Semaine Coppi Bartali: Quaranta enlève l'étape et Celestino conserve le maillot de leader
Cyclisme vendredi, 28 mars 2003. 17:11 samedi, 14 déc. 2024. 04:35
(Source d'image:RDS)
Montréal (Sportcom) Après la très difficile étape de jeudi, longue de 247 kilomètres et comprenant de nombreuses montées, le peloton a levé le pied durant une bonne partie de la troisième journée de la Semaine cycliste internationale Coppi Bartali, jeudi, en Italie.
Le parcours plat de 154 kilomètres (départ et arrivée à Nonantola) a été remporté au sprint par l'Italien Ivan Quaranta de la formation Saeco. Au classement général provisoire, Mirko Celestino, coéquipier du vainqueur du jour, demeure le meneur. Dominique Perras a terminé dans le peloton.
« Tout a été bien tranquille durant deux heures. Après, dans la dernière heure et demie, nous sommes rarement descendus sous les 55 km/h », a expliqué Dominique Perras, qui avait vu juste en prédisant la veille une arrivée au sprint. « Tout le monde était encore fatigué d'hier (jeudi). Des courses aussi longues il y en a, mais habituellement elles sont présentées sur une journée au lieu de l'être dans une compétition par étapes. Et encore là, les distances tournent souvent plus autour de 200 que 250 kilomètres. »
Le retour du Pirate
La Semaine cycliste internationale Coppi Bartali marque le retour à la compétition de Marco Pantani, le gagnant de l'édition 1998 du Tour de France. Après divers problèmes avec la justice italienne pour des affaires de dopage, celui que l'on surnomme « Le Pirate » occupe le 11e rang, accusant un retard de 54 secondes sur Celestino, « Il est beaucoup plus populaire que n'importe quel coureur. C'est la folie furieuse », a mentionné le Québécois pour décrire l'impact de Pantani sur la course.
Samedi, 188 kilomètres attendront les coureurs entre les villes de Sassuolo et Prignano.
« Demain, l'objectif sera de survivre ! Ça risque de péter de partout dans le peloton », a conclu Perras dans un grand éclat de rire.
Le parcours plat de 154 kilomètres (départ et arrivée à Nonantola) a été remporté au sprint par l'Italien Ivan Quaranta de la formation Saeco. Au classement général provisoire, Mirko Celestino, coéquipier du vainqueur du jour, demeure le meneur. Dominique Perras a terminé dans le peloton.
« Tout a été bien tranquille durant deux heures. Après, dans la dernière heure et demie, nous sommes rarement descendus sous les 55 km/h », a expliqué Dominique Perras, qui avait vu juste en prédisant la veille une arrivée au sprint. « Tout le monde était encore fatigué d'hier (jeudi). Des courses aussi longues il y en a, mais habituellement elles sont présentées sur une journée au lieu de l'être dans une compétition par étapes. Et encore là, les distances tournent souvent plus autour de 200 que 250 kilomètres. »
Le retour du Pirate
La Semaine cycliste internationale Coppi Bartali marque le retour à la compétition de Marco Pantani, le gagnant de l'édition 1998 du Tour de France. Après divers problèmes avec la justice italienne pour des affaires de dopage, celui que l'on surnomme « Le Pirate » occupe le 11e rang, accusant un retard de 54 secondes sur Celestino, « Il est beaucoup plus populaire que n'importe quel coureur. C'est la folie furieuse », a mentionné le Québécois pour décrire l'impact de Pantani sur la course.
Samedi, 188 kilomètres attendront les coureurs entre les villes de Sassuolo et Prignano.
« Demain, l'objectif sera de survivre ! Ça risque de péter de partout dans le peloton », a conclu Perras dans un grand éclat de rire.