Tour d'Italie: un parcours exigeant
Cyclisme samedi, 22 janv. 2005. 15:28 jeudi, 12 déc. 2024. 21:44
MILAN (AFP) - Le 88e Tour d'Italie cycliste qui s'élancera le 7 mai à Reggio de Calabre (sud), pour se terminer le 29 mai à Milan (nord) après 3.464,65 km, répartis sur 20 étapes, semble particulièrement exigeant.
La course qui débutera par un prologue de 1,150 km en contre-la-montre dans les rues de Reggio de Calabre, comptera deux étapes contre la montre de 41,5 km et 31 km, ainsi que cinq étapes de haute montagne, dont trois arrivées en altitude. Les coureurs bénéficieront aussi de deux jours de repos.
Le découpage du parcours dévoilé au Mazda Palace de Milan, offre toutes sortes de possibilités, non seulement aux grimpeurs spécialisés, mais aussi aux sprinteurs et aux rouleurs solitaires.
Il ne laisse pratiquement aucun temps mort et la dernière semaine est à couper le souffle, tant elle est truffée de montées souvent longues et à fort pourcentage.
"Ce Giro me plaît"
Après deux éditions surtout consacrées aux étapes planes dédiées aux finisseurs, le Giro 2005, permet un retour aux sources avec plusieurs étapes de moyenne montagne qui n'offriront aucun répit.
Après une première semaine consacrée surtout aux joutes entre sprinteurs, la course entrera dans le vif du sujet avec sa grande entrée en haute montagne qu'elle ne quittera plus pratiquement jusqu'à la veille de l'arrivée à Milan.
La montée du Stelvio, un des haut-lieux de l'histoire du Giro avec la cima Coppi "toit" de la course culminant à 2.034 m constituera certainement le grand tournant de l'épreuve.
"Pour l'instant je peux dire que ce Giro, me plaît, mais il faudra le voir de plus près pour juger. J'ai l'impression que c'est une course favorable aux grimpeurs" a commenté Damiani Cunego, vainqueur en 2004.
Son compatriote Ivan Basso, qui s'est en grande évidence lors du dernier Tour de France, nourri aussi des légitimes ambitions: "J'ai déjà disputé trois tours de France, à présent je veux être prêt pour un grand Giro" a-t-il expliqué.
Stefano Garzelli prendra le départ lui aussi avec l'intention de faire parler de lui en ma prochain, sur des routes dont beaucoup lui sont familières: "Je partirai pour gagner, pourquoi ne pas me mettre dans le lot des favoris?"
La course qui débutera par un prologue de 1,150 km en contre-la-montre dans les rues de Reggio de Calabre, comptera deux étapes contre la montre de 41,5 km et 31 km, ainsi que cinq étapes de haute montagne, dont trois arrivées en altitude. Les coureurs bénéficieront aussi de deux jours de repos.
Le découpage du parcours dévoilé au Mazda Palace de Milan, offre toutes sortes de possibilités, non seulement aux grimpeurs spécialisés, mais aussi aux sprinteurs et aux rouleurs solitaires.
Il ne laisse pratiquement aucun temps mort et la dernière semaine est à couper le souffle, tant elle est truffée de montées souvent longues et à fort pourcentage.
"Ce Giro me plaît"
Après deux éditions surtout consacrées aux étapes planes dédiées aux finisseurs, le Giro 2005, permet un retour aux sources avec plusieurs étapes de moyenne montagne qui n'offriront aucun répit.
Après une première semaine consacrée surtout aux joutes entre sprinteurs, la course entrera dans le vif du sujet avec sa grande entrée en haute montagne qu'elle ne quittera plus pratiquement jusqu'à la veille de l'arrivée à Milan.
La montée du Stelvio, un des haut-lieux de l'histoire du Giro avec la cima Coppi "toit" de la course culminant à 2.034 m constituera certainement le grand tournant de l'épreuve.
"Pour l'instant je peux dire que ce Giro, me plaît, mais il faudra le voir de plus près pour juger. J'ai l'impression que c'est une course favorable aux grimpeurs" a commenté Damiani Cunego, vainqueur en 2004.
Son compatriote Ivan Basso, qui s'est en grande évidence lors du dernier Tour de France, nourri aussi des légitimes ambitions: "J'ai déjà disputé trois tours de France, à présent je veux être prêt pour un grand Giro" a-t-il expliqué.
Stefano Garzelli prendra le départ lui aussi avec l'intention de faire parler de lui en ma prochain, sur des routes dont beaucoup lui sont familières: "Je partirai pour gagner, pourquoi ne pas me mettre dans le lot des favoris?"