Levy veut qu'on parle de son équipe
Football vendredi, 1 sept. 2006. 15:53 samedi, 14 déc. 2024. 18:34
ORCHARD PARK, N.Y. (AP) - Marv Levy a eu droit à une fête surprise avant un récent entraînement des Bills de Buffalo pour ses 81 ans.
C'est un chiffre dont l'entraîneur membre du Temple de la renommée et nouveau directeur général des Bills de Buffalo préférerait qu'on évite de rappeler.
"Ça partait de bons sentiments, mais ça finit par devenir tannant, a commenté l'ancien entraîneur-chef des Alouettes. Je ne voulais pas qu'on mette l'emphase sur mon âge. L'emphase doit être mis sur l'équipe. Ca fait suffisamment de fois qu'on me souhaite un bon retour."
Levy est le directeur général le plus âgé du sport professionnel nord-américain, mais ce ne fut pas un facteur pour le propriétaire des Bills, Ralph Wilson, âgé de 87 ans.
"Mentalement, je le place devant qui que ce soit", a dit Wilson, qui aime parler de lui et de Levy comme des "Golden Boys".
Sous la direction de Tom Donahoe avant Levy, les Bills ont eu une fiche de 39-41 et n'ont jamais disputé un match éliminatoire en cinq ans.
Un homme de consensus
"Il nous fallait certainement un changement", a constaté Wilson, qui voit en Levy, l'entraîneur avec le plus de victoires dans l'histoire de la concession (112-70), un confident respecté avec une formidable réputation, reconnu comme un homme de consensus. Ses Bills ont atteint le Super Bowl à quatre reprises avec un quart, Jim Kelly, qui choisissait la plupart des jeux.
Son titre a changé mais pas sa philosophie.
"Le consensus est vraiment quelque chose de très important pour moi, dit-il encore. Je n'ai pas l'intention de faire de l'ingérence."
Ca ne veut pas dire que Levy ne suit pas de près ce qui se passe dans l'équipe de l'entraîneur-chef Dick Jauron. Il n'a pas encore raté un entraînement, tout en faisant son jogging quotidien jusqu'à ce qu'il s'étire un muscle en voulant éviter un costaud bloqueur offensif en pleine course.
Levy n'a pas les cheveux beaucoup plus gris que lorsqu'il a mené les Alouettes à deux conquêtes de la coupe Grey dans les années 70. Le seul signe de vieillissement qu'on peut déceler chez lui est qu'il est devenu un peu dur d'oreille.
"Je ne suis plus ce que j'étais à 60 ans, mais à 60 ans j'avais l'impression d'en avoir 40. Peut-être que je me sens comme à 60 ans aujourd'hui", disait-il récemment.
C'est un chiffre dont l'entraîneur membre du Temple de la renommée et nouveau directeur général des Bills de Buffalo préférerait qu'on évite de rappeler.
"Ça partait de bons sentiments, mais ça finit par devenir tannant, a commenté l'ancien entraîneur-chef des Alouettes. Je ne voulais pas qu'on mette l'emphase sur mon âge. L'emphase doit être mis sur l'équipe. Ca fait suffisamment de fois qu'on me souhaite un bon retour."
Levy est le directeur général le plus âgé du sport professionnel nord-américain, mais ce ne fut pas un facteur pour le propriétaire des Bills, Ralph Wilson, âgé de 87 ans.
"Mentalement, je le place devant qui que ce soit", a dit Wilson, qui aime parler de lui et de Levy comme des "Golden Boys".
Sous la direction de Tom Donahoe avant Levy, les Bills ont eu une fiche de 39-41 et n'ont jamais disputé un match éliminatoire en cinq ans.
Un homme de consensus
"Il nous fallait certainement un changement", a constaté Wilson, qui voit en Levy, l'entraîneur avec le plus de victoires dans l'histoire de la concession (112-70), un confident respecté avec une formidable réputation, reconnu comme un homme de consensus. Ses Bills ont atteint le Super Bowl à quatre reprises avec un quart, Jim Kelly, qui choisissait la plupart des jeux.
Son titre a changé mais pas sa philosophie.
"Le consensus est vraiment quelque chose de très important pour moi, dit-il encore. Je n'ai pas l'intention de faire de l'ingérence."
Ca ne veut pas dire que Levy ne suit pas de près ce qui se passe dans l'équipe de l'entraîneur-chef Dick Jauron. Il n'a pas encore raté un entraînement, tout en faisant son jogging quotidien jusqu'à ce qu'il s'étire un muscle en voulant éviter un costaud bloqueur offensif en pleine course.
Levy n'a pas les cheveux beaucoup plus gris que lorsqu'il a mené les Alouettes à deux conquêtes de la coupe Grey dans les années 70. Le seul signe de vieillissement qu'on peut déceler chez lui est qu'il est devenu un peu dur d'oreille.
"Je ne suis plus ce que j'étais à 60 ans, mais à 60 ans j'avais l'impression d'en avoir 40. Peut-être que je me sens comme à 60 ans aujourd'hui", disait-il récemment.