"Je l'ai toujours su"
Cyclisme dimanche, 3 juin 2007. 13:06 jeudi, 12 déc. 2024. 23:02
MILAN, Italie - Danilo Di Luca s'est dejà offert un cadeau de grand prix, une Audi R8, pour sa première partie de saison qui compte désormais deux grandes victoires, Liège-Bastogne-Liège et le Giro.
Habitué aux succès ("dans les catégories de jeunes, j'ai gagné 250 courses", rappelle-t-il), le coureur italien s'attend à recevoir beaucoup de propositions. "Mais je me sens bien dans ce groupe (Liquigas)", ajoute-t-il.
Q: Est-ce un point de départ ou d'arrivée pour vous ?
R: "On est à la fin du Giro, donc c'est plutôt une arrivée (sourire). Je pense courir encore quatre ans à ce niveau. J'ai d'autres objectifs, le Championnat du monde par exemple, bien que l'arrivée ne me soit pas favorable cette année. Mais, Liège-Bastogne-Liège et le Giro, c'est difficile de faire mieux pour moi. Je savais que je pouvais gagner une course de trois semaines mais bien peu y croyaient. Je l'ai toujours su. Cette fois, j'ai montré sur le terrain que j'en étais capable. Avec les jambes et avec la tête qui a fait la différence."
Q: Avez-vous craint pour la victoire ?
R: "Je n'ai jamais paniqué même quand j'ai été attaqué. C'est un effet de l'âge, de l'expérience. Des défaites aussi. Les grandes victoires se construisent dans les défaites."
Q: Vous êtes-vous surpris ?
R: "J'ai toujours été convaincu que je pouvais faire un grand Giro. En mars, j'ai gagné Milan-Turin, ce qui démontre que je suis compétitif au long de la saison. Je me sentais fort pour gagner aussi Tirreno-Adriatico mais je suis tombé malade, la grippe. Ca m'a ralenti mais, en même temps, ça s'est révélé une chance. Je ne suis pas arrivé en forme trop tôt."
Habitué aux succès ("dans les catégories de jeunes, j'ai gagné 250 courses", rappelle-t-il), le coureur italien s'attend à recevoir beaucoup de propositions. "Mais je me sens bien dans ce groupe (Liquigas)", ajoute-t-il.
Q: Est-ce un point de départ ou d'arrivée pour vous ?
R: "On est à la fin du Giro, donc c'est plutôt une arrivée (sourire). Je pense courir encore quatre ans à ce niveau. J'ai d'autres objectifs, le Championnat du monde par exemple, bien que l'arrivée ne me soit pas favorable cette année. Mais, Liège-Bastogne-Liège et le Giro, c'est difficile de faire mieux pour moi. Je savais que je pouvais gagner une course de trois semaines mais bien peu y croyaient. Je l'ai toujours su. Cette fois, j'ai montré sur le terrain que j'en étais capable. Avec les jambes et avec la tête qui a fait la différence."
Q: Avez-vous craint pour la victoire ?
R: "Je n'ai jamais paniqué même quand j'ai été attaqué. C'est un effet de l'âge, de l'expérience. Des défaites aussi. Les grandes victoires se construisent dans les défaites."
Q: Vous êtes-vous surpris ?
R: "J'ai toujours été convaincu que je pouvais faire un grand Giro. En mars, j'ai gagné Milan-Turin, ce qui démontre que je suis compétitif au long de la saison. Je me sentais fort pour gagner aussi Tirreno-Adriatico mais je suis tombé malade, la grippe. Ca m'a ralenti mais, en même temps, ça s'est révélé une chance. Je ne suis pas arrivé en forme trop tôt."