Valverde vise au moins un podium
Cyclisme vendredi, 4 juil. 2008. 20:36 samedi, 14 déc. 2024. 15:55
BREST, France - Alejandro Valverde espère terminer sur le podium du Tour de France cette année, et "pourquoi pas premier?".
L'Espagnol de 28 ans, vainqueur du championnat d'Espagne et du critérium du Dauphiné Libéré le mois dernier, fait partie des grands favoris de la course de trois semaines, dont il a pris la sixième place l'an passé.
La Grande Boucle 2008 débute samedi par une étape de 197,5 kilomètres en Bretagne. Pour la première fois depuis 1967, le Tour est privé de prologue cette année.
Valverde a expliqué, vendredi, en conférence de presse, qu'il s'attendait à ce que du groupe des favoris, qui comprend notamment l'Australien Cadel Evans, le Russe Denis Menchov, l'Espagnol Carlos Sastre et l'Italien Damiano Cunego, sortent les vrais candidats à la victoire pendant les trois jours dans les Alpes, au cours de la dernière semaine de course.
"Je suis ici pour lutter pour le podium. Mais à partir du moment où vous êtes engagés dans la bagarre pour l'une des trois premières places, c'est clair, pourquoi pas premier?, a souligné Valverde à Brest. Si à la fin je suis deuxième, ou troisième, je serai satisfait aussi."
Le Tour de France sort de deux années très difficiles, marquées par les affaires de dopage. L'Américain Floyd Landis a été privé de sa victoire obtenue en 2006 après un contrôle positif à la testostérone cette année-là sur la course.
Le vainqueur de l'an passé, l'Espagnol Alberto Contador, et l'Américain Levi Leipheimer, troisième en 2007, ne sont pas au départ à Brest car les organisateurs n'ont pas invité leur formation, Astana. L'équipe avait dû quitter la course après le contrôle positif de son coureur Alexandre Vinokourov, convaincu de dopage sanguin l'an dernier.
Valverde a reconnu que le dopage avait terni l'image de son sport.
"C'est vrai que peut-être une partie du public, que certains spectateurs ont des doutes. Mais ça a toujours existé, et ça existera toujours, a-t-il dit. L'important est de continuer à bien s'entraîner et de se battre pour gagner des courses, de faire plaisir à notre public et de satisfaire notre équipe.
"Le Tour, quels que soient les coureurs qui prennent le départ, reste le Tour, a-t-il ajouté. C'est vrai qu'il y a certains coureurs qui aimeraient être là et qui ne le sont pas. Je ne peux rien y faire."
L'Espagnol de 28 ans, vainqueur du championnat d'Espagne et du critérium du Dauphiné Libéré le mois dernier, fait partie des grands favoris de la course de trois semaines, dont il a pris la sixième place l'an passé.
La Grande Boucle 2008 débute samedi par une étape de 197,5 kilomètres en Bretagne. Pour la première fois depuis 1967, le Tour est privé de prologue cette année.
Valverde a expliqué, vendredi, en conférence de presse, qu'il s'attendait à ce que du groupe des favoris, qui comprend notamment l'Australien Cadel Evans, le Russe Denis Menchov, l'Espagnol Carlos Sastre et l'Italien Damiano Cunego, sortent les vrais candidats à la victoire pendant les trois jours dans les Alpes, au cours de la dernière semaine de course.
"Je suis ici pour lutter pour le podium. Mais à partir du moment où vous êtes engagés dans la bagarre pour l'une des trois premières places, c'est clair, pourquoi pas premier?, a souligné Valverde à Brest. Si à la fin je suis deuxième, ou troisième, je serai satisfait aussi."
Le Tour de France sort de deux années très difficiles, marquées par les affaires de dopage. L'Américain Floyd Landis a été privé de sa victoire obtenue en 2006 après un contrôle positif à la testostérone cette année-là sur la course.
Le vainqueur de l'an passé, l'Espagnol Alberto Contador, et l'Américain Levi Leipheimer, troisième en 2007, ne sont pas au départ à Brest car les organisateurs n'ont pas invité leur formation, Astana. L'équipe avait dû quitter la course après le contrôle positif de son coureur Alexandre Vinokourov, convaincu de dopage sanguin l'an dernier.
Valverde a reconnu que le dopage avait terni l'image de son sport.
"C'est vrai que peut-être une partie du public, que certains spectateurs ont des doutes. Mais ça a toujours existé, et ça existera toujours, a-t-il dit. L'important est de continuer à bien s'entraîner et de se battre pour gagner des courses, de faire plaisir à notre public et de satisfaire notre équipe.
"Le Tour, quels que soient les coureurs qui prennent le départ, reste le Tour, a-t-il ajouté. C'est vrai qu'il y a certains coureurs qui aimeraient être là et qui ne le sont pas. Je ne peux rien y faire."