Jouer au Stade constitue un avantage
Football samedi, 20 nov. 2010. 16:43 vendredi, 13 déc. 2024. 18:48
MONTRÉAL - C'est unanime : pour les joueurs des Alouettes de Montréal, de disputer la finale de l'Est au Stade olympique constitue un avantage.
"Il faut qu'il y ait un avantage, a avancé le quart Anthony Calvillo. Les Argos devront vivre avec le son assourdissant que toutes les équipes doivent affronter à l'étranger. À chaque fois que vous jouez à domicile, le bruit de la foule est un avantage en votre faveur. Mais à la fin, vous devez quand même exécuter les jeux et remporter le match sur le terrain."
"C'est indéniable, a pour sa part déclaré l'entraîneur-chef des Alouettes, Marc Trestman. Tous nos gars reconnaissent d'ailleurs que le bruit constituera un avantage."
En autant que la foule crie au bon moment, ce qui n'a pas toujours été le cas à Montréal.
"C'est bon en autant que les partisans sachent qu'il faut crier quand la défensive est sur le terrain, a ajouté Trestman. Nos amateurs ont fait de l'excellent travail à ce chapitre l'an dernier."
Tout de même, le bruit apportera son lot d'inconvénients.
"C'est certain que lorsque notre défensive sera sur le terrain, nous devrons communiquer par signes, car il y a aucune chance que nous nous entendions parler. Mais ne vous méprenez pas : nous sommes très heureux d'être ici. Il n'y a pas un autre endroit où nous désirerions être", a souligné Trestman, qui en est à sa troisième finale de l'Est en autant de saisons à Montréal.
Si la présentation de ce match permet à plus d'amateurs d'y assister - les Alouettes ont annoncé samedi matin que plus de 54 000 billets avaient trouvé preneurs -, elle se veut également une source de motivation pour les joueurs.
"D'être un Québécois francophone, élevé dans la région de Montréal et de pouvoir jouer ce match au Stade olympique, devant ses proches, devant autant de gens, ça apporte toujours une valeur ajoutée à l'événement, a déclaré le garde Luc Brodeur-Jourdain. On est dans notre région, on est au Québec et c'est bien 'le fun' pour les joueurs francophones de pouvoir vivre ça."
...
Trestman estime que de se retrouver de nouveau en finale de l'Est démontre la capacité d'adaptation de son club, qui a évolué dans une section Est améliorée cette saison selon lui.
"Nous sommes très fiers de notre équipe, a-t-il souligné. Notre section est bien meilleure que l'an dernier, mais nous avons prouvé à toutes les équipes de la ligue que nous sommes un bon club."
L'entraîneur-chef des Alouettes croit aussi que Calvillo est meilleur jamais.
"Il est plus efficace que jamais, et il est en grande forme. Peut-être qu'au niveau des statistiques, ça ne se semble pas le cas, mais je le sens meilleur qu'il ne l'a jamais été."
"Il faut qu'il y ait un avantage, a avancé le quart Anthony Calvillo. Les Argos devront vivre avec le son assourdissant que toutes les équipes doivent affronter à l'étranger. À chaque fois que vous jouez à domicile, le bruit de la foule est un avantage en votre faveur. Mais à la fin, vous devez quand même exécuter les jeux et remporter le match sur le terrain."
"C'est indéniable, a pour sa part déclaré l'entraîneur-chef des Alouettes, Marc Trestman. Tous nos gars reconnaissent d'ailleurs que le bruit constituera un avantage."
En autant que la foule crie au bon moment, ce qui n'a pas toujours été le cas à Montréal.
"C'est bon en autant que les partisans sachent qu'il faut crier quand la défensive est sur le terrain, a ajouté Trestman. Nos amateurs ont fait de l'excellent travail à ce chapitre l'an dernier."
Tout de même, le bruit apportera son lot d'inconvénients.
"C'est certain que lorsque notre défensive sera sur le terrain, nous devrons communiquer par signes, car il y a aucune chance que nous nous entendions parler. Mais ne vous méprenez pas : nous sommes très heureux d'être ici. Il n'y a pas un autre endroit où nous désirerions être", a souligné Trestman, qui en est à sa troisième finale de l'Est en autant de saisons à Montréal.
Si la présentation de ce match permet à plus d'amateurs d'y assister - les Alouettes ont annoncé samedi matin que plus de 54 000 billets avaient trouvé preneurs -, elle se veut également une source de motivation pour les joueurs.
"D'être un Québécois francophone, élevé dans la région de Montréal et de pouvoir jouer ce match au Stade olympique, devant ses proches, devant autant de gens, ça apporte toujours une valeur ajoutée à l'événement, a déclaré le garde Luc Brodeur-Jourdain. On est dans notre région, on est au Québec et c'est bien 'le fun' pour les joueurs francophones de pouvoir vivre ça."
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Trestman estime que de se retrouver de nouveau en finale de l'Est démontre la capacité d'adaptation de son club, qui a évolué dans une section Est améliorée cette saison selon lui.
"Nous sommes très fiers de notre équipe, a-t-il souligné. Notre section est bien meilleure que l'an dernier, mais nous avons prouvé à toutes les équipes de la ligue que nous sommes un bon club."
L'entraîneur-chef des Alouettes croit aussi que Calvillo est meilleur jamais.
"Il est plus efficace que jamais, et il est en grande forme. Peut-être qu'au niveau des statistiques, ça ne se semble pas le cas, mais je le sens meilleur qu'il ne l'a jamais été."