Pourquoi JV veut-il retourner en F1?
Course lundi, 30 août 2010. 17:19 samedi, 14 déc. 2024. 13:45
C'est évident Jacques Villeneuve est à son aise en NASCAR. Pourquoi alors veut-il retourner dans le monde de la Formule 1, dont il a si souvent critiqué l'atmosphère?
«C'est un bon défi alors pourquoi ne pas essayer!»
Si le projet Villeneuve-Durango se concrétise et qu'il revient en F1 comme pilote, il se doute qu'il sera la cible de nombreuses critiques. Mais il sait que ça ne sera que le temps de quelques saisons.
«Oui tant que l'on pilote, la politique est difficile, avoue Villeneuve. Mais je ne piloterais pas pendant 10 ans. Il y aurait un aspect de gérance d'équipe et la politique est moins gênante que lorsqu'on est dans la voiture.»
C'est aussi l'intérêt des commanditaires qui l'ont poussé dans la direction d'une équipe de F1, alors qu'il voulait à la base trouver du financement pour les courses NASCAR en Amérique du Nord.
«Je regardais ce qui se passait en F1 et il avait plus d'intérêt d'investisseurs ou de commanditaires. Ce n'est pas de l'argent que je pouvais ramener en Amérique du Nord pour faire du NASCAR. Le projet a pris de la grosseur et de la vitesse au point ou on pouvait construire une équipe.»
Dans un autre ordre d'idées, Villeneuve sera bientôt intronisé au Temple de la renommée des sports du Canada. Ce sera une cuvée de luxe avec les Patrick Roy, Chantal Petitclerc, Jean-Luc Brassard, et Clara Hughes. Un honneur qui l'enchante, même s'il ne se voit pas encore retraité.
«C'est le fun d'être honoré sans avoir pris sa retraite!»
L'honneur est grand, mais rien de comparable à sa participation à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques. Il s'agit d'un des plus grands moments de sa vie.
«Ce n'est pas comme gagner une compétition. D'être acclamé dans le stade rempli à capacité et de porter le drapeau olympique... c'est pas rien!»
Beaucoup a été accompli, et Villeneuve souhaite accomplir encore plus.
D'après un reportage de Jean-Luc Legendre
«C'est un bon défi alors pourquoi ne pas essayer!»
Si le projet Villeneuve-Durango se concrétise et qu'il revient en F1 comme pilote, il se doute qu'il sera la cible de nombreuses critiques. Mais il sait que ça ne sera que le temps de quelques saisons.
«Oui tant que l'on pilote, la politique est difficile, avoue Villeneuve. Mais je ne piloterais pas pendant 10 ans. Il y aurait un aspect de gérance d'équipe et la politique est moins gênante que lorsqu'on est dans la voiture.»
C'est aussi l'intérêt des commanditaires qui l'ont poussé dans la direction d'une équipe de F1, alors qu'il voulait à la base trouver du financement pour les courses NASCAR en Amérique du Nord.
«Je regardais ce qui se passait en F1 et il avait plus d'intérêt d'investisseurs ou de commanditaires. Ce n'est pas de l'argent que je pouvais ramener en Amérique du Nord pour faire du NASCAR. Le projet a pris de la grosseur et de la vitesse au point ou on pouvait construire une équipe.»
Dans un autre ordre d'idées, Villeneuve sera bientôt intronisé au Temple de la renommée des sports du Canada. Ce sera une cuvée de luxe avec les Patrick Roy, Chantal Petitclerc, Jean-Luc Brassard, et Clara Hughes. Un honneur qui l'enchante, même s'il ne se voit pas encore retraité.
«C'est le fun d'être honoré sans avoir pris sa retraite!»
L'honneur est grand, mais rien de comparable à sa participation à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques. Il s'agit d'un des plus grands moments de sa vie.
«Ce n'est pas comme gagner une compétition. D'être acclamé dans le stade rempli à capacité et de porter le drapeau olympique... c'est pas rien!»
Beaucoup a été accompli, et Villeneuve souhaite accomplir encore plus.
D'après un reportage de Jean-Luc Legendre