Tour d'Italie : trois prétendants
Cyclisme jeudi, 6 mai 2010. 13:40 samedi, 14 déc. 2024. 12:54
AMSTERDAM - Trois favoris, l'Espagnol Carlos Sastre, l'Australien Cadel Evans et l'Italien Ivan Basso, ont déclaré ouvertement leurs ambitions de victoire dans le Giro, jeudi, à deux jours du départ d'une course qui a aussi le Kazakh Alexandre Vinokourov pour postulant.
"Je viens pour gagner", ont affirmé à tour de rôle Sastre, Evans et Basso, lors de la traditionnelle conférence de presse d'avant-course qui réunissait les coureurs engagés déjà vainqueurs d'un grand tour.
Si les Italiens Damiano Cunego, Stefano Garzelli et Gilberto Simoni, autres lauréats, ont fait part d'objectifs différents, Vinokourov s'est montré sur la réserve. Mais c'est son nom qu'Evans a cité lorsque le champion du monde a été invité à désigner son principal adversaire.
"La condition est là", a admis le Kazakh, récent vainqueur de Liège-Bastogne-Liège. "Je suis prêt. Je suis là pour gagner une étape, peut-être porter le maillot rose quelques jours. Je suis motivé".
"Je pars dans l'inconnu. C'est la première fois que je cours le Giro. Je viens sans pression, je verrai jour après jour", a ajouté Vinokourov en précisant qu'il n'avait pas procédé à des reconnaissances de parcours.
"Je sais que les montées sont très raides. Ce sont des cols très durs", a-t-il noté tout en soulignant: "La troisième semaine, c'est différent. Il faut surtout avoir récupéré."
Pour sa part, Basso, vainqueur du Giro 2006 (et 4e l'année passée), a estimé se présenter "dans une condition un peu inférieure" à celle qu'il espérait. Mais, a ajouté le Varésan, "le Giro est une course de trois semaines".
Tous, de Cunego à Garzelli qui ont annoncé viser les victoires d'étape, ont insisté sur la difficulté de l'épreuve, très montagneuse dans sa dernière partie.
"Ce Giro est très dur, surtout les huit dernières journées", a résumé Sastre.
"Je viens pour gagner", ont affirmé à tour de rôle Sastre, Evans et Basso, lors de la traditionnelle conférence de presse d'avant-course qui réunissait les coureurs engagés déjà vainqueurs d'un grand tour.
Si les Italiens Damiano Cunego, Stefano Garzelli et Gilberto Simoni, autres lauréats, ont fait part d'objectifs différents, Vinokourov s'est montré sur la réserve. Mais c'est son nom qu'Evans a cité lorsque le champion du monde a été invité à désigner son principal adversaire.
"La condition est là", a admis le Kazakh, récent vainqueur de Liège-Bastogne-Liège. "Je suis prêt. Je suis là pour gagner une étape, peut-être porter le maillot rose quelques jours. Je suis motivé".
"Je pars dans l'inconnu. C'est la première fois que je cours le Giro. Je viens sans pression, je verrai jour après jour", a ajouté Vinokourov en précisant qu'il n'avait pas procédé à des reconnaissances de parcours.
"Je sais que les montées sont très raides. Ce sont des cols très durs", a-t-il noté tout en soulignant: "La troisième semaine, c'est différent. Il faut surtout avoir récupéré."
Pour sa part, Basso, vainqueur du Giro 2006 (et 4e l'année passée), a estimé se présenter "dans une condition un peu inférieure" à celle qu'il espérait. Mais, a ajouté le Varésan, "le Giro est une course de trois semaines".
Tous, de Cunego à Garzelli qui ont annoncé viser les victoires d'étape, ont insisté sur la difficulté de l'épreuve, très montagneuse dans sa dernière partie.
"Ce Giro est très dur, surtout les huit dernières journées", a résumé Sastre.