La confiance des Dolphins à la hausse
Football vendredi, 18 nov. 2011. 16:18 samedi, 14 déc. 2024. 16:02
MIAMI - Il n'y a pas si longtemps, Karlos Dansby était vu comme faisant partie du problème chez les Dolphins de Miami, un membre trop voyant d'une unité défensive performant en-deçà des attentes au sein d'une équipe sans victoire.
Pourtant, quand Dansby a récemment déclaré qu'il est le meilleur secondeur de la NFL, il a plutôt été encensé que critiqué.
«Vous devez avoir confiance, a dit son coéquipier Brandon Marshall. Karlos Dansby dit qu'il est le meilleur et il l'est. On parle d'un gars qui vole sur le terrain. Il intercepte des passes, réussit des sacs. Vous parlez d'un gars du Pro Bowl.»
La confiance des Dolphins est en pleine croissance, tout comme leur total de victoires. Après avoir perdu leurs sept premières rencontres, les Dolphins (2-7), qui accueillent les Bills de Buffalo (5-4), dimanche, ont maintenant la chance de remporter trois matchs consécutifs pour la première fois depuis 2008.
De leur côté, les Bills semblent en déclin sur plusieurs aspects. L'une des équipes les plus surprenantes de la NFL après leur départ de 4-1, ils sont à la croisée des chemins après avoir perdu trois de leurs quatre derniers matchs. Au cours des deux dernières semaines, ils ont été déclassés 71-18.
«Vous espérez avoir suffisamment de caractère au sein de votre formation pour vous permettre de passer au travers des moments difficiles», a déclaré l'entraîneur-chef, Chan Gailey.
C'est ce qu'ont fait les Dolphins au cours des deux premiers mois de la saison, même quand leurs partisans spéculaient sur un nouvel entraîneur et leurs chances de réclamer Andrew Luck lors du prochain repêchage.
Leur éclosion est survenue lors d'une étincelante victoire à Kansas City, suivie par une victoire contre Washington la semaine passée, leur première victoire à domicile en près d'un an. Ils jouent tellement mieux que leur entraîneur-chef, Tony Sparano, a utilisé ce mot 15 fois au cours d'une conférence de presse cette semaine.
Les Dolphins demeurent enfouis au dernier rang de l'Est de l'Américaine, au sein de laquelle ils sont la seule équipe avec un dossier déficitaire. Mais ils refusent d'abandonner l'espoir de prendre part aux séries.
«J'entends tout le monde dire que nous jouons les trouble-fête, a dit Marshall. Mais nous avons encore une chance. Une petite chance, mais une chance quand même.»
La plus importante amélioration des Dolphins est leur défensive, que l'on croyait la grande force de l'équipe avant que ne s'amorce la saison. Au cours des quatre premiers matchs, les Dolphins ont accordé 415 verges par partie et 6,4 verges par jeu. Au cours des cinq dernières rencontres, ces chiffres sont passés à 319 et 4,9. Leurs deux derniers adversaires n'ont pas marqué de touché.
«Nous effectuons tout un boulot pour rejoindre la ballon, a indiqué Sparano. Plusieurs joueurs rejoignent le porteur de ballon sur plusieurs jeux. Je crois que ça a contribué à améliorer notre dossier en défensive.»
L'un de ces gars est Dansby, qui a réussi 41 plaqués lors des quatre dernières parties. Contre les Redskins, il a réussi deux plaqués pour des pertes, a rabattu deux passes, a pressé le quart une fois et réussi une importante interception au quatrième quart.
«Il est actif, a dit Gailey. Il a une très bonne compréhension du jeu. Il joue dans la tête des gars à bouger de la façon dont il le fait. Il réussit des jeux sur la ligne et ailleurs sur le terrain. Chaque fois qu'on revoit une séquence de jeu, il sort du lot.»
L'unité défensive des Dolphins affrontera une attaque des Bills en perte de vitesse. S'ils ont amassé une moyenne de 30,1 points au cours des sept premiers matchs, les Bills n'ont que deux touchés au cours de deux derniers.
«Je crois que c'est un creux de vague qui finira par passer, a dit le receveur Stevie Johnson. Nous sommes au courant de nos erreurs d'exécution.»
Ce qui fait mal aux Bills, ce sont les revirements. Ils en ont commis quatre, dont un échappé du meilleur porteur de ballon de la NFL cette saison, Fred Jackson, dans leur défaite de 44-7 à Dallas, leur pire revers depuis 2007.
Ryan Fitzpatrick a connu son pire match de la saison un peu plus de deux semaines après avoir signé une entente de six ans et 59 millions $ US. Au cours des 10 dernières rencontres, il a commis 10 revirements, ce qui n'a pas aidé sa défensive, qui vient au 29e rang de la ligue.
Les blessures ont décimé la ligne offensive et même en comptant sur Jackson, les Bills n'ont pas marqué de touché au sol au cours des trois derniers matchs. Les défensives adverses placent plusieurs joueurs sur la ligne de mêlée et ont été capables de limiter le nombre de verges après l'attrapé des receveurs des Bills, ce qui expliquait en grande partie leurs succès du début de saison.
«Au moment d'amorcer la saison, personne n'avait de grandes attentes à notre endroit, a dit Fitzpatrick. Nous avons gagné quelques matchs et les attentes ont alors augmenté. Voilà maintenant qu'on ne s'attend plus à grand chose de notre part de nouveau. De la façon dont nous avons joué, ça donne raison aux gens. Alors nous devons jouer de façon plus détendue. Nous n'avons pas de pression.»
Il n'est jamais trop tard pour sauver sa saison. Les Dolphins sont bien placés pour en parler.
Pourtant, quand Dansby a récemment déclaré qu'il est le meilleur secondeur de la NFL, il a plutôt été encensé que critiqué.
«Vous devez avoir confiance, a dit son coéquipier Brandon Marshall. Karlos Dansby dit qu'il est le meilleur et il l'est. On parle d'un gars qui vole sur le terrain. Il intercepte des passes, réussit des sacs. Vous parlez d'un gars du Pro Bowl.»
La confiance des Dolphins est en pleine croissance, tout comme leur total de victoires. Après avoir perdu leurs sept premières rencontres, les Dolphins (2-7), qui accueillent les Bills de Buffalo (5-4), dimanche, ont maintenant la chance de remporter trois matchs consécutifs pour la première fois depuis 2008.
De leur côté, les Bills semblent en déclin sur plusieurs aspects. L'une des équipes les plus surprenantes de la NFL après leur départ de 4-1, ils sont à la croisée des chemins après avoir perdu trois de leurs quatre derniers matchs. Au cours des deux dernières semaines, ils ont été déclassés 71-18.
«Vous espérez avoir suffisamment de caractère au sein de votre formation pour vous permettre de passer au travers des moments difficiles», a déclaré l'entraîneur-chef, Chan Gailey.
C'est ce qu'ont fait les Dolphins au cours des deux premiers mois de la saison, même quand leurs partisans spéculaient sur un nouvel entraîneur et leurs chances de réclamer Andrew Luck lors du prochain repêchage.
Leur éclosion est survenue lors d'une étincelante victoire à Kansas City, suivie par une victoire contre Washington la semaine passée, leur première victoire à domicile en près d'un an. Ils jouent tellement mieux que leur entraîneur-chef, Tony Sparano, a utilisé ce mot 15 fois au cours d'une conférence de presse cette semaine.
Les Dolphins demeurent enfouis au dernier rang de l'Est de l'Américaine, au sein de laquelle ils sont la seule équipe avec un dossier déficitaire. Mais ils refusent d'abandonner l'espoir de prendre part aux séries.
«J'entends tout le monde dire que nous jouons les trouble-fête, a dit Marshall. Mais nous avons encore une chance. Une petite chance, mais une chance quand même.»
La plus importante amélioration des Dolphins est leur défensive, que l'on croyait la grande force de l'équipe avant que ne s'amorce la saison. Au cours des quatre premiers matchs, les Dolphins ont accordé 415 verges par partie et 6,4 verges par jeu. Au cours des cinq dernières rencontres, ces chiffres sont passés à 319 et 4,9. Leurs deux derniers adversaires n'ont pas marqué de touché.
«Nous effectuons tout un boulot pour rejoindre la ballon, a indiqué Sparano. Plusieurs joueurs rejoignent le porteur de ballon sur plusieurs jeux. Je crois que ça a contribué à améliorer notre dossier en défensive.»
L'un de ces gars est Dansby, qui a réussi 41 plaqués lors des quatre dernières parties. Contre les Redskins, il a réussi deux plaqués pour des pertes, a rabattu deux passes, a pressé le quart une fois et réussi une importante interception au quatrième quart.
«Il est actif, a dit Gailey. Il a une très bonne compréhension du jeu. Il joue dans la tête des gars à bouger de la façon dont il le fait. Il réussit des jeux sur la ligne et ailleurs sur le terrain. Chaque fois qu'on revoit une séquence de jeu, il sort du lot.»
L'unité défensive des Dolphins affrontera une attaque des Bills en perte de vitesse. S'ils ont amassé une moyenne de 30,1 points au cours des sept premiers matchs, les Bills n'ont que deux touchés au cours de deux derniers.
«Je crois que c'est un creux de vague qui finira par passer, a dit le receveur Stevie Johnson. Nous sommes au courant de nos erreurs d'exécution.»
Ce qui fait mal aux Bills, ce sont les revirements. Ils en ont commis quatre, dont un échappé du meilleur porteur de ballon de la NFL cette saison, Fred Jackson, dans leur défaite de 44-7 à Dallas, leur pire revers depuis 2007.
Ryan Fitzpatrick a connu son pire match de la saison un peu plus de deux semaines après avoir signé une entente de six ans et 59 millions $ US. Au cours des 10 dernières rencontres, il a commis 10 revirements, ce qui n'a pas aidé sa défensive, qui vient au 29e rang de la ligue.
Les blessures ont décimé la ligne offensive et même en comptant sur Jackson, les Bills n'ont pas marqué de touché au sol au cours des trois derniers matchs. Les défensives adverses placent plusieurs joueurs sur la ligne de mêlée et ont été capables de limiter le nombre de verges après l'attrapé des receveurs des Bills, ce qui expliquait en grande partie leurs succès du début de saison.
«Au moment d'amorcer la saison, personne n'avait de grandes attentes à notre endroit, a dit Fitzpatrick. Nous avons gagné quelques matchs et les attentes ont alors augmenté. Voilà maintenant qu'on ne s'attend plus à grand chose de notre part de nouveau. De la façon dont nous avons joué, ça donne raison aux gens. Alors nous devons jouer de façon plus détendue. Nous n'avons pas de pression.»
Il n'est jamais trop tard pour sauver sa saison. Les Dolphins sont bien placés pour en parler.