Michael Vick demeure muet
Football vendredi, 22 mai 2009. 17:24 mercredi, 11 déc. 2024. 07:37
NORFOLK, Virginie - Michael Vick est passé à côté des reporters qui l'attendaient à l'entrée d'une cour de Norfolk, en Virginie, sans leur adresser la parole, vendredi.
Vick s'y est rendu pour rencontrer son agent de probation. Il s'agissait de la première apparition publique de l'étoile déchue de la NFL depuis qu'il a été libéré d'un pénitencier du Kansas afin de purger les deux derniers mois de sa peine en assignation à domicile.
L'ex-quart des Falcons d'Atlanta purge une peine de 23 mois au total pour avoir participé à l'organisation de combats de chiens. Il doit porter un témoin électronique qui permet de suivre ses moindres déplacements. Cet appareil n'était pas apparent lors de sa sortie de vendredi.
Une heure plus tard, Vick a quitté le tribunal accompagné de sa fiancée et de son avocat, toujours sans s'adresser aux journalistes qui le pressaient de questions.
Larry Woodward, l'avocat virginien de Vick, a expliqué que son client était toujours un prisonnier fédéral et qu'il ne pouvait parler aux médias sans la permission du gouvernement. Woodward a ajouté qu'une demande pour obtenir une telle permission avait été faite, sans donner plus de détails.
Vick s'y est rendu pour rencontrer son agent de probation. Il s'agissait de la première apparition publique de l'étoile déchue de la NFL depuis qu'il a été libéré d'un pénitencier du Kansas afin de purger les deux derniers mois de sa peine en assignation à domicile.
L'ex-quart des Falcons d'Atlanta purge une peine de 23 mois au total pour avoir participé à l'organisation de combats de chiens. Il doit porter un témoin électronique qui permet de suivre ses moindres déplacements. Cet appareil n'était pas apparent lors de sa sortie de vendredi.
Une heure plus tard, Vick a quitté le tribunal accompagné de sa fiancée et de son avocat, toujours sans s'adresser aux journalistes qui le pressaient de questions.
Larry Woodward, l'avocat virginien de Vick, a expliqué que son client était toujours un prisonnier fédéral et qu'il ne pouvait parler aux médias sans la permission du gouvernement. Woodward a ajouté qu'une demande pour obtenir une telle permission avait été faite, sans donner plus de détails.