Kelly contre l'escapade torontoise
Football mercredi, 3 déc. 2008. 20:10 mercredi, 11 déc. 2024. 17:30
TORONTO - S'il n'en tenait qu'à l'ancien quart vedette Jim Kelly, les Dolphins de Miami devraient toujours devoir composer avec les caprices de la météo, lorsqu'ils ont à disputer un match à l'étranger face aux Bills de Buffalo.
C'est pourquoi Kelly, qui a mené les Bills à quatre présences d'affilée au Super Bowl, n'est pas très heureux que les Bills n'auront pas l'avantage qu'ils ont normalement lors des journées froides, dimanche au Centre Rogers de Toronto.
Kelly et son ancien vis-à-vis des Dolphins, Dan Marino, étaient à Toronto dans le cadre de championnats d'écoles secondaires, mercredi, en plus de promouvoir le premier match de la série "Les Bills à Toronto", une entente de huit matches jusqu'à la saison 2012 conclue au coût de 78 millions $.
Kelly, un membre du Temple de la renommée ayant participé quatre fois au Pro Bowl, a dit que la rivalité de longue date entre Bills et Dolphins signifie que la visite de ces derniers est souvent la date la plus courue sur le calendrier local.
"C'était légèrement décevant pour nous quand nous avons su que le match serait joué à Toronto, a reconnu Kelly. Nous voulions que les Dolphins, après avoir profité de conditions idéales en Floride, arrivent à Buffalo où il y a un peu de neige au sol et que nous puissions profiter de cet avantage."
Après le 1er décembre, les Dolphins montrent un dossier de 2-7 lors des matches à Buffalo, incluant deux revers en matches éliminatoires.
Marino, également membre du Panthéon, se rappelle très bien les conditions pénibles des rencontres au stade des Bills.
"J'aurais pu disputer quelques matches du Super Bowl si ce n'avait pas été de Jim Kelly et des Bills pendant certaines années, a dit Marino. Il y a eu des temps difficiles. Leur stade était probablement l'un des endroits les plus hostiles de la ligue. Les conditions de la météo, le bruit de la foule, ce sont des choses qui ont une influence. Les Dolphins (7-5) auront un petit avantage parce qu'ils ne seront pas dans l'atmosphère habituelle qu'il y a à Buffalo."
Kelly compte amener avec lui à Toronto ses anciens coéquipiers Thurman Thomas et Bruce Smith dans l'espoir d'inspirer les Bills (6-6), qui ont perdu cinq de leurs six derniers matches.
La série de matches à Toronto a soulevé des questions concernant l'avenir des Bills à Buffalo. Le propriétaire Ralph Wilson est maintenant âgé de 90 ans, et il veut régler le dossier du futur de l'équipe.
Kelly, qui tente de mettre en place un groupe qui achèterait l'équipe, a dit qu'il supporte les efforts de Toronto pour acquérir une équipe, mais il veut que les Bills demeurent à Buffalo.
"Je ne crois pas que les Bills vont déménager où que ce soit, pour être honnête avec vous, a dit Kelly. Si je peux avoir mon mot à dire d'une façon ou d'une autre, ils vont rester dans l'ouest de l'état de New York.
"S'il y a une opportunité pour Toronto d'obtenir une autre équipe, je serai bien d'accord avec ça parce que cette ville est quoi, la quatrième plus grosse en Amérique du Nord?
"Mais il faut aussi considérer la Ligue canadienne et les Argonauts et ce qu'ils représentent pour cette ville, aussi. Vous ne voulez pas tasser quelqu'un, mais il ne fait aucun doute que Toronto pourrait certainement supporter une équipe de la NFL."
C'est pourquoi Kelly, qui a mené les Bills à quatre présences d'affilée au Super Bowl, n'est pas très heureux que les Bills n'auront pas l'avantage qu'ils ont normalement lors des journées froides, dimanche au Centre Rogers de Toronto.
Kelly et son ancien vis-à-vis des Dolphins, Dan Marino, étaient à Toronto dans le cadre de championnats d'écoles secondaires, mercredi, en plus de promouvoir le premier match de la série "Les Bills à Toronto", une entente de huit matches jusqu'à la saison 2012 conclue au coût de 78 millions $.
Kelly, un membre du Temple de la renommée ayant participé quatre fois au Pro Bowl, a dit que la rivalité de longue date entre Bills et Dolphins signifie que la visite de ces derniers est souvent la date la plus courue sur le calendrier local.
"C'était légèrement décevant pour nous quand nous avons su que le match serait joué à Toronto, a reconnu Kelly. Nous voulions que les Dolphins, après avoir profité de conditions idéales en Floride, arrivent à Buffalo où il y a un peu de neige au sol et que nous puissions profiter de cet avantage."
Après le 1er décembre, les Dolphins montrent un dossier de 2-7 lors des matches à Buffalo, incluant deux revers en matches éliminatoires.
Marino, également membre du Panthéon, se rappelle très bien les conditions pénibles des rencontres au stade des Bills.
"J'aurais pu disputer quelques matches du Super Bowl si ce n'avait pas été de Jim Kelly et des Bills pendant certaines années, a dit Marino. Il y a eu des temps difficiles. Leur stade était probablement l'un des endroits les plus hostiles de la ligue. Les conditions de la météo, le bruit de la foule, ce sont des choses qui ont une influence. Les Dolphins (7-5) auront un petit avantage parce qu'ils ne seront pas dans l'atmosphère habituelle qu'il y a à Buffalo."
Kelly compte amener avec lui à Toronto ses anciens coéquipiers Thurman Thomas et Bruce Smith dans l'espoir d'inspirer les Bills (6-6), qui ont perdu cinq de leurs six derniers matches.
La série de matches à Toronto a soulevé des questions concernant l'avenir des Bills à Buffalo. Le propriétaire Ralph Wilson est maintenant âgé de 90 ans, et il veut régler le dossier du futur de l'équipe.
Kelly, qui tente de mettre en place un groupe qui achèterait l'équipe, a dit qu'il supporte les efforts de Toronto pour acquérir une équipe, mais il veut que les Bills demeurent à Buffalo.
"Je ne crois pas que les Bills vont déménager où que ce soit, pour être honnête avec vous, a dit Kelly. Si je peux avoir mon mot à dire d'une façon ou d'une autre, ils vont rester dans l'ouest de l'état de New York.
"S'il y a une opportunité pour Toronto d'obtenir une autre équipe, je serai bien d'accord avec ça parce que cette ville est quoi, la quatrième plus grosse en Amérique du Nord?
"Mais il faut aussi considérer la Ligue canadienne et les Argonauts et ce qu'ils représentent pour cette ville, aussi. Vous ne voulez pas tasser quelqu'un, mais il ne fait aucun doute que Toronto pourrait certainement supporter une équipe de la NFL."