Trulli fait une escale à Montréal
Course vendredi, 29 mai 2009. 16:49 samedi, 14 déc. 2024. 13:44
Avec le retrait du Grand Prix du Canada du calendrier 2009 de la Formule 1, les chances de croiser un pilote dans la métropole seront plutôt rares cet été. Jarno Trulli s'est toutefois payé une visite éclair à Montréal, cette semaine, afin de faire la promotion de son vignoble.
Le sujet qui fait beaucoup jaser dans les paddocks, c'est le dossier du plafond budgétaire que le président de la FIA, Max Mosley, souhaite instaurer dès la prochaine saison.
Cette décision fait de nombreux mécontents chez les dirigeants d'écurie, dont Toyota, qui compte Trulli dans ses rangs.
"Pour l'instant, je ne peux pas trop porter de jugement là-dessus. C'est surtout une question politique entre les équipes et la fédération", évoque prudemment Trulli.
Sur le plan sportif, Toyota a très bien amorcé la saison 2009 avec trois podiums lors des quatre premières courses, dont deux inscrits par Trulli. Les choses se sont toutefois gâtées en Espagne, puis à Monaco, deux épreuves où l'écurie a été écartée des points.
"On est un peu déçu des deux dernières courses, parce que notre performance n'était pas à la hauteur, admet Trulli. Surtout à Monaco, où les deux voitures ont pris le départ de la dernière ligne. Le championnat est long et il y a beaucoup de travail à faire si on veut gagner des courses."
Le grand défi sur la piste cette année, c'est de rejoindre les voitures de l'écurie Brawn Grand Prix, qui est tout simplement dans une classe à part. La tâche s'annonce difficile pour le reste du peloton d'ici la fin du calendrier.
"Ils ont la meilleure voiture, elle est très réussie, vante Trulli. Pour l'instant, ils dominent et tout le monde est en train de travailler pour récupérer. Ce n'est pas tout à fait facile!"
Trulli s'avoue déçu de ne pas prendre part au Grand Prix du Canada cette saison, une étape du championnat qui était grandement appréciée par tous les personnages du monde de la F1. Il croit toutefois que la partie n'est pas encore perdue.
"Malheureusement, les choses ont changé pour cette année, mais je sais que des gens sont en train de pousser pour revenir ici. Les constructeurs sont très intéressés, c'est un marché important pour eux. C'était un des meilleurs événements de l'année."
Après une courte escale à Montréal dans un rôle d'homme d'affaires, Trulli reprendra le volant le 5 juin à Istanbul, en Turquie. Son but d'ici la fin de la saison sera de mener l'écurie Toyota à la première victoire de son histoire.
*D'après un reportage de Patrick Friolet.
Le sujet qui fait beaucoup jaser dans les paddocks, c'est le dossier du plafond budgétaire que le président de la FIA, Max Mosley, souhaite instaurer dès la prochaine saison.
Cette décision fait de nombreux mécontents chez les dirigeants d'écurie, dont Toyota, qui compte Trulli dans ses rangs.
"Pour l'instant, je ne peux pas trop porter de jugement là-dessus. C'est surtout une question politique entre les équipes et la fédération", évoque prudemment Trulli.
Sur le plan sportif, Toyota a très bien amorcé la saison 2009 avec trois podiums lors des quatre premières courses, dont deux inscrits par Trulli. Les choses se sont toutefois gâtées en Espagne, puis à Monaco, deux épreuves où l'écurie a été écartée des points.
"On est un peu déçu des deux dernières courses, parce que notre performance n'était pas à la hauteur, admet Trulli. Surtout à Monaco, où les deux voitures ont pris le départ de la dernière ligne. Le championnat est long et il y a beaucoup de travail à faire si on veut gagner des courses."
Le grand défi sur la piste cette année, c'est de rejoindre les voitures de l'écurie Brawn Grand Prix, qui est tout simplement dans une classe à part. La tâche s'annonce difficile pour le reste du peloton d'ici la fin du calendrier.
"Ils ont la meilleure voiture, elle est très réussie, vante Trulli. Pour l'instant, ils dominent et tout le monde est en train de travailler pour récupérer. Ce n'est pas tout à fait facile!"
Trulli s'avoue déçu de ne pas prendre part au Grand Prix du Canada cette saison, une étape du championnat qui était grandement appréciée par tous les personnages du monde de la F1. Il croit toutefois que la partie n'est pas encore perdue.
"Malheureusement, les choses ont changé pour cette année, mais je sais que des gens sont en train de pousser pour revenir ici. Les constructeurs sont très intéressés, c'est un marché important pour eux. C'était un des meilleurs événements de l'année."
Après une courte escale à Montréal dans un rôle d'homme d'affaires, Trulli reprendra le volant le 5 juin à Istanbul, en Turquie. Son but d'ici la fin de la saison sera de mener l'écurie Toyota à la première victoire de son histoire.
*D'après un reportage de Patrick Friolet.