Les médias américains choqués mais prudents
Cyclisme jeudi, 27 juil. 2006. 12:47 samedi, 14 déc. 2024. 13:58
LOS ANGELES (AFP) - Les premières réactions des médias américains à l'annonce jeudi du contrôle antidopage positif du vainqueur du Tour de France cycliste, l'Américain Floyd Landis, ont été partagées entre le choc et la prudence, dans l'attente de l'analyse de l'échantillon B.
Décalage horaire oblige, les premiers médias à réagir ont été les chaînes de télévisions, avec des "breaking news" relatant l'annonce toute la matinée.
Dans l'ensemble, les analystes se sont montrés "sous le choc", à l'image de l'expert de la chaîne sportive spécialisée, ESPN.
La chaîne d'informations continues CNN a, elle aussi, affiché sa "surprise" par l'intermédiaire de son spécialiste du cyclisme David Shields.
"Personnellement, j'ai du mal à ne pas le (Landis) croire. C'est un triste jour", a déclaré Shields qui explique que Landis prend de la cortisone pour ses problèmes de hanches, problèmes qui l'obligent d'ailleurs à se faire opérer dans les prochaines semaines.
Et si Shields explique que dorénavant la réputation de Landis est entachée "pour toujours quoiqu'il arrive avec l'échantillon B", les médias américains préfèrent se montrer prudents.
ESPN insiste sur le fait que le second échantillon n'a pas encore été analysé et que "tous les sportifs qui ont mis en doute les analyses devant la justice ont obtenus gain de cause".
Décalage horaire oblige, les premiers médias à réagir ont été les chaînes de télévisions, avec des "breaking news" relatant l'annonce toute la matinée.
Dans l'ensemble, les analystes se sont montrés "sous le choc", à l'image de l'expert de la chaîne sportive spécialisée, ESPN.
La chaîne d'informations continues CNN a, elle aussi, affiché sa "surprise" par l'intermédiaire de son spécialiste du cyclisme David Shields.
"Personnellement, j'ai du mal à ne pas le (Landis) croire. C'est un triste jour", a déclaré Shields qui explique que Landis prend de la cortisone pour ses problèmes de hanches, problèmes qui l'obligent d'ailleurs à se faire opérer dans les prochaines semaines.
Et si Shields explique que dorénavant la réputation de Landis est entachée "pour toujours quoiqu'il arrive avec l'échantillon B", les médias américains préfèrent se montrer prudents.
ESPN insiste sur le fait que le second échantillon n'a pas encore été analysé et que "tous les sportifs qui ont mis en doute les analyses devant la justice ont obtenus gain de cause".