Laurent Jalabert veut prendre sa revanche
Cyclisme samedi, 25 août 2001. 12:13 samedi, 14 déc. 2024. 16:39
(Source d'image:RDS)
ZURICH (AFP) - Laurent Jalabert espère venir à bout des 250 km du circuit du Championnat de Zurich, huitième étape de la Coupe du monde cycliste, dont le départ a lieu dimanche, afin d'effacer le souvenir de son abandon l'année dernière sur cette même épreuve.
"L'an passé, j'étais au creux de la vague et surtout en méforme après le Tour de France. Si on n'est pas au top sur une course aussi dure que Zurich, ce n'est même pas la peine", explique-t-il.
Hors-course lors de la dernière édition, Jalabert se présente cette année sur les routes suisses avec une forme et un palmarès 2001 "plus que satisfaisants" et des envies de revanche, lui dont la meilleure position dans cette épreuve remonte à 1991, avec une deuxième place derrière le Belge Johan Museeuw, forfait cette année.
Même si son arrivée tardive dans le peloton, pour cause de blessure, le prive de figurer au classement général de la Coupe du monde, le maillot à pois du Tour ne boude pas son plaisir après sa victoire à San Sebastian et espère bien se placer dimanche.
Répétition générale
"Zurich est la grande classique du mois d'août avec San Sebastian, estime Jalabert. Tous les meilleurs seront là, cela donne plus de valeur à la victoire. Cela permet aussi d'avoir une course plus limpide, pas focalisée sur un seul coureur".
"Il n'y a pas de bonne tactique tant il est difficile de venir à bout du nouveau circuit avec ses six boucles, ajoute le Mazamétain. Je redoute seulement de ne pas être dans une bonne journée".
De fait, la difficulté du parcours, avec notamment l'ascension du Pfannenstiel, et la richesse du plateau proposé à Zurich, donnent à cette épreuve des allures de répétition générale pour le Championnat du monde (le 14 octobre à Lisbonne), où l'ancien numéro un mondial, âgé de 32 ans, espère bien briller.
"C'est mon prochain grand rendez-vous, admet-il. En attendant, une victoire à Zurich est toujours bonne à prendre, même si cela n'a rien à voir avec mes chances de remporter le Mondial".
"L'an passé, j'étais au creux de la vague et surtout en méforme après le Tour de France. Si on n'est pas au top sur une course aussi dure que Zurich, ce n'est même pas la peine", explique-t-il.
Hors-course lors de la dernière édition, Jalabert se présente cette année sur les routes suisses avec une forme et un palmarès 2001 "plus que satisfaisants" et des envies de revanche, lui dont la meilleure position dans cette épreuve remonte à 1991, avec une deuxième place derrière le Belge Johan Museeuw, forfait cette année.
Même si son arrivée tardive dans le peloton, pour cause de blessure, le prive de figurer au classement général de la Coupe du monde, le maillot à pois du Tour ne boude pas son plaisir après sa victoire à San Sebastian et espère bien se placer dimanche.
Répétition générale
"Zurich est la grande classique du mois d'août avec San Sebastian, estime Jalabert. Tous les meilleurs seront là, cela donne plus de valeur à la victoire. Cela permet aussi d'avoir une course plus limpide, pas focalisée sur un seul coureur".
"Il n'y a pas de bonne tactique tant il est difficile de venir à bout du nouveau circuit avec ses six boucles, ajoute le Mazamétain. Je redoute seulement de ne pas être dans une bonne journée".
De fait, la difficulté du parcours, avec notamment l'ascension du Pfannenstiel, et la richesse du plateau proposé à Zurich, donnent à cette épreuve des allures de répétition générale pour le Championnat du monde (le 14 octobre à Lisbonne), où l'ancien numéro un mondial, âgé de 32 ans, espère bien briller.
"C'est mon prochain grand rendez-vous, admet-il. En attendant, une victoire à Zurich est toujours bonne à prendre, même si cela n'a rien à voir avec mes chances de remporter le Mondial".