"Je suis si fier de cette équipe"
Football lundi, 24 janv. 2005. 09:49 mercredi, 11 déc. 2024. 06:32
PITTSBURGH (AP) - Personne ne bat Brady et Belichick dans les gros matchs: pas même Big Ben.
Tom Brady et Bill Belichick ont tiré parti de toutes les erreurs de la recrue Ben Roethlisberger et des Steelers de Pittsburgh, dimanche, pour mener les Patriots de la Nouvelle-Angleterre au Super Bowl.
Pour les deux équipes, l'histoire se répète.
Belichick est à une victoire de son troisième trophée Lombardi et de la prestigieuse marque de Vince Lombardi lui-même: le plus grand nombre de victoires en séries éliminatoires. Belichick présente maintenant un dossier de 9-1 en séries au terme de ce gain qui a mis fin à une séquence record de 15 victoires des Steelers.
"Je suis si fier des joueurs de cette équipe, a dit Belichick. Notre équipe joue bien lors des grands matchs et celui-là était du nombre."
Brady a, lui aussi, une belle séquence avec une fiche de 8-0 en éliminatoires.
"Cette victoire va compenser pour notre dernier passage ici", a dit Brady, faisant référence au revers de 34-20 encaissé le 31 octobre qui stoppait à 21 la série de gains de suite des siens.
"Cette fois, nous n'avons pas cédé le ballon. C'est capital de protéger le ballon et c'est ce que nous avons su faire."
Roethlisberger, qui n'avait pas subi de défaite depuis qu'il avait remplacé Tommy Maddox à la barre des Steelers, a été victime de trois interceptions, les deux premières menant à dix points des Patriots.
"Ce ne fut pas un grand match de ma part, mais j'ai appris des tonnes de choses cette saison, a dit Roethlisberger. Nous avons eu une grande saison, mais il y a beaucoup de gens - certains, dans notre vestiaire - qui pensent présentement que c'est une déception."
La deuxième interception à ses dépens a mené au retour d'interception de 87 verges de Rodney Harrison qui plaçait les Patriots en avant par 21 points à la demie.
"Ce jeu a été crucial, a estimé l'entraîneur des Steelers, Bill Cowher. Nous sommes loin dans leur zone. Au pire, c'est trois points pour nous. Nous en avons finalement cédé sept..."
Si les amateurs vont probablement pardonner les erreurs de jeunesse de Roethlisberger, leur nouveau favori, l'histoire pourrait être différente pour Cowher qui vient d'ajouter un chapitre de plus à sa série d'insuccès.
Les Steelers encaissaient un quatrième revers en cinq occasions depuis 1995 lors de la finale de l'Association américaine, chaque fois, avec Cowher à la barre. Le revers est similaire à ceux de 1995, 1998 et surtout 2002, ce dernier ayant été encaissé au mains des Patriots.
Tom Brady et Bill Belichick ont tiré parti de toutes les erreurs de la recrue Ben Roethlisberger et des Steelers de Pittsburgh, dimanche, pour mener les Patriots de la Nouvelle-Angleterre au Super Bowl.
Pour les deux équipes, l'histoire se répète.
Belichick est à une victoire de son troisième trophée Lombardi et de la prestigieuse marque de Vince Lombardi lui-même: le plus grand nombre de victoires en séries éliminatoires. Belichick présente maintenant un dossier de 9-1 en séries au terme de ce gain qui a mis fin à une séquence record de 15 victoires des Steelers.
"Je suis si fier des joueurs de cette équipe, a dit Belichick. Notre équipe joue bien lors des grands matchs et celui-là était du nombre."
Brady a, lui aussi, une belle séquence avec une fiche de 8-0 en éliminatoires.
"Cette victoire va compenser pour notre dernier passage ici", a dit Brady, faisant référence au revers de 34-20 encaissé le 31 octobre qui stoppait à 21 la série de gains de suite des siens.
"Cette fois, nous n'avons pas cédé le ballon. C'est capital de protéger le ballon et c'est ce que nous avons su faire."
Roethlisberger, qui n'avait pas subi de défaite depuis qu'il avait remplacé Tommy Maddox à la barre des Steelers, a été victime de trois interceptions, les deux premières menant à dix points des Patriots.
"Ce ne fut pas un grand match de ma part, mais j'ai appris des tonnes de choses cette saison, a dit Roethlisberger. Nous avons eu une grande saison, mais il y a beaucoup de gens - certains, dans notre vestiaire - qui pensent présentement que c'est une déception."
La deuxième interception à ses dépens a mené au retour d'interception de 87 verges de Rodney Harrison qui plaçait les Patriots en avant par 21 points à la demie.
"Ce jeu a été crucial, a estimé l'entraîneur des Steelers, Bill Cowher. Nous sommes loin dans leur zone. Au pire, c'est trois points pour nous. Nous en avons finalement cédé sept..."
Si les amateurs vont probablement pardonner les erreurs de jeunesse de Roethlisberger, leur nouveau favori, l'histoire pourrait être différente pour Cowher qui vient d'ajouter un chapitre de plus à sa série d'insuccès.
Les Steelers encaissaient un quatrième revers en cinq occasions depuis 1995 lors de la finale de l'Association américaine, chaque fois, avec Cowher à la barre. Le revers est similaire à ceux de 1995, 1998 et surtout 2002, ce dernier ayant été encaissé au mains des Patriots.