Le succès suit Chapdelaine
Football vendredi, 1 sept. 2006. 18:35 samedi, 14 déc. 2024. 13:28
(RDS) - Les entraîneurs québécois ne sont pas nombreux dans la Ligue canadienne de football, mais ceux qui y sont jouent des rôles très importants. À Vancouver, c'est à Jacques Chapdelaine que revient la tâche de diriger l'attaque des Lions. Depuis sept ans, Chapdelaine a connu beaucoup de succès, partout où il est passé.
L'ancien entraîneur-chef du Rouge et Or de l'Université Laval en est à sa quatrième saison avec les Lions, sa deuxième en tant que coordonnateur offensif.
Après dix rencontres, son équipe occupe le premier rang du circuit dans neuf catégories offensives, dont celles pour le plus grand nombre de points marqués et de passes de touché. La clé du succès, selon Chapdelaine : le noyau de l'équipe est le même depuis quelques années.
«Quand tu es capable d'avoir une organisation aussi solide que la nôtre, en partant du propriétaire jusqu'au personnel d'entraîneur, c'est un peu plus facile de trouver la recette pour le succès», croit-il.
Chapdelaine, qui est un ancien receveur de passes, a porté les couleurs de quatre équipes de la Ligue canadienne, dont les Alouettes, entre 1983 et 1989.
Un an plus tard, il a entrepris une carrière d'entraîneur à l'Université Bishop's.
«J'ai toujours aimé me retrouver avec un groupe de joueurs, tenter de formuler un plan de match pour ensuite le mettre à exécution.»
C'est en 1997 que Chapdelaine s'est imposé sur la scène universitaire québécoise en devenant l'entraîneur-chef du Rouge et Or. Deux ans plus tard, il a mené l'équipe à sa première conquête de la coupe Vanier.
«Cette organisation m'a donné une opportunité incroyable. Cette expérience m'a servi de tremplin vers d'autres plateaux dans ma carrière.»
Après cinq saisons à Québec, Chapdelaine s'est joint aux Stampeders et dès sa première saison, il a remporté la coupe Grey avec Wally Buono. Les deux hommes ont ensuite quitté Calgary avant d'être réunis à Vancouver.
«J'aime bien sa philosophie de travail. Quand tu t'entends bien avec ton employeur, tes collaborateurs et tes joueurs, ça rend ton travail encore plus agréable et ça te permet du même coup d'être plus prolifique dans tes performances.»
Jacques Chapdelaine souhaite devenir entraîneur-chef dans la Ligue canadienne, mais tout indique qu'il attendra quelques années avant de réaliser son objectif. Il n'a pas encore, dit-il, acquis toute l'expérience nécessaire afin d'être le plus efficace possible dans ce nouveau rôle.
L'ancien entraîneur-chef du Rouge et Or de l'Université Laval en est à sa quatrième saison avec les Lions, sa deuxième en tant que coordonnateur offensif.
Après dix rencontres, son équipe occupe le premier rang du circuit dans neuf catégories offensives, dont celles pour le plus grand nombre de points marqués et de passes de touché. La clé du succès, selon Chapdelaine : le noyau de l'équipe est le même depuis quelques années.
«Quand tu es capable d'avoir une organisation aussi solide que la nôtre, en partant du propriétaire jusqu'au personnel d'entraîneur, c'est un peu plus facile de trouver la recette pour le succès», croit-il.
Chapdelaine, qui est un ancien receveur de passes, a porté les couleurs de quatre équipes de la Ligue canadienne, dont les Alouettes, entre 1983 et 1989.
Un an plus tard, il a entrepris une carrière d'entraîneur à l'Université Bishop's.
«J'ai toujours aimé me retrouver avec un groupe de joueurs, tenter de formuler un plan de match pour ensuite le mettre à exécution.»
C'est en 1997 que Chapdelaine s'est imposé sur la scène universitaire québécoise en devenant l'entraîneur-chef du Rouge et Or. Deux ans plus tard, il a mené l'équipe à sa première conquête de la coupe Vanier.
«Cette organisation m'a donné une opportunité incroyable. Cette expérience m'a servi de tremplin vers d'autres plateaux dans ma carrière.»
Après cinq saisons à Québec, Chapdelaine s'est joint aux Stampeders et dès sa première saison, il a remporté la coupe Grey avec Wally Buono. Les deux hommes ont ensuite quitté Calgary avant d'être réunis à Vancouver.
«J'aime bien sa philosophie de travail. Quand tu t'entends bien avec ton employeur, tes collaborateurs et tes joueurs, ça rend ton travail encore plus agréable et ça te permet du même coup d'être plus prolifique dans tes performances.»
Jacques Chapdelaine souhaite devenir entraîneur-chef dans la Ligue canadienne, mais tout indique qu'il attendra quelques années avant de réaliser son objectif. Il n'a pas encore, dit-il, acquis toute l'expérience nécessaire afin d'être le plus efficace possible dans ce nouveau rôle.