E. Merckx est malade pour le cyclisme
Cyclisme mardi, 23 oct. 2012. 08:24 samedi, 14 déc. 2024. 17:27
BRUXELLES - L'ancien coureur belge Eddy Merckx, cycliste le plus titré de l'histoire, a commenté l'annonce de l'annulation des sept victoires dans le Tour de France de Lance Armstrong, en déclarant « en être malade » pour son sport, mardi au quotidien bruxellois Le Soir.
« J'en suis malade, pour mon sport exclusivement », a déclaré Merckx, réputé pour être très proche de l'Américain, dont il se distancie dans ses propos retranscrits par Le Soir.
« J'ai rencontré Lance à de nombreuses reprises, jamais il ne m'a parlé de dopage, de médecins ou d'autres choses, assure Merckx. Il n'avait pas de comptes à me rendre non plus, c'était son problème, mais je suis tombé dans le panneau. Je suis étonné de lui, surtout après ce qu'il a vécu. »
Merckx qui redevient co-détenteur des victoires (cinq) dans le Tour de France après le retrait des succès d'Armstrong, se déclare également étonné du comportement des repentis.
« Je suis aussi fâché contre les coureurs qui parlent après aux enquêteurs. Bon sang, qu'ils parlent pendant, au moins, cela servirait la cause. Après, c'est trop tard. Si un coureur s'inquiète de pratiques douteuses, il a le devoir de s'exprimer pour le bien des autres », a regretté Merckx.
« J'en suis malade, pour mon sport exclusivement », a déclaré Merckx, réputé pour être très proche de l'Américain, dont il se distancie dans ses propos retranscrits par Le Soir.
« J'ai rencontré Lance à de nombreuses reprises, jamais il ne m'a parlé de dopage, de médecins ou d'autres choses, assure Merckx. Il n'avait pas de comptes à me rendre non plus, c'était son problème, mais je suis tombé dans le panneau. Je suis étonné de lui, surtout après ce qu'il a vécu. »
Merckx qui redevient co-détenteur des victoires (cinq) dans le Tour de France après le retrait des succès d'Armstrong, se déclare également étonné du comportement des repentis.
« Je suis aussi fâché contre les coureurs qui parlent après aux enquêteurs. Bon sang, qu'ils parlent pendant, au moins, cela servirait la cause. Après, c'est trop tard. Si un coureur s'inquiète de pratiques douteuses, il a le devoir de s'exprimer pour le bien des autres », a regretté Merckx.