Pas la bienvenue au Tour d'Allemagne
Cyclisme vendredi, 27 juil. 2007. 10:16 mercredi, 11 déc. 2024. 05:39
BERLIN - Les organisateurs du Tour d'Allemagne ont indiqué vendredi qu'ils n'avaient pas l'intention de laisser la formation Astana, dont le leader Alexandre Vinokourov a fait l'objet d'un contrôle antidopage positif, participer à leur épreuve du 10 au 18 août.
"Astana aura un problème avec nous, nous ne la voyons pas prendre le départ de l'épreuve", a déclaré Kai Rapp, le directeur du Tour d'Allemagne, à l'édition électronique du magazine allemand Der Spiegel.
"Nous sommes décidés à prendre les responsabilités que nous n'avions pas jusqu'à présent", a insisté M. Rapp lorsque Der Spiegel lui fait remarquer que, du fait de l'appartenance de son épreuve au calendrier du ProTour, il n'avait aucun droit de regard sur la liste des équipes participantes.
Le patron du Tour d'Allemagne estime que les organisateurs du Tour de France ont été pris au piège: "Ils n'étaient pas obligés de laisser participer Astana, car leur épreuve ne fait pas partie du ProTour, mais ils ont fait des compromis pour ne pas détruire le ProTour et leur confiance a été trahie".
M. Rapp a également indiqué qu'une personne au sein de son comité d'organisation "était chargée exclusivement de contrôler les curriculum vitae et palmarès des coureurs".
"S'il trouve un problème (relatif au dopage), le coureur aura des problèmes avec nous", a-t-il insisté.
En revanche, les équipes T-Mobile et Cofidis, dont deux coureurs, respectivement Patrik Sinkewitz et Cristian Moreni, ont été contrôlés positif à la testostérone, devraient pouvoir participer à l'épreuve qui s'élance de Sarrebruck le 10 août.
"Le cas est complètement différent (de celui d'Astana). Nous allons voir comment ces équipes ont réagi à ces affaires (...), mais je trouve par exemple la décision de Cofidis de se retirer du Tour de France après l'affaire Moreni convaincante", a insisté M. Rapp.
En ce qui concerne la retransmission à la télévision allemande de son épreuve, Kai Rapp a indiqué qu'"une décision sera prise par ARD (l'une des deux chaînes publiques qui ont arrêté la diffusion du Tour de France après l'affaire Sinkewitz, NDLR) dans la semaine à venir".
"Astana aura un problème avec nous, nous ne la voyons pas prendre le départ de l'épreuve", a déclaré Kai Rapp, le directeur du Tour d'Allemagne, à l'édition électronique du magazine allemand Der Spiegel.
"Nous sommes décidés à prendre les responsabilités que nous n'avions pas jusqu'à présent", a insisté M. Rapp lorsque Der Spiegel lui fait remarquer que, du fait de l'appartenance de son épreuve au calendrier du ProTour, il n'avait aucun droit de regard sur la liste des équipes participantes.
Le patron du Tour d'Allemagne estime que les organisateurs du Tour de France ont été pris au piège: "Ils n'étaient pas obligés de laisser participer Astana, car leur épreuve ne fait pas partie du ProTour, mais ils ont fait des compromis pour ne pas détruire le ProTour et leur confiance a été trahie".
M. Rapp a également indiqué qu'une personne au sein de son comité d'organisation "était chargée exclusivement de contrôler les curriculum vitae et palmarès des coureurs".
"S'il trouve un problème (relatif au dopage), le coureur aura des problèmes avec nous", a-t-il insisté.
En revanche, les équipes T-Mobile et Cofidis, dont deux coureurs, respectivement Patrik Sinkewitz et Cristian Moreni, ont été contrôlés positif à la testostérone, devraient pouvoir participer à l'épreuve qui s'élance de Sarrebruck le 10 août.
"Le cas est complètement différent (de celui d'Astana). Nous allons voir comment ces équipes ont réagi à ces affaires (...), mais je trouve par exemple la décision de Cofidis de se retirer du Tour de France après l'affaire Moreni convaincante", a insisté M. Rapp.
En ce qui concerne la retransmission à la télévision allemande de son épreuve, Kai Rapp a indiqué qu'"une décision sera prise par ARD (l'une des deux chaînes publiques qui ont arrêté la diffusion du Tour de France après l'affaire Sinkewitz, NDLR) dans la semaine à venir".