"Je n'ai jamais eu de problème de dopage"
Cyclisme vendredi, 17 oct. 2003. 12:48 vendredi, 13 déc. 2024. 12:51
(Source d'image:RDS)
COME (AFP) - L'Espagnol Igor Astarloa, nouveau champion du monde de cyclisme, a affirmé de nouveau être "tout à fait tranquille" à propos du contrôle antidopage supplémentaire auquel il a dû se soumettre samedi dernier à la veille de la course arc-en-ciel.
"Je n'ai jamais eu de problème de dopage", a assuré Astarloa à l'occasion d'une conférence de presse tenue vendredi à Côme avant le Tour de Lombardie. "J'ai été souvent contrôlé, une douzaine de fois cette année, et même encore à la Vuelta".
Les résultats des contrôles supplémentaires sont attendus dans le courant de la semaine prochaine, probablement mercredi ou jeudi, selon une source officielle.
Cinq coureurs au total (trois Espagnols, un Italien et un Belge selon la presse italienne) ont fait l'objet d'un contrôle urinaire inopiné après avoir satisfait à un prélèvement sanguin.
Ce type de procédure est diligenté par l'Union cycliste internationale (UCI) en cas d'anomalie dans le bilan sanguin d'un coureur.
Claudio Corti, manageur du groupe Saeco pour lequel court Astarloa jusqu'à la fin de la saison, s'est indigné pour sa part de la "présomption de culpabilité" qu'il a estimé avoir lue dans les articles de presse.
Pour le reste, Astarloa, qui a lu une longue lettre avant de répondre aux questions, a souligné ce qu'il devait à l'Italie, son pays d'accueil depuis quatre ans.
Le coureur basque est revenu brièvement aussi sur la polémique qu'il avait lui-même suscitée dimanche soir en évoquant une demande de tractation de l'Italien Paolo Bettini pendant le Championnat du monde.
"La seule fois que Bettini m'a payé quelque chose, c'est un repas pendant que nous étions en vacances aux Caraïbes", a préféré plaisanter Astarloa qui a déjà présenté ses excuses au coureur italien pour ce "malentendu".
Après le Tour de Lombardie, le nouveau champion du monde a prévu de courir un critérium dimanche à Mestre, près de Venise, puis Florence-Pistoia contre-la-montre le 25 octobre.
"Je n'ai jamais eu de problème de dopage", a assuré Astarloa à l'occasion d'une conférence de presse tenue vendredi à Côme avant le Tour de Lombardie. "J'ai été souvent contrôlé, une douzaine de fois cette année, et même encore à la Vuelta".
Les résultats des contrôles supplémentaires sont attendus dans le courant de la semaine prochaine, probablement mercredi ou jeudi, selon une source officielle.
Cinq coureurs au total (trois Espagnols, un Italien et un Belge selon la presse italienne) ont fait l'objet d'un contrôle urinaire inopiné après avoir satisfait à un prélèvement sanguin.
Ce type de procédure est diligenté par l'Union cycliste internationale (UCI) en cas d'anomalie dans le bilan sanguin d'un coureur.
Claudio Corti, manageur du groupe Saeco pour lequel court Astarloa jusqu'à la fin de la saison, s'est indigné pour sa part de la "présomption de culpabilité" qu'il a estimé avoir lue dans les articles de presse.
Pour le reste, Astarloa, qui a lu une longue lettre avant de répondre aux questions, a souligné ce qu'il devait à l'Italie, son pays d'accueil depuis quatre ans.
Le coureur basque est revenu brièvement aussi sur la polémique qu'il avait lui-même suscitée dimanche soir en évoquant une demande de tractation de l'Italien Paolo Bettini pendant le Championnat du monde.
"La seule fois que Bettini m'a payé quelque chose, c'est un repas pendant que nous étions en vacances aux Caraïbes", a préféré plaisanter Astarloa qui a déjà présenté ses excuses au coureur italien pour ce "malentendu".
Après le Tour de Lombardie, le nouveau champion du monde a prévu de courir un critérium dimanche à Mestre, près de Venise, puis Florence-Pistoia contre-la-montre le 25 octobre.