"Il faut faire plus pour le cancer"
Cyclisme lundi, 19 janv. 2009. 10:42 mercredi, 11 déc. 2024. 13:34
ADELAIDE - "Le cancer dans le monde est devenu un énorme problème mais nous nous satisfaisons des résultats déjà acquis, ce n'est pas suffisant à mon goût", a déclaré lundi en Australie le coureur cycliste Lance Armstrong.
Le septuple vainqueur du Tour de France, qui est sorti vainqueur de sa lutte contre un cancer des testicules il y a dix ans, s'exprimait devant un parterre de 300 personnes, médecins, patients et responsables associatifs, réunies à l'hôpital royal d'Adelaide.
Lance Armstrong, pour son retour à la compétition après 3 ans et demi d'interruption, a participé à la Cancer Council Classic, un critérium de 51 km qu'il a terminé, dimanche à Adelaide. Il doit s'élancer dès mardi sur le Tour Down Under, une course de reprise qui s'étale sur six jours et réunit les meilleures équipes mondiales.
Armstrong a déjà rappelé ces derniers jours que son retour dans le peloton n'était pas dicté par un besoin d'argent, mais avait essentiellement pour objectif de soutenir la cause de la lutte contre le cancer et notamment de "porter le message de (sa) fondation Livestrong partout dans le monde, et parler du poids de cette maladie.".
"Cette maladie est une vraie terreur"
"Le 11 septembre 2001, plus de 3000 personnes natives du monde entier sont mortes et la planète s'est arrêtée. Cette maladie est une vraie terreur", a souligné le champion cycliste révélant que 28 millions de personnes étaient mortes du cancer durant la période de sa retraite sportive.
"Pendant 18 mois nous avons vérifié si l'association Livestrong pourrait avoir un effet dans la lutte contre la maladie et la réponse est largement affirmative", a-t-il affirmé.
"Lance est un miracle moderne. C'est une bataille que l'on peut vaincre", a commenté lundi le secrétaire fédéral australien au Trésor, Wayne Swan. "Nous avons les moyens, il ne nous reste plus que la volonté", a-t-il dit estimant que "les gouvernements ne peuvent pas tout faire. C'est pour cela que les fondations jouent un rôle clef".
Selon le cancérologue australien David Hill, également présent autour de Lance Armstrong, un cancer sera détecté chez environ 12 millions de personnes dans le monde en 2009. Sur ce chiffre, environ 5 millions d'entre elles devraient en mourir. "Le cancer tue plus que le Sida, la tuberculose et la malaria réunis", a-t-il affirmé.
Le septuple vainqueur du Tour de France, qui est sorti vainqueur de sa lutte contre un cancer des testicules il y a dix ans, s'exprimait devant un parterre de 300 personnes, médecins, patients et responsables associatifs, réunies à l'hôpital royal d'Adelaide.
Lance Armstrong, pour son retour à la compétition après 3 ans et demi d'interruption, a participé à la Cancer Council Classic, un critérium de 51 km qu'il a terminé, dimanche à Adelaide. Il doit s'élancer dès mardi sur le Tour Down Under, une course de reprise qui s'étale sur six jours et réunit les meilleures équipes mondiales.
Armstrong a déjà rappelé ces derniers jours que son retour dans le peloton n'était pas dicté par un besoin d'argent, mais avait essentiellement pour objectif de soutenir la cause de la lutte contre le cancer et notamment de "porter le message de (sa) fondation Livestrong partout dans le monde, et parler du poids de cette maladie.".
"Cette maladie est une vraie terreur"
"Le 11 septembre 2001, plus de 3000 personnes natives du monde entier sont mortes et la planète s'est arrêtée. Cette maladie est une vraie terreur", a souligné le champion cycliste révélant que 28 millions de personnes étaient mortes du cancer durant la période de sa retraite sportive.
"Pendant 18 mois nous avons vérifié si l'association Livestrong pourrait avoir un effet dans la lutte contre la maladie et la réponse est largement affirmative", a-t-il affirmé.
"Lance est un miracle moderne. C'est une bataille que l'on peut vaincre", a commenté lundi le secrétaire fédéral australien au Trésor, Wayne Swan. "Nous avons les moyens, il ne nous reste plus que la volonté", a-t-il dit estimant que "les gouvernements ne peuvent pas tout faire. C'est pour cela que les fondations jouent un rôle clef".
Selon le cancérologue australien David Hill, également présent autour de Lance Armstrong, un cancer sera détecté chez environ 12 millions de personnes dans le monde en 2009. Sur ce chiffre, environ 5 millions d'entre elles devraient en mourir. "Le cancer tue plus que le Sida, la tuberculose et la malaria réunis", a-t-il affirmé.