Steelers et Broncos cinq ans plus tard
Football samedi, 7 janv. 2012. 17:53 samedi, 14 déc. 2024. 06:39
DENVER - Champ Bailey était sur le point de réussir une interception qu'il aurait pu ramener jusque dans la zone des buts lorsque l'ailier espacé Hines Ward a chuté, tandis que le ballon poursuivait sa route dans les airs.
À la surprise générale, Ward est parvenu à capter la passe du quart Ben Roethlisberger avant de heurter le sol, s'accrochant au ballon en dépit d'un plaqué sévère de John Lynch. Bailey a alors frappé le sol avec son poing en signe de dégoût, et les Steelers de Pittsburgh ont poursuivi leur chemin en route vers une écrasante victoire de 34-17 contre les Broncos de Denver en finale de l'Association américaine, lors de la saison 2005.
Cet après-midi pluvieux du 22 janvier 2006 a expédié les Steelers et les Broncos en direction opposées, et ils se rencontreront de nouveau dimanche en éliminatoires, sous la neige, au Sports Authority Field de Denver.
«Ce match nous a catapultés vers le titre du Super Bowl», a déclaré l'ailier défensif des Steelers Brett Keisel.
Il a aussi expédié les Broncos vers les profondeurs de l'enfer, coûtant le poste à trois entraîneurs, quatre quarts, six coordonnateurs défensifs et générant son lot d'obstacles avant qu'ils puissent effectuer un retour en éliminatoires cette saison.
Les Steelers présentent une fiche de 69-35 depuis ce match légendaire, et ont remporté deux titres en plus d'en rater un troisième de peu en s'inclinant 31-25 au Super Bowl de l'an dernier contre les Packers de Green Bay rappelant vaguement leur parcours des années 1970.
À l'inverse, les Broncos ont affiché un dossier de 44-52, n'ont connu qu'une saison gagnante et n'ont pas participé aux éliminatoires.
«On peut observer les routes empruntées depuis ce temps. Ils ont grimpé la colline, nous l'avons descendue, a expliqué Bailey. Nous ne nous sommes pas relevés, ils ont remporté deux titres. C'est drôle comment les choses ont tourné. Mais c'était à une autre époque, et nous sommes maintenant. Nous avons une opportunité de changer les choses, et c'est ce que nous voulons faire ce week-end.»
Les Broncos, qui ont remporté le titre dans la section ouest de l'Américaine en dépit d'une fiche de 8-8, accueilleront les Steelers (12-4), qui ont laissé filer le titre de la section nord de l'Américaine en vertu du bris d'égalité au profit des Ravens de Baltimore, à l'occasion d'un après-midi enneigé dimanche à Denver.
Les souvenirs de ce match de championnat déterminant de 2005 sont toujours frais à la mémoire des 16 jours des Steelers et des deux des Broncos Bailey et le secondeur D.J. Williams qui font toujours partie de leur équipe respective.
«On a commencé à briller à ce moment-là en éliminatoires, et personne n'était assez bon pour nous stopper, s'est rappelé le secondeur des Steelers Larry Foote. Quand on a battu Indy, on se foutait un peu de l'identité de nos adversaires suivants, on savait qu'on se rendrait jusqu'au Super Bowl. Ils étaient à la mauvaise place au mauvais moment.»
Bailey se lamente encore de l'opportunité ratée qu'il avait de participer au seul Super Bowl de sa carrière de 13 saisons dans la NFL, au cours de laquelle il a disputé 11 Pro Bowls, un record pour un demi de coin.
«Je m'en souviens, mais en même temps, c'est un autre jour. Ça fait longtemps, a commenté Bailey. Nous essayons seulement de bâtir quelque chose à partir d'ici, et nous verrons ce que nous pouvons faire avec cette équipe.»
À la surprise générale, Ward est parvenu à capter la passe du quart Ben Roethlisberger avant de heurter le sol, s'accrochant au ballon en dépit d'un plaqué sévère de John Lynch. Bailey a alors frappé le sol avec son poing en signe de dégoût, et les Steelers de Pittsburgh ont poursuivi leur chemin en route vers une écrasante victoire de 34-17 contre les Broncos de Denver en finale de l'Association américaine, lors de la saison 2005.
Cet après-midi pluvieux du 22 janvier 2006 a expédié les Steelers et les Broncos en direction opposées, et ils se rencontreront de nouveau dimanche en éliminatoires, sous la neige, au Sports Authority Field de Denver.
«Ce match nous a catapultés vers le titre du Super Bowl», a déclaré l'ailier défensif des Steelers Brett Keisel.
Il a aussi expédié les Broncos vers les profondeurs de l'enfer, coûtant le poste à trois entraîneurs, quatre quarts, six coordonnateurs défensifs et générant son lot d'obstacles avant qu'ils puissent effectuer un retour en éliminatoires cette saison.
Les Steelers présentent une fiche de 69-35 depuis ce match légendaire, et ont remporté deux titres en plus d'en rater un troisième de peu en s'inclinant 31-25 au Super Bowl de l'an dernier contre les Packers de Green Bay rappelant vaguement leur parcours des années 1970.
À l'inverse, les Broncos ont affiché un dossier de 44-52, n'ont connu qu'une saison gagnante et n'ont pas participé aux éliminatoires.
«On peut observer les routes empruntées depuis ce temps. Ils ont grimpé la colline, nous l'avons descendue, a expliqué Bailey. Nous ne nous sommes pas relevés, ils ont remporté deux titres. C'est drôle comment les choses ont tourné. Mais c'était à une autre époque, et nous sommes maintenant. Nous avons une opportunité de changer les choses, et c'est ce que nous voulons faire ce week-end.»
Les Broncos, qui ont remporté le titre dans la section ouest de l'Américaine en dépit d'une fiche de 8-8, accueilleront les Steelers (12-4), qui ont laissé filer le titre de la section nord de l'Américaine en vertu du bris d'égalité au profit des Ravens de Baltimore, à l'occasion d'un après-midi enneigé dimanche à Denver.
Les souvenirs de ce match de championnat déterminant de 2005 sont toujours frais à la mémoire des 16 jours des Steelers et des deux des Broncos Bailey et le secondeur D.J. Williams qui font toujours partie de leur équipe respective.
«On a commencé à briller à ce moment-là en éliminatoires, et personne n'était assez bon pour nous stopper, s'est rappelé le secondeur des Steelers Larry Foote. Quand on a battu Indy, on se foutait un peu de l'identité de nos adversaires suivants, on savait qu'on se rendrait jusqu'au Super Bowl. Ils étaient à la mauvaise place au mauvais moment.»
Bailey se lamente encore de l'opportunité ratée qu'il avait de participer au seul Super Bowl de sa carrière de 13 saisons dans la NFL, au cours de laquelle il a disputé 11 Pro Bowls, un record pour un demi de coin.
«Je m'en souviens, mais en même temps, c'est un autre jour. Ça fait longtemps, a commenté Bailey. Nous essayons seulement de bâtir quelque chose à partir d'ici, et nous verrons ce que nous pouvons faire avec cette équipe.»