« Un deuxième rêve qui se réalise »
Cyclisme samedi, 2 juil. 2011. 16:44 jeudi, 12 déc. 2024. 23:00
MONT DES ALOUETTES - Le Belge Philippe Gilbert a estimé samedi que sa victoire samedi dans la première étape du Tour de France et son maillot jaune étaient "un deuxième rêve" qui se réalisait, après son succès dans Liège-Bastogne-Liège en avril.
Q: Mesurez-vous ce que vous accomplissez depuis deux mois et demi?
R: "C'est difficile à réaliser. Je fais une saison inespérée, j'ai gagné énormément de belles courses. Depuis la Flèche brabançonne, j'ai gagné toutes les courses dont j'ai pris le départ. Je crois que j'établis un record depuis très longtemps. C'est magnifique, je profite de chaque instant. A chaque victoire, je remercie aussi mon équipe parce que je n'ai gagné aucune course seul. Je reçois une aide incroyable, que ce soit mentale, tactique ou physique. Chaque fois, j'arrive à concrétiser ce travail, c'est magnifique".
Q: Est-ce plus fort que votre victoire dans Liège-Bastogne-Liège?
R: "Liège-Bastogne-Liège, c'est un rêve d'enfant. Gagner sur le Tour et porter le maillot jaune, c'est un deuxième rêve qui se réalise. J'en ai assez rêvé l'an passé. C'est quelque chose de particulier d'avoir ce maillot. Je ne me rends pas encore compte mais je pense que quand je vais aller me doucher et le poser sur mon lit, ça me fera quelque chose de spécial".
Q: Briguerez-vous le maillot vert malgré le nouveau règlement?
R: "Je ne comprends pas trop le changement de règlement. Je ne sais pas si c'est possible de rivaliser avec les sprinteurs. On va voir comment la course se déroule. On a vu que des coureurs comme Farrar avait décidé de miser tout sur ce travail. Ce n'est pas une motivation mais ça peut le devenir. J'ai discuté avec Marc Sergeant (le directeur sportif de son équipe) qui a eu Robbie McEwen comme coureur. McEwen fonctionnait comme ça: il voulait gagner une étape, parfois il en gagnait deux d'affilée ou trois et au fur et à mesure, il entrait dans la course pour le maillot vert. Je pense que c'est la meilleure façon de l'aborder".
Q: Mesurez-vous ce que vous accomplissez depuis deux mois et demi?
R: "C'est difficile à réaliser. Je fais une saison inespérée, j'ai gagné énormément de belles courses. Depuis la Flèche brabançonne, j'ai gagné toutes les courses dont j'ai pris le départ. Je crois que j'établis un record depuis très longtemps. C'est magnifique, je profite de chaque instant. A chaque victoire, je remercie aussi mon équipe parce que je n'ai gagné aucune course seul. Je reçois une aide incroyable, que ce soit mentale, tactique ou physique. Chaque fois, j'arrive à concrétiser ce travail, c'est magnifique".
Q: Est-ce plus fort que votre victoire dans Liège-Bastogne-Liège?
R: "Liège-Bastogne-Liège, c'est un rêve d'enfant. Gagner sur le Tour et porter le maillot jaune, c'est un deuxième rêve qui se réalise. J'en ai assez rêvé l'an passé. C'est quelque chose de particulier d'avoir ce maillot. Je ne me rends pas encore compte mais je pense que quand je vais aller me doucher et le poser sur mon lit, ça me fera quelque chose de spécial".
Q: Briguerez-vous le maillot vert malgré le nouveau règlement?
R: "Je ne comprends pas trop le changement de règlement. Je ne sais pas si c'est possible de rivaliser avec les sprinteurs. On va voir comment la course se déroule. On a vu que des coureurs comme Farrar avait décidé de miser tout sur ce travail. Ce n'est pas une motivation mais ça peut le devenir. J'ai discuté avec Marc Sergeant (le directeur sportif de son équipe) qui a eu Robbie McEwen comme coureur. McEwen fonctionnait comme ça: il voulait gagner une étape, parfois il en gagnait deux d'affilée ou trois et au fur et à mesure, il entrait dans la course pour le maillot vert. Je pense que c'est la meilleure façon de l'aborder".