La réponse aux plaintes d'Armstrong
Cyclisme mardi, 23 août 2011. 13:05 samedi, 14 déc. 2024. 06:24
LOS ANGELES - Les procureurs fédéraux menant l'enquête sur les allégations de dopage contre l'ex-champion cycliste Lance Armstrong ont répondu aux plaintes de fuites dans l'enquête devant un grand jury sans révéler publiquement leur réponse.
Thom Mrozek, porte-parole du Bureau du procureur général des États-Unis, a indiqué tard lundi que la réponse des procureurs avait été soumise sous scellés afin de ne pas aller à l'encontre des règles garantissant le secret des procédures devant un grand jury.
Les avocats d'Armstrong ont déposé une plainte en juillet dernier. Ils prétendent que des fuites dans cette enquête ont sali la réputation du septuple vainqueur du Tour de France.
Dans cette plainte, qui n'a pas été présentée sous scellés, les avocats prétendent que des informations rapportées par The Associated Press, The Wall Street Journal, The New York Times et d'autres médias ne pouvaient provenir que de représentants du gouvernement qui ne pouvaient pas, selon la loi, discuter des procédures. Un juge avait demandé aux procureurs de répondre à cette plainte avant lundi.
Les avocats d'Armstrong tentent d'obtenir d'un juge une ordonnance obligeant les représentants du gouvernement à dévoiler les détails de leurs discussions avec les reporters et d'accuser les personnes responsables de ces fuites d'outrage au tribunal. Les avocats ont également suggéré que la cour pourrait, en dernier recours, forcer les journalistes à dévoiler leurs sources.
Depuis plus d'un an, un grand jury basé à Los Angeles enquête sur les allégations de dopage touchant Armstrong, mais aucune accusation n'a été déposée.
Thom Mrozek, porte-parole du Bureau du procureur général des États-Unis, a indiqué tard lundi que la réponse des procureurs avait été soumise sous scellés afin de ne pas aller à l'encontre des règles garantissant le secret des procédures devant un grand jury.
Les avocats d'Armstrong ont déposé une plainte en juillet dernier. Ils prétendent que des fuites dans cette enquête ont sali la réputation du septuple vainqueur du Tour de France.
Dans cette plainte, qui n'a pas été présentée sous scellés, les avocats prétendent que des informations rapportées par The Associated Press, The Wall Street Journal, The New York Times et d'autres médias ne pouvaient provenir que de représentants du gouvernement qui ne pouvaient pas, selon la loi, discuter des procédures. Un juge avait demandé aux procureurs de répondre à cette plainte avant lundi.
Les avocats d'Armstrong tentent d'obtenir d'un juge une ordonnance obligeant les représentants du gouvernement à dévoiler les détails de leurs discussions avec les reporters et d'accuser les personnes responsables de ces fuites d'outrage au tribunal. Les avocats ont également suggéré que la cour pourrait, en dernier recours, forcer les journalistes à dévoiler leurs sources.
Depuis plus d'un an, un grand jury basé à Los Angeles enquête sur les allégations de dopage touchant Armstrong, mais aucune accusation n'a été déposée.