On aurait proposé un marché à Ullrich
Cyclisme dimanche, 9 mars 2008. 13:21 vendredi, 13 déc. 2024. 04:00
BERLIN - La justice allemande aurait proposé à l'Allemand Jan Ullrich, accusé d'avoir eu recours au dopage sanguin, d'abandonner ses poursuites en échange d'aveux et du paiement d'une amende d'un million d'euros, rapporte le magazine Focus, à paraître lundi.
Selon l'hebdomadaire allemand, le parquet de Bonn (ouest de l'Allemagne) aurait proposé cet accord à l'amiable aux avocats d'Ullrich en échange de l'abandon de la procédure en cours contre le vainqueur du Tour de France 1997.
Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière professionnelle début 2007, a toujours nié avoir eu recours au dopage en dépit des évidences: en avril 2007 la justice allemande avait indiqué que des poches de sang retrouvées dans le cadre de l'affaire Puerto avaient été attribuées à Ullrich après analyse ADN.
Licencié par T-Mobile en juillet 2006 après son exclusion du Tour de France, Ullrich fait l'objet, en l'absence d'un délit de dopage en Allemagne, d'une plainte pour escroquerie à l'égard de son employeur.
Il est également impliqué dans une autre procédure contre le professeur Werner Franke, chantre de la lutte antidopage en Allemagne. Tous deux ont entamé des poursuites judiciaires l'un contre l'autre pour diffamation.
Le parquet de Bonn n'était pas joignable dimanche.
Selon l'hebdomadaire allemand, le parquet de Bonn (ouest de l'Allemagne) aurait proposé cet accord à l'amiable aux avocats d'Ullrich en échange de l'abandon de la procédure en cours contre le vainqueur du Tour de France 1997.
Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière professionnelle début 2007, a toujours nié avoir eu recours au dopage en dépit des évidences: en avril 2007 la justice allemande avait indiqué que des poches de sang retrouvées dans le cadre de l'affaire Puerto avaient été attribuées à Ullrich après analyse ADN.
Licencié par T-Mobile en juillet 2006 après son exclusion du Tour de France, Ullrich fait l'objet, en l'absence d'un délit de dopage en Allemagne, d'une plainte pour escroquerie à l'égard de son employeur.
Il est également impliqué dans une autre procédure contre le professeur Werner Franke, chantre de la lutte antidopage en Allemagne. Tous deux ont entamé des poursuites judiciaires l'un contre l'autre pour diffamation.
Le parquet de Bonn n'était pas joignable dimanche.