Depuis le début de sa carrière avec les Stampeders, Nik Lewis a toujours été reconnu pour sa robustesse. C'est également le cas depuis son arrivée à Montréal. Lewis se démarque également par son leadership en plus d'être un boute-en-train.

« Je parle de plus en plus dans le vestiaire et je deviens un leader. Tu dois démontrer quel joueur tu es pour faire ta place. »

« Il n'a pas changé, il continue de parler sans cesse. C'est un joueur que tu n'aimes pas affronter, mais que tu apprécies comme coéquipier », a expliqué à la blague le plaqueur offensif Josh Bourke.

Âgé de 33 ans, Lewis a joué 11 saisons à Calgary où il était l’un des favoris de la foule. Lewis a d'ailleurs assisté à un match au McMahon Stadium en tant que simple spectateur, il y a deux semaines. Il n'y a aucun doute que la rencontre de samedi sera spéciale pour lui.

« Après avoir joué 11 saisons là-bas, je veux offrir un bon spectacle », a avoué le receveur.

Lewis se démarque par sa robustesse, son leadership et également par sa corpulence. Les coéquipiers du grassouillet demi inséré ne se gênent pas pour le taquiner sur son tour de taille, mais respectent énormément le vétéran de douze saisons.

« On le taquine sur son physique, mais peu importe, il fait le travail. Il a plus de verges par la passe en carrière que tous les joueurs de cette ligue », a admis S.J. Green.

De son côté, Lewis s’est défendu en disant que ses coéquipiers le taquinaient, mais qu’ils étaient heureux qu’il soit de leur côté, une fois sur le terrain.