Joao Cabreira renonce à son appel
Cyclisme vendredi, 8 mai 2009. 11:20 mercredi, 11 déc. 2024. 16:43
LISBONNE - Le champion du Portugal sur route Joao Cabreira a fait annuler en appel une sanction de deux ans de suspension qui lui avait été infligée parce qu'il aurait utilisé une substance masquante pour truquer les résultats d'un contrôle antidopage.
La Fédération portugaise de cyclisme a informé jeudi soir l'agence Lusa qu'elle a acquitté Cabreira en appel et annulé sa suspension. Elle n'a pas donné plus de détail.
La Fédération avait sanctionné Cabreira en février, convaincue qu'il avait truqué un contrôle effectué l'an dernier.
Le laboratoire antidopage portugais, ayant soupçonné un problème avec les échantillons de Cabreira, les avait envoyés à Cologne, où de la protéase avait été détectée. Le laboratoire allemand avait indiqué que cette enzyme est souvent utilisée pour masquer des produits dopants.
L'ex-coureur LA-MSS s'était déclaré innocent et avait fait appel.
Luis Horta, le directeur du laboratoire portugais antidopage, a indiqué à Lusa que le jugement d'appel de la fédération va être envoyé à l'Union cycliste internationale (UCI) et à l'Agence mondiale antidopage (AMA) qui décideront des suites à donner l'affaire.
La Fédération portugaise de cyclisme a informé jeudi soir l'agence Lusa qu'elle a acquitté Cabreira en appel et annulé sa suspension. Elle n'a pas donné plus de détail.
La Fédération avait sanctionné Cabreira en février, convaincue qu'il avait truqué un contrôle effectué l'an dernier.
Le laboratoire antidopage portugais, ayant soupçonné un problème avec les échantillons de Cabreira, les avait envoyés à Cologne, où de la protéase avait été détectée. Le laboratoire allemand avait indiqué que cette enzyme est souvent utilisée pour masquer des produits dopants.
L'ex-coureur LA-MSS s'était déclaré innocent et avait fait appel.
Luis Horta, le directeur du laboratoire portugais antidopage, a indiqué à Lusa que le jugement d'appel de la fédération va être envoyé à l'Union cycliste internationale (UCI) et à l'Agence mondiale antidopage (AMA) qui décideront des suites à donner l'affaire.