Blanco souhaite des peines maximales
Cyclisme jeudi, 16 déc. 2010. 13:25 vendredi, 13 déc. 2024. 17:52
MADRID - Le cycliste Alberto Contador et les athlètes impliqués dans l'opération Galgo devraient écoper de suspensions maximales s'ils étaient trouvés coupables, selon le numéro un du Comité olympique espagnol, Alejandro Blanco.
Contador fait face à une suspension de deux ans et à la perte de son titre au Tour de France, après avoir échoué un test antidopage lors de la Grande boucle.
L'opération Galgo, de son côté, a ciblé 14 personnes dont la championnne mondiale du steeplechase, Marta Dominguez.
«Lorsqu'il est prouvé qu'un athlète s'est dopé, il n'y pas lieu d'avoir un débat. Les autorités doivent agir,» a résumé Blanco.
Les résultats sont habituellement annulés et les sommes gagnées peuvent être remboursées, en cas de sanction pour dopage, mais Blanco est aussi ouvert à la suggestion que les athlètes espagnols devraient rembourser les bourses de l'État qui ont été versées pour l'entraînement.
Bien qu'il ait supporté Contador après le test échoué, Blanco rejette du revers de la main la notion que le cycliste aurait un traitement de faveur après que le président de la fédération cycliste, Juan Carlos Castaño Moreta, lui ait aussi exprimé son support.
Contador a échoué un test en raison de la présence de clenbutérol, qui selon lui s'explique par la consommation de viande contaminée.
Blanco se dit préoccupé des suites de Galgo, une enquête de la Garde civile qui crée des remous dans l'athlétisme espagnol - on accuse notamment Dominguez d'avoir agi comme fournisseuse de produits dopants. Il ne croit toutefois pas que la tourmente va affecter négativement l'image de l'Espagne, qui pourrait présenter sa candidature pour les Jeux olympiques de 2022.
Blanco insiste pour dire que l'Espagne est en première ligne de la lutte au dopage.
«Personne ne combat plus le dopage que l'Espagne», dit-il.
Contador fait face à une suspension de deux ans et à la perte de son titre au Tour de France, après avoir échoué un test antidopage lors de la Grande boucle.
L'opération Galgo, de son côté, a ciblé 14 personnes dont la championnne mondiale du steeplechase, Marta Dominguez.
«Lorsqu'il est prouvé qu'un athlète s'est dopé, il n'y pas lieu d'avoir un débat. Les autorités doivent agir,» a résumé Blanco.
Les résultats sont habituellement annulés et les sommes gagnées peuvent être remboursées, en cas de sanction pour dopage, mais Blanco est aussi ouvert à la suggestion que les athlètes espagnols devraient rembourser les bourses de l'État qui ont été versées pour l'entraînement.
Bien qu'il ait supporté Contador après le test échoué, Blanco rejette du revers de la main la notion que le cycliste aurait un traitement de faveur après que le président de la fédération cycliste, Juan Carlos Castaño Moreta, lui ait aussi exprimé son support.
Contador a échoué un test en raison de la présence de clenbutérol, qui selon lui s'explique par la consommation de viande contaminée.
Blanco se dit préoccupé des suites de Galgo, une enquête de la Garde civile qui crée des remous dans l'athlétisme espagnol - on accuse notamment Dominguez d'avoir agi comme fournisseuse de produits dopants. Il ne croit toutefois pas que la tourmente va affecter négativement l'image de l'Espagne, qui pourrait présenter sa candidature pour les Jeux olympiques de 2022.
Blanco insiste pour dire que l'Espagne est en première ligne de la lutte au dopage.
«Personne ne combat plus le dopage que l'Espagne», dit-il.