Le Canada franchit une autre étape
Curling vendredi, 8 avr. 2005. 16:16 jeudi, 12 déc. 2024. 21:37
VICTORIA (PC) - La formation canadienne menée par Randy Ferbey a volé trois points au huitième bout pour s'imposer 9-5 en neuf manches contre l'équipe finlandaise de Markku Uusipaavalniemi, vendredi, lors d'un match de bris d'égalité du championnat du monde de curling.
Dans l'autre match de bris d'égalité, le Norvégien Pal Trulsen, le champion olympique en titre, a défait l'Américain Pete Fenson 10-6.
Ferbey et ses coéquipiers devront remporter trois autres matchs pour signer un troisième titre mondial en quatre ans.
"Aujourd'hui est une nouvelle journée et, dans le fond, c'est un nouveau tournoi, a souligné le troisième du quatuor canadien, Dave Nedohin. Ce qui a été fait jusqu'à maintenant ne veut plus rien dire. Le compteur est revenu à zéro, il faut se présenter et se battre."
Conformément aux règles en vigueur au championnat mondial, Ferbey devait affronter Trulsen plus tard dans la journée de vendredi. Le vainqueur de cette rencontre prendra part à la demi-finale de samedi.
L'Écosse devait quant à elle faire face à l'Allemagne, tard vendredi soir. Le vainqueur se retrouvera en finale, dimanche, tandis que le perdant disputera la demi-finale.
Le Canada a eu besoin de victoires contre l'Écosse et l'Australie, jeudi, pour se retrouver dans un peloton de six équipes à égalité au premier rang avec des dossiers identiques de 8-3.
Les six équipes ont été départagées, en vue des matchs éliminatoires et des bris d'égalité, en fonction des résultats obtenus lors d'une compétition d'habiletés disputée avant le tournoi.
Il va sans dire que cette méthode n'a pas fait l'unanimité.
L'Écosse et l'Allemagne sont toutes deux assurées d'une médaille. Ils ne peuvent faire pire que le troisième rang. Pendant ce temps, la Finlande et les États-Unis rentreront à la maison les mains vides.
"Je n'aime pas la façon dont ça s'est passé, a dit Uusipaavalniemi. Six équipes à égalité. Tout le monde était nez à nez. Deux équipes ont reçu une médaille instantanément. Ça me semble un peu injuste."
Le Canadien Nedohin, lui, s'est dit en faveur des règles actuelles. Sauf qu'il ne s'attendait jamais à une égalité à six équipes au premier rang.
"Quand tout le monde a une fiche de 8-3 et que deux équipes obtiennent un avantage énorme par rapport aux équipes qui se retrouvent au bris d'égalité, ce n'est sans doute pas la meilleure façon de faire."
Selon certains, l'Écosse et l'Allemagne auraient dû plutôt être qualifiées d'office pour les demi-finales, où elles auraient affronté les vainqueurs des bris d'égalité.
Dans l'autre match de bris d'égalité, le Norvégien Pal Trulsen, le champion olympique en titre, a défait l'Américain Pete Fenson 10-6.
Ferbey et ses coéquipiers devront remporter trois autres matchs pour signer un troisième titre mondial en quatre ans.
"Aujourd'hui est une nouvelle journée et, dans le fond, c'est un nouveau tournoi, a souligné le troisième du quatuor canadien, Dave Nedohin. Ce qui a été fait jusqu'à maintenant ne veut plus rien dire. Le compteur est revenu à zéro, il faut se présenter et se battre."
Conformément aux règles en vigueur au championnat mondial, Ferbey devait affronter Trulsen plus tard dans la journée de vendredi. Le vainqueur de cette rencontre prendra part à la demi-finale de samedi.
L'Écosse devait quant à elle faire face à l'Allemagne, tard vendredi soir. Le vainqueur se retrouvera en finale, dimanche, tandis que le perdant disputera la demi-finale.
Le Canada a eu besoin de victoires contre l'Écosse et l'Australie, jeudi, pour se retrouver dans un peloton de six équipes à égalité au premier rang avec des dossiers identiques de 8-3.
Les six équipes ont été départagées, en vue des matchs éliminatoires et des bris d'égalité, en fonction des résultats obtenus lors d'une compétition d'habiletés disputée avant le tournoi.
Il va sans dire que cette méthode n'a pas fait l'unanimité.
L'Écosse et l'Allemagne sont toutes deux assurées d'une médaille. Ils ne peuvent faire pire que le troisième rang. Pendant ce temps, la Finlande et les États-Unis rentreront à la maison les mains vides.
"Je n'aime pas la façon dont ça s'est passé, a dit Uusipaavalniemi. Six équipes à égalité. Tout le monde était nez à nez. Deux équipes ont reçu une médaille instantanément. Ça me semble un peu injuste."
Le Canadien Nedohin, lui, s'est dit en faveur des règles actuelles. Sauf qu'il ne s'attendait jamais à une égalité à six équipes au premier rang.
"Quand tout le monde a une fiche de 8-3 et que deux équipes obtiennent un avantage énorme par rapport aux équipes qui se retrouvent au bris d'égalité, ce n'est sans doute pas la meilleure façon de faire."
Selon certains, l'Écosse et l'Allemagne auraient dû plutôt être qualifiées d'office pour les demi-finales, où elles auraient affronté les vainqueurs des bris d'égalité.