Menchov lorgne désormais le TDF
Cyclisme dimanche, 31 mai 2009. 15:16 mercredi, 11 déc. 2024. 17:36
ROME - Denis Menchov, qui estime avoir obtenu dans le Giro la victoire la plus importante de sa carrière, lorgne désormais vers le prochain Tour de France.
Q: A quoi avez-vous pensé au moment de votre chute ?
R: "Je n'ai pas eu le temps de penser, ça s'est passé tellement vite. Dans l'oreillette, j'ai entendu 'pas de risque, pas de risque'. Le premier mouvement, c'est de reprendre le vélo. Mais c'était trop risqué. Heureusement, le mécanicien, très professionnel, était déjà là avec un autre vélo. Au début du contre-la-montre, quand j'ai su que Di Luca avait 5 secondes d'avance, j'ai eu un petit moment de panique. Non, pas de panique mais pas loin. Puis, le renseignement suivant m'a rassuré."
Q: Racontez-nous votre Giro...
R: "Au départ, je savais que le contre-la-montre des Cinqueterre serait l'étape la plus importante. Je me suis concentré sur cette étape et tout s'est bien passé. J'ai pris du temps ce jour-là puis les circonstances de course, les intérêts des uns et des autres, ont joué en ma faveur. On peut dire que ça s'est passé de façon idéale. Je ne pouvais pas supposer que tout se déroulerait ainsi. C'est au jour le jour que ça se décide. Danilo était très fort dans les montées. Je pense qu'il a bien couru. Il a exploité toutes les possibilités qui s'offraient à lui. Plusieurs fois, nos intérêts ont concordé. Il a couru derrière des adversaires qui étaient aussi les miens. C'est la course !"
Q: Qu'attendez-vous du Tour de France?
R: "Cette victoire au Giro est la plus importante de ma carrière. Elle me donne une grande confiance. Je sais que je peux gagner le Tour. Mais ce n'est pas pour autant que je vais gagner. Je peux le faire, ça fait partie des possibilités. Il faut que tout se passe bien. Je suis toujours le même. Mais je suis dans mes meilleures années."
Q: A quoi avez-vous pensé au moment de votre chute ?
R: "Je n'ai pas eu le temps de penser, ça s'est passé tellement vite. Dans l'oreillette, j'ai entendu 'pas de risque, pas de risque'. Le premier mouvement, c'est de reprendre le vélo. Mais c'était trop risqué. Heureusement, le mécanicien, très professionnel, était déjà là avec un autre vélo. Au début du contre-la-montre, quand j'ai su que Di Luca avait 5 secondes d'avance, j'ai eu un petit moment de panique. Non, pas de panique mais pas loin. Puis, le renseignement suivant m'a rassuré."
Q: Racontez-nous votre Giro...
R: "Au départ, je savais que le contre-la-montre des Cinqueterre serait l'étape la plus importante. Je me suis concentré sur cette étape et tout s'est bien passé. J'ai pris du temps ce jour-là puis les circonstances de course, les intérêts des uns et des autres, ont joué en ma faveur. On peut dire que ça s'est passé de façon idéale. Je ne pouvais pas supposer que tout se déroulerait ainsi. C'est au jour le jour que ça se décide. Danilo était très fort dans les montées. Je pense qu'il a bien couru. Il a exploité toutes les possibilités qui s'offraient à lui. Plusieurs fois, nos intérêts ont concordé. Il a couru derrière des adversaires qui étaient aussi les miens. C'est la course !"
Q: Qu'attendez-vous du Tour de France?
R: "Cette victoire au Giro est la plus importante de ma carrière. Elle me donne une grande confiance. Je sais que je peux gagner le Tour. Mais ce n'est pas pour autant que je vais gagner. Je peux le faire, ça fait partie des possibilités. Il faut que tout se passe bien. Je suis toujours le même. Mais je suis dans mes meilleures années."