Éric Lapointe connaît un bon camp
Football vendredi, 3 juin 2005. 17:53 mercredi, 11 déc. 2024. 10:45
(RDS) - Éric Lapointe a vécu l'une des plus grandes déceptions de sa carrière lorsque les Alouettes ont été éliminés en finale de section, l'an dernier. Voilà donc pourquoi il a décidé de disputer une autre saison et il entend en profiter au maximum car sa carrière tire à sa fin.
Depuis quatre ans, les demis offensifs se sont succédés à Montréal. Il y a notamment eu Mike Pringle, Lawrence Phillips, Deonce Whitaker et Autry Denson. Un seul a résisté à cette vague de changements et il se prépare à jouer un rôle important cette saison.
"Je pense que je suis le numéro un", a indiqué Lapointe. "Je n'ai pas perdu mon poste à moins que je n'en ai pas entendu parler. J'ai probablement un de mes meilleurs camps depuis que je suis avec les Alouettes."
Lapointe connaît un bon camp parce qu'il se sent bien. Les vieilles blessures du passé semblent enfin guéries. Et plus que jamais, il croit qu'il a le talent pour être l'homme de confiance des Alouettes, ce qui n'était peut-être pas le cas, il y a quelques années.
"Je me souviens d'avoir observé Lawrence Phillips lors d'un camp d'entraînement. Tout de suite, j'avais compris que mon rôle serait celui de réserviste. Larence Phillips était un joueur exceptionnel", se rappelle Lapointe.
Peu de gens savent que Lapointe mène une carrière sur deux fronts, même pendant la saison de football. Lorsqu'il n'est pas sur le terrain, il est derrière son bureau en tant que conseiller financier. Lorsque la prochaine saison prendra fin, il ne serait pas surprenant que Lapointe remise ses souliers à crampons pour de bon.
"Il faut faire des choix dans la vie. Ça fait maintenant sept ans que je joue dans la LCF. Au début de ma carrière, j'espérais en jouer cinq et maintenant je réalise que je suis plus proche de la fin."
Lapointe devrait partager le travail avec Michael Jenkins, un ancien coéquipier à Toronto qui a récolté plus de 1400 en 2001. En février, les Alouettes lui ont offert un contrat même s'il a raté toute la dernière saison en raison d'une blessure à une cheville. Une blessure qui lui a permis de refaire le plein.
"J'ai choisi de ne pas jouer l'année dernière et de soigner ma blessure. Une carrière au football est une question de longévité", a expliqué Jenkins.
S'il demeure en santé et s'il répète les performances qu'il a réussies en 2001, Jenkins sera certainement un élément important de l'attaque Montréalaise. Il prouverait une fois de plus que le directeur général, Jim Popp, est l'un des meilleurs de la profession, lorsque le moment est venu d'engager des joueurs talentueux.
Whitley toujours en attente
Le demi défensif James Whitley attend toujours le feu vert des médecins avant de pouvoir s'entraîner.
Whitley, qui a subi deux commotions cérébrales l'an dernier, doit subir d'autres examens, mais il croit qu'il sera sur le terrain samedi.
Par ailleurs, les arbitres de la Ligue canadienne ont aussi leur camp d'entraînement!
Quatre d'entre eux, des Québécois, ont profité de la présence des Alouettes pour s'exercer en vue de la prochaine saison.
L'an dernier, la Ligue canadienne a essuyé sa part de critiques en raison de quelques mauvaises décisions de ses officiels.
"Nous avons réalisé qu'il y avait un problème. C'est pour cette raison que la ligue a pris les moyens au point de vue financier pour améliorer la qualité. Les gens se rappellent toujours des mauvaises décisions. Sur nos 15 000 jeux, la saison dernière, nous avons rendu une douzaine ou une quinzaine de mauvaises décisions", a mentionné Jacques Décarie.
Depuis quatre ans, les demis offensifs se sont succédés à Montréal. Il y a notamment eu Mike Pringle, Lawrence Phillips, Deonce Whitaker et Autry Denson. Un seul a résisté à cette vague de changements et il se prépare à jouer un rôle important cette saison.
"Je pense que je suis le numéro un", a indiqué Lapointe. "Je n'ai pas perdu mon poste à moins que je n'en ai pas entendu parler. J'ai probablement un de mes meilleurs camps depuis que je suis avec les Alouettes."
Lapointe connaît un bon camp parce qu'il se sent bien. Les vieilles blessures du passé semblent enfin guéries. Et plus que jamais, il croit qu'il a le talent pour être l'homme de confiance des Alouettes, ce qui n'était peut-être pas le cas, il y a quelques années.
"Je me souviens d'avoir observé Lawrence Phillips lors d'un camp d'entraînement. Tout de suite, j'avais compris que mon rôle serait celui de réserviste. Larence Phillips était un joueur exceptionnel", se rappelle Lapointe.
Peu de gens savent que Lapointe mène une carrière sur deux fronts, même pendant la saison de football. Lorsqu'il n'est pas sur le terrain, il est derrière son bureau en tant que conseiller financier. Lorsque la prochaine saison prendra fin, il ne serait pas surprenant que Lapointe remise ses souliers à crampons pour de bon.
"Il faut faire des choix dans la vie. Ça fait maintenant sept ans que je joue dans la LCF. Au début de ma carrière, j'espérais en jouer cinq et maintenant je réalise que je suis plus proche de la fin."
Lapointe devrait partager le travail avec Michael Jenkins, un ancien coéquipier à Toronto qui a récolté plus de 1400 en 2001. En février, les Alouettes lui ont offert un contrat même s'il a raté toute la dernière saison en raison d'une blessure à une cheville. Une blessure qui lui a permis de refaire le plein.
"J'ai choisi de ne pas jouer l'année dernière et de soigner ma blessure. Une carrière au football est une question de longévité", a expliqué Jenkins.
S'il demeure en santé et s'il répète les performances qu'il a réussies en 2001, Jenkins sera certainement un élément important de l'attaque Montréalaise. Il prouverait une fois de plus que le directeur général, Jim Popp, est l'un des meilleurs de la profession, lorsque le moment est venu d'engager des joueurs talentueux.
Whitley toujours en attente
Le demi défensif James Whitley attend toujours le feu vert des médecins avant de pouvoir s'entraîner.
Whitley, qui a subi deux commotions cérébrales l'an dernier, doit subir d'autres examens, mais il croit qu'il sera sur le terrain samedi.
Par ailleurs, les arbitres de la Ligue canadienne ont aussi leur camp d'entraînement!
Quatre d'entre eux, des Québécois, ont profité de la présence des Alouettes pour s'exercer en vue de la prochaine saison.
L'an dernier, la Ligue canadienne a essuyé sa part de critiques en raison de quelques mauvaises décisions de ses officiels.
"Nous avons réalisé qu'il y avait un problème. C'est pour cette raison que la ligue a pris les moyens au point de vue financier pour améliorer la qualité. Les gens se rappellent toujours des mauvaises décisions. Sur nos 15 000 jeux, la saison dernière, nous avons rendu une douzaine ou une quinzaine de mauvaises décisions", a mentionné Jacques Décarie.