En Corée du Nord pour la 1re fois
Jeux olympiques lundi, 28 avr. 2008. 14:30 mercredi, 11 déc. 2024. 15:39
PYONGYANG - La flamme olympique a effectué, lundi, l'étape nord-coréenne de son relais autour du globe sans aucun incident. Il s'agissait de son premier passage en Corée du Nord, l'un des pays les plus reclus du monde dirigé par un régime communiste particulièrement autoritaire et proche allié de la Chine.
Une foule attentive et pacifique de plusieurs milliers de personnes, dont certaines agitaient des drapeaux chinois, a assisté au départ du relais. L'événement était présidé par le chef du Parlement, qui s'apparente davantage à une chambre d'enregistrement, Kim Yong Nam.
Kim a transmis la flamme au premier coureur, Pak Du Ik, un joueur de la fameuse sélection nord-coréenne qui réalisa un parcours historique lors de la Coupe du monde de soccer 1966 en se hissant en quarts de finale.
La flamme a parcouru dans le calme un trajet de 20 kilomètres à travers la capitale Pyongyang, dont les rues étaient emplies de milliers de gens agitant des fleurs en papier. Contrairement à d'autres étapes du relais de la flamme dans le monde, perturbées par des manifestations pro-Tibet, tout s'est passé sans le moindre accroc.
Commencé au pied de la Tour du Juche, obélisque de 170 mètres de haut érigé comme symbole de l'idéologie d'autosuffisance du défunt père fondateur du pays Kim Il Sung, père de l'actuel dirigeant Kim Jong Il, le relais s'est achevé cinq heures plus tard au Stade Kim Il Sung. Là, la marathonienne nord-coréenne Chong Song Ok a utilisé la torche pour allumer une vasque olympique, selon l'agence officielle Chine Nouvelle.
Le stade était rempli de dizaines de milliers de personnes, certaines portant des pancartes où l'on pouvait lire: "Vive Pékin, vive Pyongyang et vive les Jeux olympiques", précise Chine Nouvelle.
La Chine et la Corée du Nord sont "comme des frères", a déclaré Li Binghua, vice-président du Comité d'organisation des Jeux de Pékin, cité par l'agence japonaise Kyodo.
Kim Jong Il n'a pas été vu pour l'occasion, mais Pak Hak Son, président du Comité olympique nord-coréen a assuré que le No1 nord-coréen était "très attentif au succès du relais de la flamme", selon l'agence Kyodo.
La flamme, arrivée lundi matin en Corée du Nord en provenance de Corée du Sud, était attendue dans la soirée au Vietnam, dernière étape internationale de son relais mondial. Elle défilera mardi à Ho Chi Min-ville, l'ex-Sagon (sud), avant de gagner les territoires chinois de Hong Kong et Macao.
Une foule attentive et pacifique de plusieurs milliers de personnes, dont certaines agitaient des drapeaux chinois, a assisté au départ du relais. L'événement était présidé par le chef du Parlement, qui s'apparente davantage à une chambre d'enregistrement, Kim Yong Nam.
Kim a transmis la flamme au premier coureur, Pak Du Ik, un joueur de la fameuse sélection nord-coréenne qui réalisa un parcours historique lors de la Coupe du monde de soccer 1966 en se hissant en quarts de finale.
La flamme a parcouru dans le calme un trajet de 20 kilomètres à travers la capitale Pyongyang, dont les rues étaient emplies de milliers de gens agitant des fleurs en papier. Contrairement à d'autres étapes du relais de la flamme dans le monde, perturbées par des manifestations pro-Tibet, tout s'est passé sans le moindre accroc.
Commencé au pied de la Tour du Juche, obélisque de 170 mètres de haut érigé comme symbole de l'idéologie d'autosuffisance du défunt père fondateur du pays Kim Il Sung, père de l'actuel dirigeant Kim Jong Il, le relais s'est achevé cinq heures plus tard au Stade Kim Il Sung. Là, la marathonienne nord-coréenne Chong Song Ok a utilisé la torche pour allumer une vasque olympique, selon l'agence officielle Chine Nouvelle.
Le stade était rempli de dizaines de milliers de personnes, certaines portant des pancartes où l'on pouvait lire: "Vive Pékin, vive Pyongyang et vive les Jeux olympiques", précise Chine Nouvelle.
La Chine et la Corée du Nord sont "comme des frères", a déclaré Li Binghua, vice-président du Comité d'organisation des Jeux de Pékin, cité par l'agence japonaise Kyodo.
Kim Jong Il n'a pas été vu pour l'occasion, mais Pak Hak Son, président du Comité olympique nord-coréen a assuré que le No1 nord-coréen était "très attentif au succès du relais de la flamme", selon l'agence Kyodo.
La flamme, arrivée lundi matin en Corée du Nord en provenance de Corée du Sud, était attendue dans la soirée au Vietnam, dernière étape internationale de son relais mondial. Elle défilera mardi à Ho Chi Min-ville, l'ex-Sagon (sud), avant de gagner les territoires chinois de Hong Kong et Macao.