Stenhouse n'est pas encore parfait
Course mercredi, 11 avr. 2012. 19:44 vendredi, 13 déc. 2024. 12:55
MONTRÉAL - Courir sur des circuits routiers plutôt que des ovales relève toujours de l'exploit pour Ricky Stenhouse fils, mais ce dernier espère qu'il sera un jour suffisamment bon pour triompher sur le circuit Gilles-Villeneuve.
Le pilote de 24 ans n'a jamais franchi le fil d'arrivée mieux qu'en 24e place en deux tentatives au NAPA Auto Parts 200, le seul événement de la série Nationwide du circuit NASCAR à être présenté au Canada.
Cependant, il tire de nouvelles leçons chaque fois qu'il franchit une ligne droite ou négocie une chicane, alternant entre les freinages brusques et les accélérations rapides qui caractérisent habituellement les circuits routiers. Ces réalités sont bien différentes de celles d'un petit circuit ovale, qui sont légion en NASCAR.
«À un certain moment, je pense que j'atteindrai un niveau de performance où je pourrai rivaliser avec les meilleurs et peut-être l'emporter», a confié Stenhouse mercredi à un événement promotionnel en marge de la sixième édition de l'épreuve qui sera disputée sur le circuit montréalais le 18 août prochain. «Quand nous courons ici, nous ne considérons pas notre résultat comme étant un échec.
«Chaque fois que nous nous retrouvons en piste, nous essayons de nous améliorer.»
Il n'y a que trois circuits routiers au calendrier de la série Nationwide, et plusieurs équipes optent pour des pilotes expérimentés en circuits routiers afin de remplacer leurs coureurs réguliers.
À Montréal, ça signifie que des ex-pilotes de monoplace comme Jacques Villeneuve, Patrick Carpentier et Ron Fellows obtiennent souvent un volant pour cet événement qui est reconnu depuis 2007 pour ses carambolages fréquents et spectaculaires.
L'épreuve montréalaise est également reconnue pour sa popularité auprès des amateurs de course, même si les organisateurs ne révèlent jamais l'assistance.
En dépit de sa feuille de route surtout marquée par les courses sur terre battue et les ovales pavés, Stenhouse voudrait lui aussi participer aux luttes à l'avant du peloton. Pour l'instant, il attend patiemment en fond de grille qu'un accident se produise ou que des erreurs de pilotages entraînent des abandons pour se hisser l'espère-t-il parmi les meneurs en fin de course.
«C'est l'une des épreuves les plus difficiles, avec les freinages et l'épingle, mais c'est amusant, a-t-il confié. On voit les gradins remplis à capacité et les gens debout à proximité des clôtures et dans les arbres.
«Les pilotes aiment voir des spectateurs dans les gradins.»
Stenhouse est champion en titre de la série Nationwide, qui sert habituellement de tremplin pour la série-reine du NASCAR la Coupe Sprint. Et il est présentement dans la course pour un autre titre après cinq épreuves disputées jusqu'ici cette saison.
Le pilote de 24 ans n'a jamais franchi le fil d'arrivée mieux qu'en 24e place en deux tentatives au NAPA Auto Parts 200, le seul événement de la série Nationwide du circuit NASCAR à être présenté au Canada.
Cependant, il tire de nouvelles leçons chaque fois qu'il franchit une ligne droite ou négocie une chicane, alternant entre les freinages brusques et les accélérations rapides qui caractérisent habituellement les circuits routiers. Ces réalités sont bien différentes de celles d'un petit circuit ovale, qui sont légion en NASCAR.
«À un certain moment, je pense que j'atteindrai un niveau de performance où je pourrai rivaliser avec les meilleurs et peut-être l'emporter», a confié Stenhouse mercredi à un événement promotionnel en marge de la sixième édition de l'épreuve qui sera disputée sur le circuit montréalais le 18 août prochain. «Quand nous courons ici, nous ne considérons pas notre résultat comme étant un échec.
«Chaque fois que nous nous retrouvons en piste, nous essayons de nous améliorer.»
Il n'y a que trois circuits routiers au calendrier de la série Nationwide, et plusieurs équipes optent pour des pilotes expérimentés en circuits routiers afin de remplacer leurs coureurs réguliers.
À Montréal, ça signifie que des ex-pilotes de monoplace comme Jacques Villeneuve, Patrick Carpentier et Ron Fellows obtiennent souvent un volant pour cet événement qui est reconnu depuis 2007 pour ses carambolages fréquents et spectaculaires.
L'épreuve montréalaise est également reconnue pour sa popularité auprès des amateurs de course, même si les organisateurs ne révèlent jamais l'assistance.
En dépit de sa feuille de route surtout marquée par les courses sur terre battue et les ovales pavés, Stenhouse voudrait lui aussi participer aux luttes à l'avant du peloton. Pour l'instant, il attend patiemment en fond de grille qu'un accident se produise ou que des erreurs de pilotages entraînent des abandons pour se hisser l'espère-t-il parmi les meneurs en fin de course.
«C'est l'une des épreuves les plus difficiles, avec les freinages et l'épingle, mais c'est amusant, a-t-il confié. On voit les gradins remplis à capacité et les gens debout à proximité des clôtures et dans les arbres.
«Les pilotes aiment voir des spectateurs dans les gradins.»
Stenhouse est champion en titre de la série Nationwide, qui sert habituellement de tremplin pour la série-reine du NASCAR la Coupe Sprint. Et il est présentement dans la course pour un autre titre après cinq épreuves disputées jusqu'ici cette saison.