Nous voilà au plus fort de la tempête.

 

Et là, il est question de détresse psychologique. Ce n’est guère évident de lutter contre un tel ennemi.

 

Les hauts et les bas structurent notre existence. Cependant, l’être humain a besoin d’équilibre et présentement, le négatif pèse trop lourd.

 

Ne me parlez surtout pas de cette lumière au bout du tunnel ! Tant qu’à créer de faux espoirs, aussi bien se taire.

 

Sérieusement, la course à pied peut aider les gens qui ont le moral dans les talons présentement.

 

On est tous écœurés. On aimerait pouvoir utiliser le nez de la sorcière bien aimée, l’agiter et changer le monde.

 

Courir apporte du bonheur. Vrai que l’on n’a pas toujours le goût de lacer nos souliers, davantage avec ces froids sibériens que nous traversons actuellement.

 

Lorsque vous retournerez à la maison après un entraînement, le moral sera automatiquement meilleur. Le positif prendra le dessus. Cet effet ne dure pas éternellement. Donc, il vous faudra recommencer et ne pas abandonner cette pratique.

 

 

PRESCRIRE LA COURSE À PIED

 

Au lieu des pilules et des traitements, les psychologues auraient avantage à prescrire et insister sur la pratique de la course à pied comme remède. J’avoue que ce n’est pas payant pour eux mais c’est le client qui sera récompensé.

 

Je me suis toujours demandé pourquoi n’exploite-t-on pas davantage cette méthode pourtant si accessible. Qu’est-ce qui bloque ? On n’a rien à perdre à l’essayer. Entre les adeptes, combien de fois j’entends des témoignages de situations euphoriques provoquées par la pratique de ce sport.Medecin 2

 

Pas obligé de casser le cheveu en quatre pour trouver la clef du problème.

 

J’ai traversé des périodes creuses au cours des deux dernières années. Il aurait été facile de baisser les bras. Je connais des coureurs pour qui les mauvaises nouvelles se sont accumulées et ils sont parvenus à garder la tête haute grâce à la course à pied.

 

                                                                                         

LA JOIE DE VIVRE

 

Courir apporte du bonheur, du plaisir, de la satisfaction et nous oriente vers un monde meilleur. On peut combattre cette morosité, cette détresse psychologique. Je croise régulièrement des coureurs. Je ne vous dis pas qu’ils ne sont pas affectés mais je sens qu’ils sont bien armés pour faire face à l’adversité.

 

Aussi longtemps que je vais pouvoir courir, je le ferai car je n’ai pas besoin d’une pandémie pour m’indiquer que le jour où je ne pourrai plus enfiler mes souliers, je serai dans le trouble.

 

On a l’habitude de se souhaiter de la santé lorsque l’on se rencontre. À partir du moment où nous en bénéficions, rien ne peut freiner notre élan vers la joie de vivre.

 

Et vous pourrez par le fait même mettre KO la détresse psychologique.

 

 

Aussi à lire Pourquoi ne sommes-nous pas des précurseurs ?

Pour plus de contenu dans ce genre, abonnez-vous au groupe RDS | En Forme