Villeneuve est satisfait de sa 9e place
Course vendredi, 29 mars 2002. 18:02 mercredi, 11 déc. 2024. 13:24
SAO PAULO, Brésil (PC) - "Pas mal pour une première journée", a jugé Jacques Villeneuve, qui a réalisé le neuvième temps lors des premiers essais libres, vendredi, sur le circuit d'Interlagos au Brésil.
"C'est mieux qu'en Malaisie. J'ai même occupé le cinquième rang pendant un moment. C'est déjà ça. Mais le peloton est quand même très serré de ma position jusqu'à la 17e. Je crois que ce sera facile de perdre des positions en qualification demain (samedi)", a-t-il ajouté. À chaque année, les pilotes se plaignent de la saleté sur le circuit brésilien. Dès les premiers tours de piste, lors des essais du vendredi, même les voitures des grandes stars partaient à la faute.
"C'est une piste très sale. Elle n'est pas utilisée pendant l'année. Et ce qui est dommage, c'est que les 3000 (Formule 3000) roulent ici mais on ne les fait pas rouler avant nous, pour nettoyer la piste. Il ne me semble pas que ce circuit respecte les mêmes normes que les autres circuits de Formule 1", a poursuivi Villeneuve.
On a apporté très peu de changement sur sa voiture pour ce week-end. Doit-on mettre sa performance sur le compte du circuit, qui conviendrait mieux à la voiture du pilote québécois?
"C'est surtout parce que Bridgestone a changé ses pneus et je crois qu'ils nous conviennent mieux. Ça compense surtout pour quelques lacunes que nous avions sur la voiture lors du dernier Grand Prix en Malaisie.
"Si je peux conserver cette neuvième place lors de la qualification, ce serait bien pour la course. Ça me permettrait d'être dans la bataille pour terminer dans les points."
Pollock se justifie
Après le congédiement de deux directeurs techniques chez BAR par David Richards, Craig Pollock redevenu l'agent de Villeneuve a décidé de mettre un point final à toutes les rumeurs voulant qu'il n'ait jamais eu le courage de faire bouger les choses lorsqu'il était en poste.
Pollock a affirmé qu'il avait les mains liées et qu'il ne pouvait prendre aucune décision quant au congédiement de certaines personnes au sein de l'équipe.
"Adrian Reynard était le directeur technique. Et malgré les pressions faites auprès de la haute direction de British American Tobacco, je n'y pouvais rien", a déclaré Pollock, qui entend rester en Formule un.
Il dit avoir été approché par quelques équipes mais doit y réfléchir.
Quant à Reynard, le constructeur britannique de châssis s'est placé en liquidation, jeudi, après une longue bataille visant à garder l'entreprise de la faillite.
"C'est mieux qu'en Malaisie. J'ai même occupé le cinquième rang pendant un moment. C'est déjà ça. Mais le peloton est quand même très serré de ma position jusqu'à la 17e. Je crois que ce sera facile de perdre des positions en qualification demain (samedi)", a-t-il ajouté. À chaque année, les pilotes se plaignent de la saleté sur le circuit brésilien. Dès les premiers tours de piste, lors des essais du vendredi, même les voitures des grandes stars partaient à la faute.
"C'est une piste très sale. Elle n'est pas utilisée pendant l'année. Et ce qui est dommage, c'est que les 3000 (Formule 3000) roulent ici mais on ne les fait pas rouler avant nous, pour nettoyer la piste. Il ne me semble pas que ce circuit respecte les mêmes normes que les autres circuits de Formule 1", a poursuivi Villeneuve.
On a apporté très peu de changement sur sa voiture pour ce week-end. Doit-on mettre sa performance sur le compte du circuit, qui conviendrait mieux à la voiture du pilote québécois?
"C'est surtout parce que Bridgestone a changé ses pneus et je crois qu'ils nous conviennent mieux. Ça compense surtout pour quelques lacunes que nous avions sur la voiture lors du dernier Grand Prix en Malaisie.
"Si je peux conserver cette neuvième place lors de la qualification, ce serait bien pour la course. Ça me permettrait d'être dans la bataille pour terminer dans les points."
Pollock se justifie
Après le congédiement de deux directeurs techniques chez BAR par David Richards, Craig Pollock redevenu l'agent de Villeneuve a décidé de mettre un point final à toutes les rumeurs voulant qu'il n'ait jamais eu le courage de faire bouger les choses lorsqu'il était en poste.
Pollock a affirmé qu'il avait les mains liées et qu'il ne pouvait prendre aucune décision quant au congédiement de certaines personnes au sein de l'équipe.
"Adrian Reynard était le directeur technique. Et malgré les pressions faites auprès de la haute direction de British American Tobacco, je n'y pouvais rien", a déclaré Pollock, qui entend rester en Formule un.
Il dit avoir été approché par quelques équipes mais doit y réfléchir.
Quant à Reynard, le constructeur britannique de châssis s'est placé en liquidation, jeudi, après une longue bataille visant à garder l'entreprise de la faillite.