Schumi assure une victoire Ferrari
Course mercredi, 6 oct. 2004. 12:13 samedi, 14 déc. 2024. 08:49
TOKYO (AFP) - Le champion du monde allemand de F1 Michael Schumacher s'est montré décidé mercredi à offrir une nouvelle victoire à Ferrari dimanche à Suzuka lors du Grand Prix du Japon, 17e et avant-dernière épreuve d'un Championnat du monde archi-dominé par les monoplaces rouges.
"Nous sommes venus tous les deux (avec Rubens Barrichello) gagner pour Ferrari et nos partenaires", a déclaré le pilote de 35 ans à Tokyo, au cours d'une opération de promotion.
"Que ce soit Rubens ou moi, ce sera Ferrari", a-t-il assuré.
Après avoir remporté douze des treize premières courses de la saison, ne laissant que le Grand Prix de Monaco à l'Italien Jarno Trulli (Renault), "Schumi" n'est plus monté sur la première marche du podium depuis le GP de Hongrie, le 15 août 2004.
Sa dernière course, le 26 septembre à Shanghai (Chine), s'est même transformée en cauchemar, l'Allemand ne terminant qu'à la 12e place, à un tour de son coéquipier brésilien, vainqueur du premier Grand Prix de Chine de l'histoire de la F1.
"Sincèrement, je ne regarde pas en arrière. Il y a toujours de bonnes raisons de regarder devant", a affirmé Schumacher pour montrer que sa motivation était toujours intacte malgré des titres de champions du monde pilote -le 7e- et constructeur déjà acquis.
"Nous sommes venus tous les deux (avec Rubens Barrichello) gagner pour Ferrari et nos partenaires", a déclaré le pilote de 35 ans à Tokyo, au cours d'une opération de promotion.
"Que ce soit Rubens ou moi, ce sera Ferrari", a-t-il assuré.
Après avoir remporté douze des treize premières courses de la saison, ne laissant que le Grand Prix de Monaco à l'Italien Jarno Trulli (Renault), "Schumi" n'est plus monté sur la première marche du podium depuis le GP de Hongrie, le 15 août 2004.
Sa dernière course, le 26 septembre à Shanghai (Chine), s'est même transformée en cauchemar, l'Allemand ne terminant qu'à la 12e place, à un tour de son coéquipier brésilien, vainqueur du premier Grand Prix de Chine de l'histoire de la F1.
"Sincèrement, je ne regarde pas en arrière. Il y a toujours de bonnes raisons de regarder devant", a affirmé Schumacher pour montrer que sa motivation était toujours intacte malgré des titres de champions du monde pilote -le 7e- et constructeur déjà acquis.