Les partisans des Steelers célèbrent
Football lundi, 2 févr. 2009. 00:06 samedi, 14 déc. 2024. 06:01
PITTSBURGH - Des milliers de partisans des Steelers habillés en noir et or, et faisant tournoyer leurs "Terrible Towels" ont débarqué dans les rues du sud de la ville de Pittsburgh, dimanche soir, pour célébrer la sixième conquête du Super Bowl de leur équipe.
Les fêtards ont surgi des bars de ce secteur quelques instants à peine après que les Steelers eurent concrétisé leur victoire de 27-23 contre les Cardinals de l'Arizona à Tampa, en Floride. Certains chantaient, entonnant notamment les paroles de la chanson du groupe rock Queen, "We are the Champions".
Des confettis jaunes tournoyaient dans les airs et des gens ont déployé des ballons de couleur noire et or. Quelques minutes à peine après la fin de la rencontre, de la marchandise à l'effigie des nouveaux champions du Super Bowl était en vente au beau milieu de la rue.
Brittany Barcoay, 21 ans, a fait sept heures de route depuis la Virginie pour se retrouver dans sa ville natale à l'occasion du Super Bowl et elle a célébré à l'extérieur de la Town Tavern, sur laquelle on avait apposé une bannière la renommant "Steeler Tavern".
"Je n'ai jamais été aussi fière de ma ville, jamais", s'est exclamée Barcoay, qui portait un maillot au nom de Jerome Bettis.
Les bars étaient bondés dans le secteur fréquenté par des étudiants universitaires et les jeunes adultes, la musique jouant à tue-tête.
Un homme portait une énorme photo du président américain Barack Obama, avec une Terrible Towel autour du cou, pendant qu'un orchestre jouait dans le milieu d'une rue bloquée et qu'on projetait les photos des joueurs sur les murs des bâtiments.
L'escouade anti-émeute patrouillait les environs à vélo et en voiture, laissant la foule - enjouée mais dans les limites du bon goût - célébrer à sa guise.
Dan Decriscio, 51 ans, est revenu à Pittsburgh en provenance de Philadelphie et il a eu l'occasion de célébrer un autre titre de la NFL.
"C'est incroyable, a-t-il dit. J'ai été ici à chacun des matchs du Super Bowl. Tout le monde est formidable. Du premier avec Chuck Knoll à Mike Tomlin; c'est comme Noël en février."
Il y a également eu des attroupements dans le quartier Oakland de la ville, près de l'Université de Pittsburgh.
La police y avait bloqué les rues pour permettre aux gens de célébrer sans avoir à s'inquiéter de la circulation automobile. Certaines gens ont tenté d'amener un divan sur l'avenue Forbes, mais la police l'a confisqué alors qu'on avait tenté d'y mettre le feu. Une voiture a par ailleurs été renversée dans ce secteur.
Dans un quartier au sud de Pittsburgh, des gens ont allumé des feux d'artifice et sont sortis de leurs maisons en courant et en criant après le match.
Quand les Steelers avaient remporté le Super Bowl en 2006, des milliers de fêtards ivres avaient célébré dans les rues et plusieurs petits feux avaient été allumés.
La police espérait éviter les dégâts en faisant patrouiller plus de 400 agents, en limitant le stationnement et en fermant certaines rues à la circulation au début du quatrième quart dans certains secteurs névralgiques.
Les écoles de Pittsburgh prévoyaient commencer les cours deux heures plus tard que d'habitude, lundi, afin de permettre aux gens de célébrer.
Les fêtards ont surgi des bars de ce secteur quelques instants à peine après que les Steelers eurent concrétisé leur victoire de 27-23 contre les Cardinals de l'Arizona à Tampa, en Floride. Certains chantaient, entonnant notamment les paroles de la chanson du groupe rock Queen, "We are the Champions".
Des confettis jaunes tournoyaient dans les airs et des gens ont déployé des ballons de couleur noire et or. Quelques minutes à peine après la fin de la rencontre, de la marchandise à l'effigie des nouveaux champions du Super Bowl était en vente au beau milieu de la rue.
Brittany Barcoay, 21 ans, a fait sept heures de route depuis la Virginie pour se retrouver dans sa ville natale à l'occasion du Super Bowl et elle a célébré à l'extérieur de la Town Tavern, sur laquelle on avait apposé une bannière la renommant "Steeler Tavern".
"Je n'ai jamais été aussi fière de ma ville, jamais", s'est exclamée Barcoay, qui portait un maillot au nom de Jerome Bettis.
Les bars étaient bondés dans le secteur fréquenté par des étudiants universitaires et les jeunes adultes, la musique jouant à tue-tête.
Un homme portait une énorme photo du président américain Barack Obama, avec une Terrible Towel autour du cou, pendant qu'un orchestre jouait dans le milieu d'une rue bloquée et qu'on projetait les photos des joueurs sur les murs des bâtiments.
L'escouade anti-émeute patrouillait les environs à vélo et en voiture, laissant la foule - enjouée mais dans les limites du bon goût - célébrer à sa guise.
Dan Decriscio, 51 ans, est revenu à Pittsburgh en provenance de Philadelphie et il a eu l'occasion de célébrer un autre titre de la NFL.
"C'est incroyable, a-t-il dit. J'ai été ici à chacun des matchs du Super Bowl. Tout le monde est formidable. Du premier avec Chuck Knoll à Mike Tomlin; c'est comme Noël en février."
Il y a également eu des attroupements dans le quartier Oakland de la ville, près de l'Université de Pittsburgh.
La police y avait bloqué les rues pour permettre aux gens de célébrer sans avoir à s'inquiéter de la circulation automobile. Certaines gens ont tenté d'amener un divan sur l'avenue Forbes, mais la police l'a confisqué alors qu'on avait tenté d'y mettre le feu. Une voiture a par ailleurs été renversée dans ce secteur.
Dans un quartier au sud de Pittsburgh, des gens ont allumé des feux d'artifice et sont sortis de leurs maisons en courant et en criant après le match.
Quand les Steelers avaient remporté le Super Bowl en 2006, des milliers de fêtards ivres avaient célébré dans les rues et plusieurs petits feux avaient été allumés.
La police espérait éviter les dégâts en faisant patrouiller plus de 400 agents, en limitant le stationnement et en fermant certaines rues à la circulation au début du quatrième quart dans certains secteurs névralgiques.
Les écoles de Pittsburgh prévoyaient commencer les cours deux heures plus tard que d'habitude, lundi, afin de permettre aux gens de célébrer.