Plus d'opposition pour les Alouettes
Football vendredi, 1 juin 2012. 14:51 mercredi, 11 déc. 2024. 05:44
MONTRÉAL - L'opposition risque d'être vive comme jamais dans la section Est de la Ligue canadienne de football (LCF) cette saison. Les Alouettes de Montréal ne feront plus cavaliers seuls, en théorie en tout cas. Le directeur général de l'équipe Jim Popp le croit également, mais il évoque la parité du bout des lèvres.
Admettant que les Argonauts de Toronto et les Tiger-Cats de Hamilton se sont améliorés, «du moins sur papier», avec l'arrivée en poste de nouveaux entraîneurs et de quart-arrières aguerris, Popp attend de voir les rivaux des «Moineaux» à l'oeuvre avant de se prononcer.
«Sur papier, oui, on peut parler de parité, mais ça reste à voir jusqu'à ce qu'on voit toutes les équipes jouer», a-t-il affirmé, vendredi, au cours d'un point de presse au Stade olympique.
Les Argonauts sont maintenant dirigés par Scott Milanovich et ils espèrent que Ricky Ray représente la solution à leurs problèmes à l'attaque.
Les Tiger-Cats ont George Cortez comme nouvel entraîneur et ils miseront sur Henry Burris pour relancer l'offensive.
«Qui peut prédire comment ces équipes vont se tirer d'affaire? a demandé Popp. On ne sait pas à quoi s'attendre, plusieurs facteurs, comme les blessures, peuvent influencer le déroulement de la saison.»
Popp a suffisamment de pain sur la planche avec les Alouettes, même s'il se dit confiant qu'ils vont être encore une équipe de premier plan.
Les Alouettes ont apporté plusieurs changements aux personnels d'entraîneurs et de joueurs, et le camp d'entraînement va s'amorcer sous le sceau du renouveau, dimanche, à Lenoxville, en Estrie.
«Il va y avoir des changements, comme c'est le cas à chaque année. Dès que nous amenons un nouveau joueur ou un nouvel entraîneur dans un groupe, on modifie l'esprit d'équipe.
«Ce que nous souhaitons, c'est de mettre tous ces nouveaux éléments dans le mélangeur et de brasser tout ça pour que ça goûte bon, a-t-il imagé. Tellement bon pour qu'on n'ait pas envie de changer un seul ingrédient et pour qu'on gagne un championnat.
«Si ce n'est pas le cas, nous devrons essayer un nouveau mélange avec d'autres ingrédients.»
Vendredi, le directeur général a présenté à la presse des joueurs réclamés au repêchage ces deux dernières années, à qui il accorde des chances légitimes de mériter un poste avec l'équipe. Au sein du groupe, on retrouvait Patrick Lavoie, premier choix de cette année, sélectionné au deuxième tour de la séance (11e au total).
«Je suis super fébrile, a lancé le centre arrière âgé de 24 ans natif de Sainte-Flavie, porte d'entrée de la Gaspésie. Ça fait déjà quelques mois que je m'entraîne pour ça, même avant le repêchage. Et de tenter ma chance chez les Alouettes, c'est un rêve qui est devenu réalité. J'ai vraiment hâte que ça commence pour vrai.»
L'ancien du Rouge et Or de l'université Laval a comme objectif de mériter un poste au sein des unités spéciales.
«J'ai eu du succès (au sein des unités spéciales) dans les rangs universitaires, et c'est pour ça que les Alouettes m'ont repêché, a-t-il avancé. Je veux prouver que je peux bien faire et que je suis capable d'aider l'équipe à ce chapitre.»
Les Alouettes sont à planifier l'après-Anthony Calvillo, et c'est une des raisons pour lesquelles ils ont sollicité la présence de plusieurs quart-arrières universitaires canadiens.
Popp a déploré que la Ligue canadienne ne mise pas sur le développement de quarts canadiens, pour diverses raisons.
C'est dans ce but que les Alouettes en ont invité sept d'universités québécoises principalement, à l'ouverture de leur camp. Ces jeunes de la relève vont retourner avec leur équipe avec un plus grand bagage de connaissances.
«Notre objectif est de leur fournir les outils nécessaires à leur épanouissement pour qu'ils jouent dans la Ligue canadienne un jour, a expliqué Popp. Si ce n'est pas avec notre équipe, nous souhaitons que ce soit avec une autre.»
Deux autres quarts universitaires sous contrat avec les Alouettes, Kyle Quinlan des Marauders de McMasters et Kyle Graves des Axemen d'Acadia, obtiendront un essai plus sérieux. Popp a confirmé qu'ils vont rester pendant tout le camp ou presque.
Admettant que les Argonauts de Toronto et les Tiger-Cats de Hamilton se sont améliorés, «du moins sur papier», avec l'arrivée en poste de nouveaux entraîneurs et de quart-arrières aguerris, Popp attend de voir les rivaux des «Moineaux» à l'oeuvre avant de se prononcer.
«Sur papier, oui, on peut parler de parité, mais ça reste à voir jusqu'à ce qu'on voit toutes les équipes jouer», a-t-il affirmé, vendredi, au cours d'un point de presse au Stade olympique.
Les Argonauts sont maintenant dirigés par Scott Milanovich et ils espèrent que Ricky Ray représente la solution à leurs problèmes à l'attaque.
Les Tiger-Cats ont George Cortez comme nouvel entraîneur et ils miseront sur Henry Burris pour relancer l'offensive.
«Qui peut prédire comment ces équipes vont se tirer d'affaire? a demandé Popp. On ne sait pas à quoi s'attendre, plusieurs facteurs, comme les blessures, peuvent influencer le déroulement de la saison.»
Popp a suffisamment de pain sur la planche avec les Alouettes, même s'il se dit confiant qu'ils vont être encore une équipe de premier plan.
Les Alouettes ont apporté plusieurs changements aux personnels d'entraîneurs et de joueurs, et le camp d'entraînement va s'amorcer sous le sceau du renouveau, dimanche, à Lenoxville, en Estrie.
«Il va y avoir des changements, comme c'est le cas à chaque année. Dès que nous amenons un nouveau joueur ou un nouvel entraîneur dans un groupe, on modifie l'esprit d'équipe.
«Ce que nous souhaitons, c'est de mettre tous ces nouveaux éléments dans le mélangeur et de brasser tout ça pour que ça goûte bon, a-t-il imagé. Tellement bon pour qu'on n'ait pas envie de changer un seul ingrédient et pour qu'on gagne un championnat.
«Si ce n'est pas le cas, nous devrons essayer un nouveau mélange avec d'autres ingrédients.»
Vendredi, le directeur général a présenté à la presse des joueurs réclamés au repêchage ces deux dernières années, à qui il accorde des chances légitimes de mériter un poste avec l'équipe. Au sein du groupe, on retrouvait Patrick Lavoie, premier choix de cette année, sélectionné au deuxième tour de la séance (11e au total).
«Je suis super fébrile, a lancé le centre arrière âgé de 24 ans natif de Sainte-Flavie, porte d'entrée de la Gaspésie. Ça fait déjà quelques mois que je m'entraîne pour ça, même avant le repêchage. Et de tenter ma chance chez les Alouettes, c'est un rêve qui est devenu réalité. J'ai vraiment hâte que ça commence pour vrai.»
L'ancien du Rouge et Or de l'université Laval a comme objectif de mériter un poste au sein des unités spéciales.
«J'ai eu du succès (au sein des unités spéciales) dans les rangs universitaires, et c'est pour ça que les Alouettes m'ont repêché, a-t-il avancé. Je veux prouver que je peux bien faire et que je suis capable d'aider l'équipe à ce chapitre.»
Les Alouettes sont à planifier l'après-Anthony Calvillo, et c'est une des raisons pour lesquelles ils ont sollicité la présence de plusieurs quart-arrières universitaires canadiens.
Popp a déploré que la Ligue canadienne ne mise pas sur le développement de quarts canadiens, pour diverses raisons.
C'est dans ce but que les Alouettes en ont invité sept d'universités québécoises principalement, à l'ouverture de leur camp. Ces jeunes de la relève vont retourner avec leur équipe avec un plus grand bagage de connaissances.
«Notre objectif est de leur fournir les outils nécessaires à leur épanouissement pour qu'ils jouent dans la Ligue canadienne un jour, a expliqué Popp. Si ce n'est pas avec notre équipe, nous souhaitons que ce soit avec une autre.»
Deux autres quarts universitaires sous contrat avec les Alouettes, Kyle Quinlan des Marauders de McMasters et Kyle Graves des Axemen d'Acadia, obtiendront un essai plus sérieux. Popp a confirmé qu'ils vont rester pendant tout le camp ou presque.