Une spectatrice tuée sur la route
Cyclisme samedi, 18 juil. 2009. 09:56 samedi, 14 déc. 2024. 13:41
BESANCON, France - Une femme de 61 ans a perdu la vie lorsqu'elle est entrée en collision avec un policier à motocyclette qui aidait à la supervision du Tour de France, samedi.
La police française a dit que la femme a été happée alors qu'elle tentait de traverser une route en Alsace lors de la 14e étape du Tour, un trajet de 199 km entre Colmar et Besançon.
"Il y a eu un décès. La femme traversait la route et le conducteur de la motocyclette, un membre de la Garde républicaine, n'a pas pu l'éviter, a dit le lieutenant-colonel Thierry Renard."
L'accident est survenu à Wittelsheim, a dit l'officiel.
Le commandant Christophe Blanc a dit au réseau radiophonique France Info que le conducteur a chuté de sa moto, qui a ensuite happé la femme et blessé deux autres personnes, dont la vie n'est pas en danger.
L'une des personnes blessées est une mère qui avait son enfant dans ses bras, mais l'enfant n'a pas été blessé.
Les accidents mortels sont rares au Tour de France. Un garçon a péri en 2000 et un autre en 2002, frappés par des véhicules de commanditaires.
Après ces tragédies, les organisateurs ont décidé de réduire le nombre de véhicules de commanditaires permis sur les trajets des étapes.
La police française a dit que la femme a été happée alors qu'elle tentait de traverser une route en Alsace lors de la 14e étape du Tour, un trajet de 199 km entre Colmar et Besançon.
"Il y a eu un décès. La femme traversait la route et le conducteur de la motocyclette, un membre de la Garde républicaine, n'a pas pu l'éviter, a dit le lieutenant-colonel Thierry Renard."
L'accident est survenu à Wittelsheim, a dit l'officiel.
Le commandant Christophe Blanc a dit au réseau radiophonique France Info que le conducteur a chuté de sa moto, qui a ensuite happé la femme et blessé deux autres personnes, dont la vie n'est pas en danger.
L'une des personnes blessées est une mère qui avait son enfant dans ses bras, mais l'enfant n'a pas été blessé.
Les accidents mortels sont rares au Tour de France. Un garçon a péri en 2000 et un autre en 2002, frappés par des véhicules de commanditaires.
Après ces tragédies, les organisateurs ont décidé de réduire le nombre de véhicules de commanditaires permis sur les trajets des étapes.