RDS mène le bal au Trophée des Gazelles
Course samedi, 30 mars 2002. 13:23 samedi, 14 déc. 2024. 18:51
(Par Didier Schraenen) Elles s'étaient mis beaucoup de pression sur les épaules avant d'entreprendre leur deuxième Trophée. Claudine Douville et Louise Bergeron répondent plus que jamais aux attentes de leurs nombreux supporteurs. Nos gazelles occupent la première place sur 47 équipages.
Elles étaient tout sourire au bivouac quand je les ai rencontrées pour casser la croûte sous la tente. En fait elles étaient rentrées près de deux heures avant moi. Le pilote que je suis enviait d'ailleurs Claudine qui s'en donnait à cœur joie dans les dunes qu'elle attaquait avec tout l'aplomb qu'on lui connaît.
Très tôt, Louise allait se coucher tentant de récupérer un peu après une dure journée sous un ciel de plomb. La navigatrice doit, en plus d'être constamment à l'affût du cap à maintenir, être en mesure d'assumer son rôle de passagère qui se fait brasser le "canadien" en plein cœur du Maroc. Les héroïnes du jour ne s'étaient enlisées qu'une seule fois de toute la journée et n'avaient accumulé que neuf kilomètres de plus qu'un parcourt parfait.
Rappelez vous qu'aux Gazelles, on ne fait pas de vitesse et que c'est la navigation d'abord et que c'est l'équipe qui trouve le plus de balises en parcourant le moins de kilomètres qui l'emporte. L'épreuve d'aujourd'hui a été courue dans des conditions idéales sous le soleil avec 28 degrés. Ça n'a d'ailleurs pas été aussi bien pour tout le monde puisque à minuit, heure locale, au moment d'écrire ces lignes une demi-douzaine d'équipages n'étaient pas encore rentrés au bivouac. Et dire que tout le monde se lève dans moins de quatre heureux.
Allez hop cascades!!!
Elles étaient tout sourire au bivouac quand je les ai rencontrées pour casser la croûte sous la tente. En fait elles étaient rentrées près de deux heures avant moi. Le pilote que je suis enviait d'ailleurs Claudine qui s'en donnait à cœur joie dans les dunes qu'elle attaquait avec tout l'aplomb qu'on lui connaît.
Très tôt, Louise allait se coucher tentant de récupérer un peu après une dure journée sous un ciel de plomb. La navigatrice doit, en plus d'être constamment à l'affût du cap à maintenir, être en mesure d'assumer son rôle de passagère qui se fait brasser le "canadien" en plein cœur du Maroc. Les héroïnes du jour ne s'étaient enlisées qu'une seule fois de toute la journée et n'avaient accumulé que neuf kilomètres de plus qu'un parcourt parfait.
Rappelez vous qu'aux Gazelles, on ne fait pas de vitesse et que c'est la navigation d'abord et que c'est l'équipe qui trouve le plus de balises en parcourant le moins de kilomètres qui l'emporte. L'épreuve d'aujourd'hui a été courue dans des conditions idéales sous le soleil avec 28 degrés. Ça n'a d'ailleurs pas été aussi bien pour tout le monde puisque à minuit, heure locale, au moment d'écrire ces lignes une demi-douzaine d'équipages n'étaient pas encore rentrés au bivouac. Et dire que tout le monde se lève dans moins de quatre heureux.
Allez hop cascades!!!