Vick plaide non coupable
Football jeudi, 26 juil. 2007. 16:18 mercredi, 11 déc. 2024. 05:42
Michael Vick a plaidé non coupable aux accusations relatives à la participation de combats de chiens.
Au terme de l'audience, le quart-arrière des Falcons a été libéré sur parole jusqu'au début de son procès, le 26 novembre prochain.
Vick s'est présenté en cour à 15h00 dans un véhicule utilitaire noir. Il a été hué par les centaines de personnes présentes.
Vick et trois autres individus ont été accusés d'avoir violé les lois fédérales américaines contre les combats de chiens, d'avoir fourni et entraîné des pitbulls dans le but de les amener à se battre, et d'avoir réalisé ces activités dans plus d'un Etat.
Tous les accusés doivent rendre leur passeport, ils ne peuvent pas s'éloigner de leur environnement immédiat sans la permission de la cour et ils ne peuvent ni vendre ni détenir de chiens. De plus, Vick a dû remettre tout permis de propriétaire de chenil ou d'élevage de chiens.
Le propriétaire des Falcons, Arthur Blank, a voulu le suspendre pour quatre matchs, le maximum permis à une équipe de la NFL, mais la ligue lui a demandé d'attendre. Blank a alors suggéré au joueur de se concentrer sur ses problèmes légaux plutôt que sur le football.
Au terme de l'audience, le quart-arrière des Falcons a été libéré sur parole jusqu'au début de son procès, le 26 novembre prochain.
Vick s'est présenté en cour à 15h00 dans un véhicule utilitaire noir. Il a été hué par les centaines de personnes présentes.
Vick et trois autres individus ont été accusés d'avoir violé les lois fédérales américaines contre les combats de chiens, d'avoir fourni et entraîné des pitbulls dans le but de les amener à se battre, et d'avoir réalisé ces activités dans plus d'un Etat.
Tous les accusés doivent rendre leur passeport, ils ne peuvent pas s'éloigner de leur environnement immédiat sans la permission de la cour et ils ne peuvent ni vendre ni détenir de chiens. De plus, Vick a dû remettre tout permis de propriétaire de chenil ou d'élevage de chiens.
Le propriétaire des Falcons, Arthur Blank, a voulu le suspendre pour quatre matchs, le maximum permis à une équipe de la NFL, mais la ligue lui a demandé d'attendre. Blank a alors suggéré au joueur de se concentrer sur ses problèmes légaux plutôt que sur le football.