR : à Flins). J'ai l'impression que la France est derrière ce projet, donc j'espère que ça va aboutir, mais pour l'instant tout se passe entre la Fédération et Ecclestone, on ne nous a jamais demandé d'intervenir", a conclu Mosley sur ce sujet.
"Nous aurons des surprises"
Interrogé aussi sur les nouvelles règles de la F1, le président de la FIA s'est montré prudent: "Pour l'instant, c'est satisfaisant. Melbourne était mieux que l'an dernier, on a vu des dépassements et il paraît que c'est plus facile de dépasser, mais il faut attendre encore trois ou quatre GP avant de savoir s'il y a une véritable amélioration".
Au sujet des diffuseurs aérodynamiques des Brawn GP, Mosley estime "qu'on peut argumenter dans les deux directions" mais que le succès des nouvelles Brawn (victoire à Melbourne, pole position en Malaisie) "et le renversement de l'ordre établi" n'est pas seulement dû aux diffuseurs. "La seule chose qui est certaine, c'est que nous aurons des surprises cette saison", a-t-il ajouté.
Enfin, sur la sanction de Lewis Hamilton, le champion du monde déclassé à Melbourne, le président Mosley dit n'avoir pas encore reçu le rapport officiel sur lequel la FIA sera amenée à statuer. "En attendant, je suis comme un fan, je regarde...", a-t-il plaisanté.